@alanhorus

On peut présenter aussi que les compagnons, c’est l’original et que la franc-maçonnerie, c’est la copie. 

Compagnon du devoir ou du tour de France, c’est un engagement, un métier qu’ils apprennent a améliorent toute leur vie. Les compagnons se retrouvent de temps en temps, pour partager un travail (j’ai vu la restauration d’une maison), ce qui est l’occasion de partager des techniques ou des gestes appris entretemps. Ce qui compte, pour eux, c’est le travail bien fait. Ils ont gardé l’instinct corporatif pour préserver leur métier, ils sont coopérateurs.

Un franc maçon, il est coopté. S’il ne sait rien faire de ses mains on s’en fiche, au point qu’on préfère recruter dans les CSP+. C’est même un moyen de facilitation de carrière professionnelle. Les séances d’initiation ne correspondent pas à des évolutions de compétences, ou de pratiques dans un métier, on est dans l’ésotérisme, la philosophie, la spiritualité... Il y a toutes sortes de clubs, ou loges, donc à boire et à manger...