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Commentaire de Stupeur

sur « White » de Bret Easton Ellis : une promenade dans la dinguerie agressive de l'Amérique post-impériale


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Stupeur Stupeur 3 juillet 2019 21:13

« Des lueurs d’espoir, et de l’humour, quand même, dans cette peinture obscure de l’Amérique. Les plus belles pages, et aussi les plus intéressantes de ce livre, sont celles où l’écrivain parle de son métier d’écrivain, et de lui-même. Auteur d’un best-seller à 23 ans, avec Moins que zéro (1985), Bret Easton Ellis confie avoir dans les moments qui ont suivi ce succès navigué "dans un monde onirique", déconnecté de la réalité, "une sorte de rêve éveillé même si mon anxiété et mes doutes sur tout ou presque ne cessaient d’échapper à tout contrôle". Une errance qui, dit-il, va durer pendant trois ans, pendant laquelle seule l’écriture va l’arrimer à la réalité. "J’étais concentré sur le roman, qui était devenu, à ce moment-là, ma seule source de clarté". » (sur franceinfo)

 smiley


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