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Commentaire de abolab

sur Tour de prestidigitation de la BBC sur le CO2 et le changement climatique


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abolab 9 octobre 2019 17:44

@sls0 Vous avez bien raison, la spectrométrie n’a rien à voir avec la chaleur, alors pourquoi le GIEC fait-il l’amalgame entre rayonnements infrarouges "piégés" dans l’atmosphère et température de l’atmosphère (mesure de la chaleur) ?

L’expérience de Wood, très simple, montre juste cela : les rayonnements infrarouges piégés n’augmentent pas la température d’un volume d’air. Certes, l’on peut objecter qu’une partie de l’infrarouge est absorbée par le verre, mais dans les deux boîtes c’est pareil, et il devrait y avoir une différence de température si le rayonnement infrarouge était capable de créer un effet cinétique dans l’air, ce qui n’est pas le cas.

Pas d’effet cinétique causé par le rayonnement infrarouge en provenance du sol implique pas d’augmentation de température en conséquence, et ce n’est pas l’augmentation de quelques centièmes de pourcent en un gaz trace qui est capable de créer une augmentation de la température du fait des rayonnements infrarouges... car tout au plus cet effet cinétique, déjà réfuté expérimentalement, devrait en plus en tout logique être proportionnel à la quantité de gaz traces dans l’air, soit tout au plus une variation équivalente de quelques centièmes de pourcent de la température.

Je ne suis pas climatosceptique, je suis sceptique de la théorie purement conceptuelle et non expérimentalement démontré, établie par le GIEC, et à juste raison, pour les faits évoqués ci-dessus.

En matière d’écologie, la molécule à bannir n’est pas le dioxyde (de carbone) anthropique, qui, à l’état de traces, est totalement inoffensive pour l’homme, mais bien plutôt la dioxine et autres POPs, qui eux, à l’état de traces, sont très toxiques et dangereux au long terme pour l’environnement, les animaux et les êtres humains. L’état s’occupe donc à faire une chasse irrationnelle au CO2, et dans le même temps, ne répond pas à ses obligations concernant la convention de Stockholm sur les polluants persistants organiques, qu’il a pourtant signé et ratifié.


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