Super.
Merci pour cet extrait d’interview du 20 mars 2019 de Gaël Giraud que je vous recommande de revoir
dans sa totalité : (NB/ par Thinkerview : Tsunami financier, désastre
humanitaire ?).
Gaël Giraud
fait parti des professionnels
expérimentés ayant confirmé nos signaux d’alarme à caractère « militant »
pendant l’élection de 2017, puis en juin 2018 « Les
banques voyous préparent la prochaine crise financière mondiale », et en
septembre 2019, « Banques
: une situation explosive, y compris pour vos simples dépôts bancaires ».
Un problème « brûlant », demeurant d’actualité, ayant empiré et,
hélas, toujours par repris par les partis politiques ni par la presse dite
« mainstream ».
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Comme nous, Gaël
Giraud propose de revenir le plus rapidement possible à une stricte
séparation des activités de dépôts et des activités spéculatives.
.
Depuis la crise dite des « subprimes » de 2008 qui a mis à la rue (sans que Obama et les
démocrates ne lèvent le petit doigt) 7 millions de familles américaines (dont
une partie a ensuite voté Trump), nous proposons aussi une responsabilité
pénale potentielle automatique des responsables des structures financières en
faillites. Pour vous en convaincre, je vous recommande l’incomplet mais
excellent documentaire « Inside
job » de Charles Ferguson.
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En sus, nous harcelons l’ensemble des partis parlementaires (y
compris LaREM au pouvoir) pour que
les produits spéculatifs appelés « dérivés »
(qui menacent l’ensemble du système financier et bancaire) soient taxés, en
attendant d’être régulés (voire partiellement interdits).
Une mini taxe des
produits « dérivés » similaire
à la mini taxe sur les flux financiers spéculatifs
(appelée « taxe sociétale »
entre 1984 et 1993), remplacée ensuite par l’illogique taxe sur les flux
financiers tout court (appelée mondialement « taxe Tobin », contre l’avis du prix Nobel James Tobin lui-même / …
2002).
Cette mini taxe des produits « dérivés »
générerait une recette gigantesque qui éviterait de grignoter les faibles
revenus (APL, CSG, etc.) de la retraitée veuve et en difficulté pour payer son
loyer. Idem pour les étudiants et travailleurs pauvres, les artisans, les
agriculteurs, etc. Dommage que l’infiltration, le noyautage, la manipulation
puis la récupération des « Gilets
jaunes » ait étouffé la médiatisation de cette indispensable mesure* .
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(*ainsi que d’autres revendications toutes aussi indispensables
comme l’indispensable représentation des usagers dans les services publics — privatisés ou non— pour moins d’erreurs,
moins de gaspillages, moins d’injustices, moins de corruption, etc.).
.
Sur ce sujet financier et bancaire à la fois complexe, vital et urgent, les
internautes sauront-ils dépasser le stade des « web-cafés du commerce » ?
Arriveront-ils un jour à « coaguler »
l’ensemble des études, des signaux d’alarme, des initiatives, débats et éventuels
colloques, afin de peser synergiquement sur les évènements et de secouer collectivement,
enfin, « l’imperturbable, inaccessible et autiste cocotier » ?
(cocotier : l’élite dirigeant l’alliance objective des
banques dérégulées et des partis parlementaires complices).
Les volontaires sont les bienvenus.
A+
Cordialement.