Déjà....que venaient faire deux policiers, avec gilets pare balles, dans ce magasin ?

Pour ma part, je n’en ai jamais croisé dans les rayons .

Ont ils été prévenus par une personne du magasin ? Ou extérieure ?

D’autre part, je croise à longueur de journée, des " mal mis ", des

" pas mis du tout ", sans pour autant assister à des manifestations violentes de mise en place de menottes.

(Dernière en vue, le curé du Mont st Michel, qui se balade ostensiblement, libre de tout artifice de protection, au nez et à la barbe du policier chargé de faire respecter les consignes sanitaires aux .......visiteurs, et qui en rit, avec lui)

Après, on constate le côté sordide de ces situations, pas tous égalitaires dans leur traitement. Des " hordes " d’individus, se livrent à des exactions bien plus graves, et pourtant relâchés illico presto par ce qui est sensé être une " police pour tous ".

(Le cas des émeutes dans beaucoup de piscines publiques )

Alors à quoi conduit tout cela ?

A la multiplication de certains " chevaliers masqués" qui se donnent le droit de partir en croisade, sauver l’humanité, traitant les autres de mécréants irresponsables.

D’autres, pour qui leur vie est subordonnée à leur justification de pouvoir/vouloir respirer librement, nonobstant la dissémination de leurs miasmes qui sont forcément " propres ".

Alors on en est ou ?

Nous sommes dans la situation d’un renard qui s’est pris la patte dans un piège à loup. Pour lui, se bouffer la patte, pour retrouver sa liberté coûte que coûte, quitte à s’amputer volontairement, ne fait pas de doute.

Tout cela mène à un état de déliquescence, voulu, ou les gens, deviennent haineux, pervers, traitres, collabos, envers LEURS concitoyens, parce c’est ce qui est voulu par ces marionnettistes, bien à l’abri dans les agrès,

Où la dernière limite, seront les accrochages avec les forces de l’ordre de plus en plus récurrents et violents, en actes et en partage d’opinions.

Arriveras tout naturellement le temps, où les gens, vont commencer à tirer sur les ficelles de plus en plus grosses qu’on leur tend, et ils feront choir, les individus qui les manipulent.

Et là, je n’aimerai pas être à leur place. Même si il faut admettre que ce sont eux, tout seul, qui ont fait le choix de se clouer à cette planche qui n’est plus celle de leur salut, mais bien celle de leur cercueil.