@Norman Bates
Du blabla, de la dialectique où vous êtes fort mais rien de factuel pour prouver vos dires.
Ce qui est affirmé sans preuve peut être rejeté sans preuve. Euclyde.

Des mots peut être bien tournés mais que des mots, pas des preuves.

La dérision a un impact dialectique mais n’est pas une preuve.

J’ai mis une vidéo sur la validité de l’argument, il y a la pyramide ou la cible de Graham.
Parmis tout vos commentaires, combien atteignent la cible ?
Vous n’argumentez pas, vous faites du bruit. Un bruit que j’apprécie la plupart du temps, il est sympa mais ce n’est pas un argument.

Pour ce qui est de la peur, pour les médias c’est vendeur, dès le début ça a dramatisé (enfin je suppose, je ne suis pas soumis aux médias français hormis ici). Au début le gouvernement faisait preuve d’une incompétence extrême, je ne crois pas que c’était dans leurs visées. Après je ne dit pas, ils sont très réactifs quand il s’agit de sortir du liberticide.
Si au niveau santé publique ce sont des bleus, pour baiser les français les penseurs et l’équipe était déjà en place à guetter des occasions. De l’opportunisme plutôt que du plannifié.

Raoult a surfé sur la vague de peur pour vendre ses salades, le sauveur, celui qui a dit que ça ne ferait pas plus de morts que les accidents de trotinette. Il a aussi fait croire que son médicament serait le miracle attendu. Dans la peur les gens tombent dans la croyance plutôt que la réflexion.
Je viens de relire ce que j’avais écrit à l’époque : je me réjouissais qu’un médicament générique mettait une quenelle aux big-pharmas. J’ai déchanté après avoir lu son papier mais c’est une autre histoire. Mais avant avoir lu l’étude j’étais euphorique non pas avec la fin de la peur mais à cause de la quenelle.

La drame team a démontré son incompétence, sa vénalité mais n’a pas poussé vers la peur.
C’est vrai que leur incompétence pouvait faire peur mais stupides comme ils sont je ne crois pas que c’était volontaire. On est en médiocratie, ils en sont un exemple.