Je crois qu’une fois passé le cap de l’instruction ultime, après avoir réussi à effacer les pollutions académiques structurantes et avoir fait ses propres recherches dans la passion qui nous anime, on devient alors sensé et sage sans être guidé par aucune violence infantile, redécouvrant ainsi l’épanouissement de l’essentialité. Mais l’imaginaire s’est éteint, on a coupé la lumière du pays qui porte son nom, il appartient maintenant à une structure méthodique qui l’emprisonne. Voilà donc la venue d’un espace/temps en contraction.