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Commentaire de Daniel Paruzzi

sur A l'ombre de l'épée


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Daniel Paruzzi 31 mars 2021 07:34

@Gaspard Delanuit
Je suis désolé, cher Gaspard, mais je comprends ce dont je parle beaucoup mieux que vous ne l’imaginez.

Helena Petrovana Blavatsky avait fondé, à New-York, une maison d’édition à laquelle elle donna le nom de Lucifer Publishing Company, que par prudence, elle renomma un peu plus tard Lucis Trust. La paternité revendiquée ici ne fait pas l’ombre d’un doute.

Quant à la théosophie, c’est une entreprise clairement satanique, dont Helena Petrovna était une des initiatrices, ainsi qu’Annie Besant, et qui a su infiltrer la culture jusqu’aux masses populaires, en inspirant notamment le mouvement Hippie dans les années 60, dont la propagande culmina dans la comédie musicale Hair qui aboutit au mouvement New Age  : Cette activité protéiforme explique le succès magistral de la déchristianisation fulgurante opérée après Vatican II (1965) et Mai 68, et dont vous semblez pleinement satisfait.

Le principe du New Age était de faire semblant de louer Jésus tout en le ridiculisant, ("Jésus-Christ Superstar", par exemple) ou en prétendant que son temps est fini. "This is the dawning of the age of Aquarius" chantent les hippies de Hair : la fameuse ère du Verseau dont l’avènement fait de Jésus, modèle de l’ère du Poisson, un has-been, un peu à la manière du Coran, qui fait semblant de lui rendre hommage mais ordonne à ses fidèles d’éliminer ceux qui veulent le louer. La théosophie est la racine de tout cela, et je vous assure qu’en matière d’illumination, ces gens disposaient de lumières très particulières provenant d’une source très sûre et savaient où ils allaient.


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