En dépit de la dictature sanitaire imposée à l’expérimentation
en masse des vaccins les plus onéreux, l’immense majorité des pays la contourne
plus ou moins, pour appliquer la prophylaxie élémentaire, qui consiste à tout
essayer avec prudence devant un virus inconnu.
La France fait partie des rares pays soumis, - une dizaine-, qui refusent stupidement (ou
pas) et criminellement, aux malades du
covid les premiers soins ainsi que la compétence des médecins généralistes,
garantie par le serment d’Hippocrate.
Il appartient au médecin, et à son patient, de choisir la
thérapie qui convient, avec ses connaissances et incertitudes en l’état sur les
traitements.
https://c19hcq.com/countries.html
La carte n’est certainement pas un reflet exact de la situation,
du fait de la difficulté à contourner le dogme imposé contre les médicaments
anciens, pour remonter les informations de terrain sur l’utilisation de l’HCQ.
Mais elle présente une idée et des indications.
A l’occasion du récent voyage de Raoult, l’on découvre que l’institut
Pasteur du Sénégal participe à une étude qui démontre l’efficacité de l’HCQ
avec l’azithro. https://www.marianne.net/monde/afrique/au-senegal-un-traitement-avec-de-lhydroxychloroquine-on-ne-suit-pas-aveuglement-loms
En France, l’institut Pasteur avait accompagné une étude
avec combinaison des deux médicaments qui démontrait l’inverse.
https://www.pasteur.fr/fr/espace-presse/documents-presse/etude-preclinique-montre-que-hydroxychloroquine-n-pas-effet-antiviral-contre-sars-cov-2-vivo
La première science de l’institut Pasteur est celle du vent
selon le pays où il est établi.