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Commentaire de Mr.Knout

sur Les voix féminines (et pas féministes) gagnent de plus en plus de visibilité


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Mr.Knout Mr.Knout 30 avril 2021 12:15

@sls0

Et voilà le retour de monsieur la synthèse, d’une bêtise crasse au point que cela fait plusieurs fois que je me trouve dans l’obligation de vous claquer le museau sous un propos que j’avais à la base prévu de critiquer sévèrement et démonter l’analyse partielle de la bimbo opportuniste qui est passé des photos provocantes, lèvre percée à la catho tradis en moins de temps qu’il ne m’en faut pour écrire ce message.
Il est pourtant aisé, les articles pullules, de trouver la bonne information qui permet de détruire l’argumentaire arithmétique (une obsession chez vous) que vous proposer là. Vous avez pris le premiers lien gogole sur "les pays où l’ont viol le plus" sans même prendre le temps d’étudier les données utilisées pour établir le classement : les cas déclarés sans même les affinés avec une mise en lumière de ces cas déclarés avec la population du pays.
Au Maghreb et en Afrique (En Asie, surout en Inde etc) la victime de viol est jugé aussi sévèrement voir plus que le bourreau, dénoncé un viol est très risqué, cela conduit à l’exclusion sociale, aux représailles, aux crimes d’honneurs, parfois même par la famille de la victimes et offre très peu de garantie d’un jugement du violeur. au Senegal un viol avec violence n’était encore en 2019 qu’un simple delit.

 "D’après le dernier rapport de l’ONU sur le sujet, « The World’s Women 2015 : Trends and Statistics », publié tous les cinq ans, ce sont elles qui, par rapport au reste du monde, paient le plus lourd tribut. Plus de 37 % des femmes – soit plus d’une Africaine sur trois – auraient en effet subi des agressions sexuelles au cours de leur vie. Le taux de viols par habitant y est aussi plus élevé que n’importe où ailleurs."

Au Maroc, où les autorités commence à prendre en main le problème de manière plus effective, moins de 10% des victimes déclarent les violences sexuelles subies. Dans les grandes villes marocaines le harcèlement de rue est devenu un problème majeur pour les femmes (ce qui au passage démontre que la culture du viol, le harcèlement de rue, est plus le fait de la marchandisation du corps et de l’omniprésence de la pornographie chez les dernières générations que d’une culture traditionnelle)


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