Ça me fait penser à Juan Branco : au bout d’un moment, quand on s’est laissé prendre aux joies et excitations du vedettariat, la crêpe se retourne et on morfle.
Dans ces cas là, à ce moment là, il est sage de se retirer : le boulot est fait, ce qu’il avait à dire est dit, on garde ses entrevues et vidéos, on s’en sert, on les diffuse, et c’est bon.
Nous autres, on dit " merci et tenez bon" ; on dit bien que les cimetières sont pleins de gens indispensables, aussi mieux vaut qu’ils soient sur le sol !!