Manifestement, il
existe une demande pour plus d’informations autour des événements du 11
septembre : qu’est-ce qui dans la version officielle peut être raisonnablement
remis en cause ? Qu’est-ce qui, en revanche, demeure irréfutable ?
Aussi... affirmer que
tout nous a été dit sur les événements du 11 septembre, c’est
faire preuve de la même arrogance niaise que de penser que tout dans
la version officielle n’est que mensonge.
A l’endroit de ceux qui
contestent la version officielle, un verdict sans appel (parlons aussi de
diagnostic) a été rendu : anti-américanisme, paranoïa, négationnisme et
complotisme.
Intéressante serait la
démarche qui consisterait à analyser les raisons pour lesquelles tant
d’hommes et de femmes des médias, patrons de presse et classe politique inclus,
ont absolument et impérativement besoin de penser - jusqu’à s’interdire tout
questionnement -, que la version officielle ne nous cache rien : quel
verdict à leur sujet ?
On
ne réalise pas assez ce que la recherche d’un confort matériel optimal - le
standing -, l’avoir, le paraître, la quête de notoriété et de respectabilité...
doivent à toutes les lâchetés d’une profession quelle qu’elle soit, -
médias, scènes artistiques et politique en particulier -, jusqu’aux pires compromissions...
jusqu’à aimer son bourreau ( en tant qu’individu, classe ou système
d’organisation de la société) et participer à son impunité et à sa prospérité
pour un chèque à la fin du mois et des perspectives d’évolution.
D’autant plus que tous savent qu’il n’y a pas de carrière
pour celles et ceux qui souhaitent le plus sérieusement du monde adresser la
question suivante : qui fait, à qui, où, comment, pourquoi et pour le compte de
qui.