Il
est grand temps de rappeler aux "zemmour de la politique", aux
délinquants, que la politique ne soigne personne et aux médias qui le soutiennent
que l’on ne soigne pas ses obsessions, ses névroses, sa paranoïa, sa
psycho-sociopathie et pour finir, les affres de son histoire familiale,
avec la politique qui plus est au détriment de la dignité auquelle chaque être
humain doit pouvoir prétendre.
Totalement sous l’emprise d’une généalogie familiale de la dépossession
(la perte du foyer qu’à été un territoire français - racines de la
généalogie familiale - qui porte aujourd’hui le nom d’Algérie ; et à
propos de cette perte... leur incompréhension, leur ignorance de
l’inévitabilité d’exigences de tout temps historiques, névrose, frustration,
ressentiment et haine...)... Zemmour n’a jamais su échapper à ce déterminisme
qu’est cette naissance que l’on ne choisit pas : notre « être au
monde ».
Si
l’on doit « débattre » avec ce zemmour-là, tout en gardant à l’esprit
qu’il n’y en aura pas d’autre, ce ne peut être que dans un seul but, un seul :
rappeler que tout porteur d’une parole raciste doit être considéré en rupture
avec notre République et qu’il ne saurait prétendre à aucune légitimité et
respectabilité quelles qu’elles soient.
Il
faut sans relâche exposer au grand jour l’illégitimité et l’ir-respectabilité
de cet individu jusqu’à satiété ; exposer les motivations réelles de cette
petite frappe de la politique.