Races = sous-espèces.
Bah, tout ça pour ça... C’est la loi du
vivant, pas de raison que les humains se distinguent des animaux et végétaux.
Et même à l’intérieur de la race Africaine, si
on mélangeait 20 noubas et 20 pygmées dans une grande pièce, n’importe quel
enfant de 6 ans, de n’importe quel endroit du monde pourrait les séparer sans
erreur en deux groupes auxquels ils appartiennent. Idem pour distinguer peuhls
et san. D’ailleurs, ce qui m’a toujours étonné, c’est le contraste entre la forte similarité
d’aspects dans chacune de ces ethnies et les très grandes différences entre
elles. Sans doute qu’en plus des adaptations morpho-géo-climatiques, naturelles dans
le monde du vivant, les cultures et pratiques de vies ont amplifié les
différences de phénotypes entre ces ethnies endogames pendant plusieurs
millénaires.
Une fausse idée aussi, plaquée par le schéma
arborescent de l’évolution darwinienne, est la recherche de l’ancêtre commun à
l’espèce humaine. Les découvertes qui continuent en paléontologie tendent vers
une évolution du singe à l’humain en plusieurs branches évolutives qui se sont
entrecroisées. Auquel cas, l’espèce humaine serait le résultat d’un
buissonnement. Ce n’est pas la même approche.
En somme, on pense toujours les races en
lignage, descendance. On peut penser une race en fabrication, avec pour
ingrédients, du temps générationnel, un espace, une communauté suffisamment
vaste pour éviter la dégénérescence sexuelle. Ladite communauté ayant fabriqué
une singularité culturelle suffisamment distincte des autres , c’est-à dire
aboutie et viable, pour que les membres
n’aient plus envie d’en changer.