On peut prendre le pari que Micron finira son mandat jusqu’à la dernière seconde du dernier jour et pas seulement pour avoir encore ce dernier joujou qu’est l’article 16 à essayer mais parce que et surtout un président n’est pas attaquable en justice, il est à l’abris de toute poursuite... S’il avait dû dégager ce serait fait depuis longtemps ; il a ses appuis à l’Assemblée et au Sénat qui peuvent aussi lui permettre de mettre en place l’article 16 et finir son agenda, ce pour quoi il a été placé.