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Marx - La lutte des classes

Pour Marx, la société s'organise autour d'une lutte historique entre deux forces antagonistes : les propriétaires et les prolétaires. Il pense que cette lutte mènera, à terme, au renversement de la classe capitaliste par le prolétariat et à l'instauration d'une société sans classes. Analyse de cette conception.

Tags : Economie Philosophie Culture Marxisme Capitalisme Libéralisme




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20 réactions à cet article    


  • 1 vote
    ezechiel ezechiel 2 avril 2023 10:52

    Travailleurs et chefs d’entreprises peuvent collaborer en harmonie (en corporations par exemple) sans que l’on ait besoin systématiquement de les opposer dans une « lutte des classes ».
    La lutte des classes, idéologie utopique mortifère et suicidaire diffusée dans le Monde entier a engendré le marxisme, le communisme, le socialisme, le léninisme, le trotskisme, le stalinisme, le nazisme, le castrisme, le maoïsme,.. qui ont fait plus de 100 millions de mort en moins d’un siècle par la répression, la mise en place de camps de concentration, et l’extermination de femmes, enfants, vieillards, civils, militaires qui refusaient de se plier à la doctrine de l’état social.

    « Si le prolétariat, dans sa lutte contre la bourgeoisie, se constitue nécessairement en classe, s’il s’érige par une révolution en classe dominante, et comme classe dominante, détruit par la violence l’ancien régime de production, il détruit, en même temps que ce régime de production, les conditions de l’antagonisme des classes ; il détruit les classes en général et, par là même, sa propre domination en tant que classe. »
    Karl Marx - manifeste du parti communiste

    « Les communistes ne s’abaissent pas à dissimuler leurs opinions et leurs projets. Ils proclament ouvertement que leurs buts ne peuvent être atteints que par le renversement violent de tout l’ordre social passé. Puissent les classes dirigeantes trembler à l’idée d’une révolution communiste ! Les prolétaires n’ont rien à perdre que leurs chaînes. Ils ont un monde à gagner. »
    Karl Marx - manifeste du parti communiste


    • 1 vote
      ezechiel ezechiel 2 avril 2023 11:19

      En fait, Karl Marx avait de manière sous-jacente compris que le problème que connaissait le "prolétariat", ce n’était pas un problème de "lutte des classes", mais de domination mondiale de l’industrie, des banques et des média par un groupe tout puissant, les juifs : 

      "Le Juif qui n’est, par exemple, que toléré à Vienne, préside, par sa puissance d’argent, aux destinées de tout l’Empire. Le Juif, qui peut être dépourvu de droits dans le plus petit État d’Allemagne, décide du sort de l’Europe"

      "Le Juif s’est émancipé d’une manière juive, non seulement en s’étant approprié la puissance de l’argent, mais aussi quand, par lui et sans lui, l’argent est devenu la puissance mondiale et l’esprit pratique juif est devenu l’esprit pratique des peuples chrétiens."
      "Sur la question juive" Karl Marx (1844)

      "Ne cherchons pas le secret du Juif dans sa religion, mais cherchons le secret de la religion dans le Juif réel.
      Quel est le fond profane du judaïsme ? Le besoin pratique, l’utilité personnelle.
      Quel est le culte profane du Juif ? Le trafic. Quel est son Dieu profane ? L’argent. Eh bien, en s’émancipant du trafic et de l’argent, par conséquent du judaïsme réel et pratique, l’époque actuelle s’émanciperait elle-même. Une organisation de la société qui supprimerait les conditions nécessaires du trafic, par suite la possibilité du trafic, rendrait le Juif impossible. La conscience religieuse du Juif s’évanouirait, telle une vapeur insipide, dans l’atmosphère véritable de la société. D’autre part, du moment qu’il reconnaît la vanité de son essence pratique et s’efforce de supprimer cette essence, le Juif tend à sortir de ce qui fut jusque-là son développement, travaille à l’émancipation humaine générale et se tourne vers la plus haute expression pratique de la renonciation ou aliénation humaine."
      "Sur la question juive" Karl Marx (1844)

      "Quelle était en soi la base de la religion juive ? Le besoin pratique, l’égoïsme.
      Le ’monothéisme du Juif est donc, en réalité, le polythéisme des besoins multiples, un polythéisme qui fait même des lieux d’aisance un objet de la loi divine. Le besoin pratique, l’égoïsme est le principe de la société bourgeoise et se manifeste comme tel sous sa forme pure, dès que la société bourgeoise a complètement donné naissance à l’état politique. Le dieu du besoin pratique et de l’égoïsme, c’est l’argent.

      L’argent est le dieu jaloux, d’Israël, devant qui nul autre dieu ne doit subsister. L’argent abaisse tous les dieux de l’homme et les change en marchandise. L’argent est la valeur générale et constituée en soi de toutes choses. C’est pour cette raison qu’elle a dépouillé de leur valeur propre le monde entier, le monde des hommes ainsi que la nature. L’argent, c’est l’essence séparée de l’homme, de son travail, de son existence ; et cette essence étrangère le domine et il l’adore.
      Le dieu des Juifs s’est sécularisé et est devenu le dieu mondial. Le change, voilà le vrai dieu du Juif. Son dieu n’est qu’une traite illusoire."

      "Sur la question juive" Karl Marx (1844)

      "Cette ordure de correspondant berlinois du Daily Telegraph, est un youpin du nom de Meier, parent du propriétaire de l’affaire, un youpin anglais du nom de Levy."
      Karl Marx, lettre à Engels, 9 février 1860

      "Le négro-juif Lassalle (...). J’ai maintenant acquis la certitude, comme le prouvent la conformation de son crâne et la pousse de ses cheveux, qu’il descend des nègres qui se joignirent à Moïse lors de la traversée de l’Egypte (à moins que sa mère ou sa grand-mère n’aient eu des relations avec un nègre). Il est certain que ce mélange de Juif et d’Allemand avec la substance de base du nègre devait donner un curieux résultat. L’importunité du camarade est également typique du nègre."
      Karl Marx, lettre à Engels, 30 juillet 1862

      etc...


      • 1 vote
        Fantômette contre Jean Robin Fantômette contre Jean Robin 2 avril 2023 13:02

        @ezechiel

        Hitler a dû s’inspirer de Marx finalement.


      • 2 votes
        Clocel Clocel 2 avril 2023 15:09

        Marx... P’tain... On va trimbaler ce boulet combien de temps encore ?


        • vote
          christophe nicolas christophe nicolas 2 avril 2023 21:45

          Moi je croirais Marx issu d’une lignée de Rabbins qui a prétendu que la religion était l’opium du peuple lorsque les communistes brûleront les synagogues sinon je n’y vois qu’un piège pour pousser les chrétiens vers l’incrédulité.

          La révolution et la misère de la révolution industrielle issue des "lumières" est due à l’accaparement et à sa forme moderne qu’est le culte de l’argent donc à un manque de mentalité christique et non pas à cause du Christ.

          Depuis quant le culte de l’argent serait-il la faute du Christ ? Les gens ont-ils lu ce que le Christ dit de Mammon ce qui montre son accord avec Moïse qui fustigea le culte du veau d’or.

          http://www.maria-valtorta.org/Thematiques/Mammon.htm

          Lorsque les hauts prélats mangent avec les exploiteurs, la charité s’effondre et lorsqu’ils mangent avec des savants incrédules alors la vérité en souffre or qui sont les champions du monde de la banque ? Qui a instauré le relativisme matérialiste en science ? Qui ?

          Moi, je dis que le Marxisme est de l’opposition contrôlée du culte de l’argent qui vise à flinguer le Christ, qui flatte les gens par leurs tendances les plus basses au lieu de réclamer la fin du culte de l’argent au nom du Christ. En effet, dans le cas contraire, Engels qui soutenait financièrement Marx aurait fait la révolution chez lui et pas en Russie.

          Moi je croirais Engels issu d’une  famille d’industriels Protestants fortunés lorsque la City deviendra communiste elle même... :)

          Ceux qui veulent rétablir la justice avec des révolutions rêvent, ils tombent bien souvent de Charybde en Scylla mais il ne faut pas se taire pour autant et dénoncer les pièges malintentionnés de ceux qui adorent le culte de l’argent ainsi que les mensonges qui en découlent comme le Christ l’a indiqué. Il faut exiger la démission des hauts fonctionnaires qui sont pris la main dans le sac en train de comploter pour le cukte de l’argent, c’est évident.

          Et Mammon, avec son rire moqueur, a juré : "Et sur ma Géhenne, je jure, que quand ce sera l’heure, je viendrai. Je serai partout présent près de ceux qui seront évangélisés et nous verrons qui des deux, moi ou Toi, sera le vainqueur"


          • 2 votes
            Paul Jael 2 avril 2023 23:46

            Le besoin de se définir par le rôle dans la lutte des classes motive beaucoup de partis de gauche. Ici encore, la circonspection doit prévaloir. Ce concept est généralement mal compris. Un malentendu très répandu le dessert. Les discours de gauche la célèbrent, les discours de droite la flétrissent, mais toutes les classes, tous les partis politiques la pratiquent. La lutte des classes est omniprésente et l’a été de tous temps. La classe dominante ne s’y livre pas moins que la classe dominée, les partis de droite pas moins que ceux de gauche, même s’ils prétendent la dénoncer. Par exemple, mettre en place une filière d’évasion fiscale par les paradis fiscaux et utiliser une telle filière, c’est pratiquer la lutte des classes. L’exaltation de la lutte des classes par l’extrême gauche ne porte donc pas sur la lutte des classes en tant que telle, mais sur son propre rôle dans cette lutte. A la différence de la gauche, la droite n’assume pas sa participation à la lutte des classes. L’idéologie de toute classe dominante identifie son intérêt propre avec l’intérêt général. Faisant sienne cette idéologie, la droite prétend défendre l’intérêt général lorsqu’elle promeut les intérêts dominants. Depuis les années 1980, la droite se révèle plus efficace que la gauche dans la lutte des classes.


            • vote
              Fantômette contre Jean Robin Fantômette contre Jean Robin 3 avril 2023 09:42

              @Paul Jael

              La gauche fait semblant de promouvoir la lutte des classes mais promeut la lutte des races, en réalité, depuis les années 1980-90. Etant devenu libéraux, y compris à l’extrême-gauche, leur but n’est plus la destruction de l’ordre bourgeois mais le triomphe de celui-ci, à travers l’abaissement des résistances nationales et étatiques et le grand mélange babélien des races et des peuples. Cela convient parfaitement aux transformations de l’économie mondialisée.

              Il n’y aucun parti de gauche à ma connaissance qui soit à la fois anti-mondialiste et anti-babélien au sens national. Des gens comme ZZ ou MLP sont plus à gauche que toute la gauche prétendument anti-libérale, en réalité libéraux-mondialistes. Ils le sont tout simplement parce qu’ils donnent un cadre réaliste à leurs tendances sociales. Pour la gauche, la France doit être subvertie par l’immigration, c’est-à-dire par les nouvelles conditions du capitalisme cosmopolite (en gros, c’est Emm. Macron, aussi).


            • vote
              nono le simplet nono le simplet 3 avril 2023 09:50

              @Fantômette contre Jean Robin
              Des gens comme ZZ ou MLP sont plus à gauche que toute la gauche
              lol ... t’y vas pas avec le dos de l’écuyère ... champion du monde !


            • vote
              Paul Jael 3 avril 2023 12:30

              @Fantômette contre Jean Robin
              J’écrivais que la droite est hypocrite quand elle reproche à la gauche de valoriser la lutte des classes parce qu’elle la pratique tout autant ou plus ; simplement, elle ne l’assume pas. Rien dans votre texte ne contredit mon diagnostic. 
              Vous avez raison lorsque vous déplorez que la gauche a déserté la lutte des classes ; elle a effectivement déplacé son action sur d’autres terrains et je le regrette. Maintenant, n’exagérons pas : il y a toujours plus de sens social chez la gauche que chez la droite.
              Concernant la cohabitation entre allochtones et autochtones, penser que la gauche souhaite une lutte des races est excessif et réducteur. Mais il est vrai qu’une partie de la gauche traite cette problématique avec légèreté. Mon article Agoravox du 29/12/22 sur l’"islamo-gauchisme" et l’i"slamophobie" apporte un éclairage original sur la question.


            • vote
              Fantômette contre Jean Robin Fantômette contre Jean Robin 3 avril 2023 16:47

              @Paul Jael

              La gauche n’est pas moins hypocrite que la droite : elle promeut le capitalisme mondialisé, notamment par l’intermédiaire de l’immigration généralisée, en feignant de s’opposer à lui.


            • vote
              Jean Keim Jean Keim 3 avril 2023 08:19

              On peut écrire des lignes et des lignes, mais finalement la lutte des classes ne peut avoir lieu que si nous nous rangeons dans une classe, partons de là ; pour les plus affûtés essayons de percevoir que sans les autres, nous n’avons aucune chance ne serait-ce que de survivre.

              On dit souvent que nous cherchons à préserver notre pré carré, en fait nous tournons en rond piégés dans un mode de penser circulaire.


              • 1 vote
                xbrossard 3 avril 2023 15:27

                Le problème de base, c’est que la classe propriétaire DECIDENT pour la classe prolétaire parce que la classe prolétaire met à disposition sa force de travail qui est "loué" par les capitalistes, et en tant que "loué" n’a pas de pouvoir de décision, en particulier ne décident pas du partage de la valeur ajoutée.

                Alors que dans un vrai système égalitaire en droit, où les hommes ne sont pas considérés comme des biens à louer, ce devrait être les moyens de production que les propriétaires devraient mettre à louer et en tant que loueur de biens ne devraient avoir que le prix de la location (FIXE) et ne devraient pas décider dans l’entreprise. Après tout si la productivité, et donc la plus-value, augmente, ce n’est pas grâce à des usines mais grâce à ceux qui les font tourner.

                Au final, il faudrait que l’utilisation de moyens de production devrait se faire par des entrepreneurs pas nécessairement capitaliste qui loueraient ce dont il a besoin au sein d’une coopérative où le partage de pouvoir est présent, les capitalistes ne pouvant que récupérer l’argent de location de leur biens.

                La lutte des classes se résument donc à faire accepter à la classe capitaliste le fait que les prolétaires ne sont pas des biens à louer alors que leur usine, si. C’est pourtant humain à comprendre, non ?


                • vote
                  Fantômette contre Jean Robin Fantômette contre Jean Robin 3 avril 2023 16:26

                  @xbrossard

                  Ca, c’est l’éternelle rengaine paresseuse des "damnés de la terre". La plus-value de la production ne vient pas uniquement du travail manuel : mais aussi de la conception du travail, de la conception des machines, du capital engagé (pour les essais, pour les machines, pour l’emploi), de la publicité, de la diffusion, de toute l’organisation en entreprise qui permet de produire. Si vous louez une voiture, ça n’est pas votre voiture ; c’est une voiture louée pour un objectif précis et temporaire qu’a conçu le loueur avant vous. Si vous prêtez votre voiture, vous voudriez être assuré de la revoir en bon état etc ; vous vous projetez plus loin que le simple utilisateur.


                • vote
                  xbrossard 5 avril 2023 00:05

                  @Fantômette contre Jean Robin

                  c’est vous qui n’avez pas compris : pour moi, les concepteurs des machines produits par les usines, les publicitaires, les diffuseurs font parti de la coopérative puisqu’ils font partie de la production, ils sont donc co-décideurs. Par contre, l’apporteur d’argent, qui ne fait que ça, joue le rôle de la banque et en tant que tel, n’a pas plus de pouvoir de décision qu’une banque : il intervient au début pour valider ou non le "projet" en prêtant son argent, mais pas après. De même pour tout ce qui est location des usines.
                  Il n’est donc pas question du faire du misérabilisme en parlant de damnés de la terre, soyons sérieux, tout le monde a un rôle à jouer. Il n’y a que 2 classes dans le travail : ceux qui travaillent, qu’ils soient ingénieurs ou simple ouvriers, et les fournisseurs de ressources (argent, usine, etc...).

                  Quand vous louez une voiture, le prix comprend l’assurance contre les accidents, c’est la même chose pour les biens de production.


                • vote
                  Fantômette contre Jean Robin Fantômette contre Jean Robin 5 avril 2023 09:20

                  @xbrossard

                  Non, c’est complètement faux ; vous réduisez les choses à deux classes artificielles commodes pour un discours politique. Le travail et le capital sont mélangés ; les banquiers ne travaillent pas peut-être lorsqu’ils investissent dans l’économie ? Les entrepreneurs-capitalistes en retour n’investissent-ils pas dans les banques ? Telle banque va suivre tel entrepreneur sa vie durant dans tous ses projets, que ce soit l’achat de machines, le lancement d’un produit, l’emploi, l’achat d’un appartement etc. Les salariés également sont motivés à la réussite de l’entreprise. La réussite du capital concerne tout le monde, à des degrés divers de responsabilité. Vous n’avez pas parlé de la responsabilité mais dans l’économie de marché, très inégalitaire par définition, vous ne pouvez pas créer un cours forcé de la responsabilité ; ce serait recréer les conditions soviétiques de l’économie...


                • vote
                  nono le simplet nono le simplet 5 avril 2023 09:54

                  @Fantômette contre Jean Robin
                  l’économie vue par les bisounours


                • 1 vote
                  Fantômette contre Jean Robin Fantômette contre Jean Robin 5 avril 2023 10:16

                  @nono le simplet

                  Une phrase sans queue ni tête de plus. Et ça se vieillit jusqu’à 1974...


                • vote
                  nono le simplet nono le simplet 5 avril 2023 10:30

                  @Fantômette contre Jean Robin
                  Et ça se vieillit jusqu’à 1974
                   par contre elle a du sens ta phrase ... smiley
                   en 74 j’avais 20 ans et tu aurais pris mon pied au cul à coller des affiches du GUD, Occident, Ordre nouveau et autres petites tapettes de l’époque ... ils courraient comme des lapins quand ils nous voyaient ...


                • vote
                  Fantômette contre Jean Robin Fantômette contre Jean Robin 5 avril 2023 11:27

                  @nono le simplet

                  De maoïste fringant à macroniste croûlant, quel illustre parcours ! Tout ça pour finir comme midinette socialiste sur internet à jeter de petites phrases absurdes, venteuses et à allonger inutilement les conversations, sans jamais rien comprendre, jamais rien expliquer mais toujours se mettre en avant superficiellement... Des socialistes devenus libéraux, on en a vu d’autres. Vous auriez l’âge de vos idées mais pas l’âge de votre caractère.


                • vote
                  nono le simplet nono le simplet 5 avril 2023 13:51

                  @Fantômette contre Jean Robin
                  De maoïste fringant à macroniste croûlant
                  ne postule pas au boulot de physionomiste à l’entrée d’une boîte ...
                  j’ai jamais supporté les maos ... pas plus que les macros ... et bien sûr encore moins la droite extrême et l’extrême droite ...
                  le petit livre rouge ... et pourquoi pas la bible smiley



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