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robert biloute

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  • Premier article le 21/11/2012
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    robert biloute 17 février 2014 17:13

    ça me semble bien mal barré pour ça..
    Et les progrès technique exponentiels ne font qu’accentuer ce sentiment que l’individu se suffit à lui même je suppose. Assez paradoxalement, puisque ce montage technique est incroyablement organisé, gourmand en ressources.
    Mais de fait, ces moyens techniques confère à un humain des possibilités inimaginables il y a peu. Ce rythme de progression est hallucinant, et double notre jugement éthique il me semble. Ce qui aujourd’hui est considéré comme "pas naturel" est limité au champs du possible, demain vous pourrez sûrement faire un enfant de vous avec vous, créer de nouvelles espèces adaptée à la production, vous passer d’un utérus pour faire un enfant..
    On peut même se demander si cette technique ne va pas accéder effectivement à cette autonomie individuelle : comme dit Arthur Clarke "Toute technologie suffisamment évoluée est impossible à distinguer de la magie.". Pour combien de personnes, ça par contre..



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    robert biloute 17 février 2014 17:00

    haaa exact autant pour moi



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    robert biloute 17 février 2014 16:46

    haha je veux bien reprendre du gateau choco-poire s’il en reste.

    Sinon sur le film, j’ai eu la même impression que je ne sais plus qui sur ce fil : j’y ai vu un sacré renversement entre l’anarchiste libérateur du peuple et le milliardaire répressif. Bon, tout ça n’est pas objectif bien sûr, mais dans le genre je trouve que ce film, que j’ai bien aimé par ailleurs, atteint des sommets dans le magouillage associatif entre "anarchie, liberté, autonomie, vérité" et "chaos, délinquance, terrorisme, manipulation". Dans le cadre de ce fil, c’est un discours intéressant, dans le contexte d’un film hollywoodien, je tique..



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    robert biloute 17 février 2014 16:34

    pas "l’écume de l’océan" mais "les profondeurs de l’océan (inconscient) par rapport à l’écume (conscient)"



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    robert biloute 17 février 2014 16:32

    Pour rebondir sur vos discussions autour de l’utilisation du mot "peuple" avec sieur Delanuit, je suis d’accord avec vous et il me semble qu’il faut peut être ajouter une dimension collective, face à la seule exigence de préparation personnelle, et une dimension émotionnelle (je ne suis pas sûr que le mot soit bien choisi, mais bon..) à la seule exigence rationnelle.

    Je m’explique : Gaspard remarque, à juste titre, que le mot "peuple" est souvent utilisé mais se retrouve la plupart vide de sens. Il rappelle que seul un individu pense par ex.
    Je suis d’accord avec ça, en même temps peut on se passer d’une analyse du comportement des foules, des masses. ça ne rejoint pas forcément la notion de peuple, mais il y a cette idée de comportements émergents, comme si la collectivité (temporaire ou non) présentaient ses propres caractéristiques, inédites par rapport au comportement individuel de chaque individu la composant.

    Je repense surtout à ça en lien avec Bernays, un fondateur du domaine des relations publiques et neveu de Freud si je nmabuse, aux méthodes développées notamment pour la marketing, et aux conseils de manipulation de foules d’un Hitler par ex.
    Dans toutes ces activités, on part du principe que la foule est comme un individu en soit, de plus un individu entièrement soumis à ses pulsions et non à sa raison. Il semble que prendre les choses de cette manière est très efficace, qu’on soit d’accord ou pas avec l’usage qui en est fait.

    Donc, il n’y a pas de peuple, peut être, il faut réfléchir et se documenter, sûrement, mais quid de la dimension collective, émergente, et entièrement fondée sur les affects ?
    Dit autrement : est ce qu’un troupeau d’individus informés n’est pas capable des pires atrocités, des pires dénis sous l’influence du comportement collectif et des émotions mal gérées ?
    Cette partie pourrait être la partie émergée de l’iceberg, voire "l’écume de l’océan" comme le disait Jung à propos de l’inconscient.
    Il me semble que cette problèmatique pourrait être traitée dans le cadre d’une école "à la grecque", ou le maitre mot serait "la maitrise des passions" : exploiter ses gouts, ses névroses, ses obsessions, en les identifiant, en les dressant, en s’exerçant à la technique et en pratiquant l’art (art au sens général). Quoique nous somme encore au niveau de l’individu.

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