Et encore, il n’a pas cité la Syrie Poutine (certainement qu’il garde cette pièce maîtresse dans sa stratégie de jeu d’échecs, à utiliser en temps voulu ...).
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Cette histoire, comme bcp le sont, sont une affaire de bêtise ou pas, de lâcheté ou pas, de suivisme bête et méchant ou de courage et d’intelligence ... devinez ou se place la Russie qui ne fait que défendre son camp et l’Usionisme et ses vassaux tenus en laisse, qui en définitive, seront les vrais perdants quelle que soit la puissance qui l’emporte.
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