Très bien de déconstruire l’amalgame récurrent
entre les PME et les grandes entreprises. Surtout au niveau de l’optimisation
fiscale, on parle là de deux univers fiscaux différents. Ce monsieur va à
rebours des discours droitard et gauchistes idiots qui consiste à valoriser ou
à condamner comme un bloc uniforme « LES entreprises ».
Prochaine étape pour viser plus précisément
encore le cœur de la cible : cesser de parler des grandes entreprises qui peuvent
être très utiles à la communauté nationale, notamment en termes d’accumulation
de puissance, pour ne parler que du grand actionnariat qui lui , ne l’est pas mais
qui structure pourtant l’ensemble de l’économie.