@herve_hum
j’écris dans mon précédent commentaire
Cela veut dire qu’il y a de richesse que le temps de vie des êtres où
l’or, l’argent, l’impôt, la souveraineté, la propriété, ne sont que des
moyens de s’en rendre maître.
Ce n’est pas exact, l’argent, en tant que mesure de la valeur du temps de vie dédié à autrui et détenu sur autrui, est équitable dès lors où personne ne prélève un impôt sur l’échange. L’argent ne travaille pas, ce sont les humains qui travaillent. L’intérêt de l’épargne est en soi du vol et sa valeur devrait être fondante avec le temps.
L’impôt, lorsqu’il sert pour les infrastructure et le bon fonctionnement de la société n’es pas non plus de la prédation. Sauf lorsqu’il sert aux collecteurs de l’impôt de prélever une part indu. Tel un président et des députés ou sénateurs qui se votent eux même leur émoluments, par ailleurs considérés comme un conflit d’intérêts qui conduit à un abus de biens sociaux et prise illégale d’intérêts, puisque normalement ce sont les citoyens qui sont leur employeurs et donc qui seuls devraient décider de leur rémunération via par exemple un référendum. Mais étrangement, il n’y a personne de quelque bord que ce soit qui le dénonce. Même et surtout ceux qui se font les parangons de la vertu politique
donc, c’est toujours l’équilibre, l’équité de l’échange qui interdit la prédation ou le parasitisme. Où aucun particulier ou groupe ne prélève un impôt indu qui relève d’une forme de prédation.