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C’est vrai, comme vous l’observez, il existe sans doute encore des
journalistes respectueux et intelligents qui utilisent une
dialectique humaine en mesurant l’espace qui sépare la bonne
critique objective de la critique du journaleux inculte qui comme la
plupart des macroniens traversent toujours la période
oedipienne, malgré leur âge avancé. Ils ne sont pas terminés.
Le besoin de tuer le père tellement puissant chez
le psychopathe macron, cette poupée gonflable d’un capital
dévastateur. Qu’ils aillent au diables ces petits dictateurs, depuis quelques années nous les subissons.
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Je ne peux oublier tous les artistes qui se taisent en ne dénonçant pas les abus de ce pouvoir dévoyé. L’argent pollue les humains, nul homme n’est à l’abri de ce dilemme. C’est pourtant le peuple qui les idéalise.
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Ecoutez Michel Onfray, dont je ne partage pas toutes les idées, mais qui explique clairement qu’en évitant l’agrégation et le parisianisme il n’a pas perdu son âme. Il ferait un bon politique si son coeur lui permettait. Sa manière d’évoquer la beauté simple de son père nous parle de son équilibre psychique, phénomène inverse chez l’erreur de la nature citée plus haut.
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Les critères d’harmonie et d’équilibre devraient être fondamentaux dans les choix des électeurs. La sagesse devrait habiter les hommes responsables. Le pouvoir de la marchandise, le capital, même moribond occulte encore le bon sens mais aussi la raison. L’absence de maturité traverse toutes les classes sociales, c’est même la seule forme d’égalité universelle.
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