Agression du reporter à Reims : Suspect 21 ans multirécidiviste condamné 8 fois, trois ans sur notre territoire, faut-il expulser ?
Violent accrochage ce matin dans "Morandini Live" sur CNews autour du jeune Algérien multirécidiviste qui a attaqué le journaliste à Reims : Faut-il expulser ?
Tags : Justice Violence Florian Philippot
71 réactions à cet article
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Pour les représentants du mondialisme, "l’enjeu est que tout le monde soit à égalité". La nationalité n’a donc aucune importance. C’est la base de leur logiciel et c’est même pire que cela : L’étranger criminel a plus de droit que le Français ou même l’immigré honnête et travailleur qui est présent légalement. Dans le Var, on dépense plus pour les MNA (des clandestins donc et qui mentent très souvent sur leur âge et leur passé) que pour les collégiens du département : 22M d’€ vs. 19.
Je signale au passage que l’Algérie est en train de plancher sur une loi pour destituer de leur nationalité les Algériens à l’étranger qui nuirait au pays (l’Algérie). Autrement dit, on va probablement bientôt se retrouver avec des binat criminels que l’on ne pourra même plus expulser puisqu’ils auront été dénaturalisés par leur pays d’origine, pays qui préfère nous laisser gérer leurs cas sociaux et leur trop plein démographique. Pourquoi se priveraient-ils d’ailleurs ?
La France est dirigée par des traîtres et des crétins idéologisés au droitdel’hommisme comme ce gourdiflot à queue de cheval qui récite sa leçon anti-française : pour lui, l’étranger qui commet des crimes n’a pas à être expulsé mais juste "condamné" (sachant que les condamnations sont ridicules) parce que "c’est ça la République" clame-t-il triomphalement. Et comme le lui fait remarquer Philippot, il a raison : la République, c’est exactement cela, à savoir la préférence étrangère. La République, en 2021, c’est laisser crever de faim les étudiants mais claquer 100K/an pour des clandestins. La République c’est garder sur notre sol et entretenir (une journée de prison c’est de 100€ à 300€/jour) des criminels multi-récidivistes qui peuvent massacrer des citoyens Français et "en même temps" aligner à coup de PV le Français qui n’a pas son masque. 4 Français sur 5 l’ont voulu. Ils l’ont.
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Pénible à écouter, du Morandini.
La justice juge d’après des lois, l’expulsion n’est pas dans ses prérogatives, c’est de l’administratif.
L’expulsion est une mesure administrative visant à éloigner un ressortissant étranger du territoire. Elle est prononcée dans des situations graves, liées à la protection de l’ordre public ou en cas d’atteinte à la sûreté de l’État. Elle est prise par le préfet ou par le ministre de l’Intérieur. L’étranger peut être renvoyé de force dans son pays d’origine ou dans un autre pays. La procédure est donc exceptionnelle, encadrée et doit être justifiée.
Pour plus de détails :
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@ZardoZ
Du fait qu’il avait une carte de séjour ce n’était pas un clandestin. Un peut bancale ton argument.
Tu peux faire évoluer la loi mais c’est le ministre de l’intérieur ou le préfet qui décident.
Tu t’en branles de la loi c’est bien mais ça ne fait pas avancer les choses.
A priori la p’tite frappe s’en branle aussi des lois, vous avez quelque chose en commun.
On pourrait mettre le zardoz et la p’tite frappe dans le même avion. -
@sls0
"Tu t’en branles de la loi "
Comme vous au moment de la dissolution de Génération Identitaire, donc évitez de faire la leçon sur le sujet. Vous êtes très "rigoureux" quand il s’agit de défendre les droits d’un étranger multirécidiviste beaucoup moins quand il d’agit de ceux d’une association qui lutte contre ce genre de situation, tout est dit sur votre idéologie. -
@julien
Il me semble avoir écrit que je m’en foutais de génération identitaire.
Que je n’étais pas favorable à la dissolution de l’association car ça laissait des psychopathes dans la nature malgré que la plupart soient fichés S.J’ai eu un différent avec un marocain multirécidiviste, c’est lui qui est parti et certaines mauvaise langues ont dit que j’étais responsable de sa mort.
Le con il a quitté une petite ville de province tranguille pour Fameck. A Fameck j’ai dit de se méfier d’une balance sans plus. -
@sls0
Même d’un point de vue strictement juridico-juridique, vous racontez n’importe quoi. En effet, l’homme en question était en situation irrégulière sur le territoire français (info du ministère de l’intérieur) car le droit à l’installation en France n’est pas automatique mais conditionné pour les étrangers munis d’un titre de séjour européen :
https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F1375
Il y a des démarches à effectuer et des conditions à remplir pour obtenir une carte de séjour en bonne et due forme. Apparemment, ce n’était pas le cas avec cet étranger en situation irrégulière qui, ne pouvant travailler en France, était donc dans l’incapacité de subvenir à ses besoins, et aurait par conséquent dû être l’objet d’une mesure d’Interdiction du Territoire Français, laquelle, contrairement à la mesure d’expulsion, est une mesure pénale prononcée par le juge :
https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F2784
L’ITF est prononcée par un juge pénal contre un étranger qui réside en France et qui a commis un crime ou un délit. Elle peut intervenir comme peine principale ou, le plus souvent, comme sanction complémentaire à une peine de prison ou une amende.
Je suppose qu’il est moralement satisfaisant d’inventer des arguties juridiques pour donner un vernis de rationalité à des dysfonctionnements flagrants de la justice qu’il n’y a pourtant aucune raison de justifier ou d’accepter. Pouvez-vous me citer un seul pays démocratique qui appliquerait ce genre de loi et laisserait des délinquants étrangers se maintenir en toute impunité sur leur territoire ? Cette affaire sordide révèle clairement ce que tout le monde sait, de manière intuitive ou rationnelle, à savoir que le justice française, pour tout un ensemble de raisons (matérielles, politiques...) ne fait pas/plus normalement son travail et que d’innombrables exceptions et complaisances ont fini par donner l’impression à certains que la loi n’existait pas ou, à défaut, qu’elle ne devrait jamais être vraiment appliquée (au prétexte parfois qu’elle ne serait pas applicable).
Mais en l’occurrence, la loi existe, et ce type aurait dû en réalité être expulsé après avoir commis sa première infraction. Ca ne devrait même pas faire l’objet d’un débat. La seule question à poser est par conséquent : pourquoi la justice n’a-t-elle jamais ordonné cette ITF ?
Les propos du type de LFI sont d’ailleurs d’une absurdité déconcertante ("Il a sa place en France autant que n’importe quel récidiviste" lol) mais montrent bien l’ampleur du déni sur ces questions au sein de la gauche. Balancer comme ça que la nationalité française n’a aucune importance au regard de la récidive et qu’il n’existe pas de base en droit pour différencier des nationaux et des étrangers dès lors qu’ils sont (irrégulièrement) présents sur le territoire est un mensonge flagrant ou une méconnaissance partisane de la loi française.
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@Joe Chip
Les conditions pour la prononciation de l’ITF :- Violences graves
- Viol ou agression sexuelle
- Vol avec violences
- Meurtre
- Acte de terrorisme
- Trafic de stupéfiants
- Travail illégal
- Usage de faux papiers
- Fraude au mariage (mariage blanc fait uniquement pour avoir un titre de séjour)
Peut être que ses 8 condamnations étaient pour des faits pas trop grave. Il y avait bien trafic de stupéfiants. Si c’est comme beaucoup de la vente en bas d’HLM il y avait peu de risque, si c’est chef de réseau organisant des gofast, il y a droit.
Maintenant avec violences graves il y aura droit.
Je regarde ça de très loin, je ne suis au courant que vis à vis de la vidéo.
Philippot en parle c’est tout, en général je m’en fous de ce que dit Philippot, il fait souvent monter la mayonnaise pour du détail.
Bref, je m’en fous, je ne réagis que par rapport à la mayonnaise.
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@sls0
Ben voyons, "du détail"...Un mec a été massacré et a été plongé en coma artificiel pauvre enculé (censurez-moi si ça vous chante mais je le pense) et ne va peut-être jamais en sortir demeuré.
"Anis-Said Khebbeb, résidant dans le quartier Croix-du-Sud à Reims depuis trois ans et demi. Il a été condamné 8 fois en 2018 et 2019, pour vols avec effraction, trafic de stupéfiants et violences en réunion. Il a été incarcéré au printemps 2020."
(source : https://www.lest-eclair.fr/id237637/article/2021-03-03/agression-dun-photographe-de-lunion-le-point-sur-ce-que-lon-sait-avec-le)"Peut être que ses 8 condamnations étaient pour des faits pas trop grave. "
Et peut-être et même très certainement, tu devrais fermer un peu ta gueule.
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@Conférençovore
Si tu te sens aussi concerné à l’initiative de l’association des travailleurs maghrébins de France (ATMF) et du comité de défense des locataires de Croix-Rouge, un rassemblement sera organisé jeudi après-midi, à partir de 16 h 30, sur le parking de la médiathèque du quartier en hommage au reporter. -
@sslow
Les hommages sont là pour célébrer les héros. Cet homme n’en était, est pardon, pas un, mais lui et sa famille ont évidemment toute ma sympathie dans l’épreuve.
Les hommages suivis de... rien derrière ne sont qu’hypocrisie crasse.
Le meilleur moyen de rendre justice à toutes ces victimes aléatoires (et causées par pratiquement toujours les mêmes) du fruit des politiques approuvées par des pourritures (et autres niais inconscients) dans ton genre est de changer de politique. J’y travaille à mon petit niveau et pacifiquement, mais en face, je sais très bien qu’il y a des salopes de collabos de ton espèce qui sont d’autant plus arrogates qu’elles ont l’intégralité du système derrière elles. -
@sls0
J’avais commencé par élaborer une longue et fastidieuse réponse mais c’est inutile.
Vous racontez n’importe quoi, vraiment, ou vous ne savez pas de quoi vous parlez, ou vous êtes de mauvaise foi. Vous étiez parti sur l’expulsion administrative, maintenant vous êtes sur l’ITF... quant à l’argument du "si Philippot le dit..", bon, moi je suis pas Philippot, je m’en fous de ce qu’il raconte ou de sa récupération.
L’entrée et le séjour irrégulier en France est un motif d’ITF. Par ailleurs une ITF n’est pas assortie à la "gravité" des faits mais à la qualification comme crime ou délit (ici, vols, violences en réunion, non exécution de TIG, etc.). Les infractions à la législation sur les stupéfiants et la multirécidive constituent des circonstances aggravantes qui auraient dû motiver une ITF à de multiples reprises.
La notion de gravité ne peut entrer en compte que dans des situations très précises définies dans l’article 131-30 du code pénal (étranger exerçant l’autorité parentale et subvenant aux besoins d’un enfant, résidence habituelle et régulière en France depuis l’âge de 10 ans, ou d’une durée de plus de 15 ans...)
Autrement dit, un étranger en situation irrégulière qui commet des délits sur le territoire français est expulsable, c’est ce qui dit positivement la loi, et les exceptions prévues ne concernent pas ce cas précis. C’est logique et simple à comprendre.
Le fait qu’une sorte de jurisprudence relativiste se soit peu à peu substituée à la loi et imposée comme "impératif catégorique" dans l’esprit de nombreuses personnes en rendant illégitime tout contrôle des frontières ou toute expulsion d’étranger en situation irrégulière sur le territoire, quel que soit le cadre d’application de la loi, ou le cas échant en compliquant le cadre pour rendre toute expulsion impossible, n’y change rien.
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@Conférençovore
Comme c’est un journaliste local je t’explique l’histoire.
Le matin il y a un achat massif de battes de baseball et de club de golf par des jeunes du quartier de la croix rouge.
Ça sent la bataille de bandes.
En début d’apès-midi une journaliste de l’union apprend qu’une bataille rangée risque d’avoir lieu dans le quartier de la croix rouge.
La journaliste y va avec une voiture banalisée et le photographe y va avec une voiture de l’union car il a une réunion à 15h30.
A 15h ils se rejoignent sur le parking du Quick à 100m de la place Georges Braque où sont les jeunes.
Il n’y a pas encore d’infraction ou bagarre.
Le photographe est repéré par les jeunes, ce n’est pas encore du reportage mais de l’atteinte à la vie privée. Elle est d’autant plus privée qu’ils préparent normalement une baston.
Le jeune court vers le photographe pour certainement faire effacer ou récupérer la carte SD. Une dispute s’en suit d’abord avec les poings ensuite l’appareil photo a servit, à 100m pour la photo c’est du lourd, 2 à 4kg. Les jeunes s’en vont et on retrouvera l’appareil plus loin sans la carte.
Pour le jeune c’est coups et blessures sans préméditation et non assistance à personne en danger. Faire des photos sans autorisation de personnes ça ne passe pas toujours bien.
Il y a des vidéos de surveillance de cette dispute, il y en a charge et à décharge dans les vidéos.
Pas trop claire au niveau culpabilité cette affaire, bon le jeune est fautif, comme d’habitude Philippot joue sur l’émotionnel sans avoir tout les éléments.
Je pensais trafique de drogue, même pas il a été chopé pour consommation.
Pour avoir des billes comme l’union est un journal local j’en sais plus que par RMC. -
@sls0
"Faire des photos sans autorisation de personnes ça ne passe pas toujours bien."
"de cette dispute"
Petite salope, tu me répugnes. -
@Louis la tocante
Ah oui quand même, c’est grave ! j’espère que l’avocat du jeune "suspect" portera plainte pour le préjudice moral causé par ces "photos sans autorisation"...
Il mérite réparation avec des dommages et intérêts conséquents que le photographe devra lui verser...ou sa famille, si jamais il clamse...
On ne joue pas avec la dignité des gens impunément, voyons... -
@Norman Bates
J’espère aussi que la garde à vue se passe bien, que les flics font preuve d’une extrême délicatesse avec ce susceptible du droit à l’image...
Ils prieront sans doute l’intéressé de signer une autorisation avant d’immortaliser sa binette pour la classer dans les fichiers... -
@Conférençovore
Mais moi aussi je t’aime, je sens que ce sera idylique chez Norman.
Si le mot dispute te déplait, je ne fait que répéter les mots du procureur qui a vu les vidéos, vois ça avec lui, explique lui son métier. Dit lui que ses conclusions ne collent pas avec tes fantasmes. -
@Norman Bates
Je ne vais pas perdre mon temps à discuter des heures avec toi vu l’heure.
De la lecture t’en fais ce que tu veux.
https://www.legavox.fr/blog/maitre-anthony-bem/sanctions-atteintes-droit-image-personne-20771.htm -
@sls0
"Je pensais trafique de drogue, même pas il a été chopé pour consommation. "Comme tu n’as pas pigé au premier coup, je te recase la réalité en gras souligné :
"Anis-Said Khebbeb, résidant dans le quartier Croix-du-Sud à Reims depuis trois ans et demi. Il a été condamné 8 fois en 2018 et 2019, pour vols avec effraction, trafic de stupéfiants et violences en réunion. Il a été incarcéré au printemps 2020."
(source : https://www.lest-eclair.fr/id237637/article/2021-03-03/agression-dun-photographe-de-lunion-le-point-sur-ce-que-lon-sait-avec-le)"Pour avoir des billes comme l’union est un journal local j’en sais plus que par RMC. "
Bah voilà l’article de l’Union où il est bien précisé que le prévenu a été condamné pour trafic de stups : Donc en fait, tu ne sais même pas lire mais prétends "avoir des billes"... :
"le jeune", "le jeune", "le jeune", "le jeune"...
Tellement pratique ce terme. Il évite de décrire la réalité. C’est marrant d’ailleurs parce que les journaputes ne disent jamais "le vieux" ou "la vieille" pour décrire les méfaits d’un individu de plus de 50 ans. Souvent ils utilisent également le gentilé : bon là, il eut été étrange de qualifier cet Algérien de "rémois" mais le procédé est très fréquent (de même que le maquillage des prénoms avec la petite mention "*les prénoms ont été changés" et toujours dans le même sens Anis-Said devenant miraculeusement Kévin ou Richard...).
"Le photographe est repéré par les jeunes, ce n’est pas encore du reportage mais de l’atteinte à la vie privée."
Comme tu racontes n’importe quoi et tout particulièrement sur les questions juridiques sur lesquelles tu n’as rigoureusement aucune compétence et encore moins la compréhension des principes de base, je t’informes que sur la voie publique, tu as autant le droit de photographier une personne lambda qu’une célébrité, à condition de ne pas dévoiler, pour l’une comme pour l’autre, des éléments de leur vie privée (vie sentimentale, orientation sexuelle ou religieuse, état de santé...). En revanche, tu ne pourras pas diffuser le cliché sans leur accord. Le droit à l’image est assez précis et davantage restrictif dans certains lieux (théâtres, salles de concert...) que d’autres (voie publique). De toutes façons, photographes pro, journalistes et rédacteurs ne sont généralement pas des gros cons d’ignares comme toi sur le sujet : ils savent très bien ce qu’ils peuvent publier et dans quelles conditions ainsi que les risques qu’ils encourent s’ils contreviennent à la loi. Aussi, ils auraient probablement flouté les visages pour que les individus soient méconnaissables. Mais au-delà de ces évidences, rien ne justifie d’aller massacrer un mec avec un objet de plusieurs kilos (arme par destination) qui fait des photos sur la voie publique, le voler et le laisser pour mort. Rien.
Dans un pays normal, éventuellement on porte plainte pour faire valoir ses droits si l’on s’estime lésé mais grâce à des petites merdes dans ton genre, on est plus vraiment dans un pays normal mais dans un de ces shit-hole que tu affectionnes.P.S. : Au barbeuc, je te déconseille fortement de sortir ton appareil photo. Il pourrait y avoir "dispute"...
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@Conférençovore
Ce n’est pas très correct de votre part de traiter de ’’journapute’’ un photo-reporter qui a été violemment agressé.
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@Conférençovore
Tu te bases sur des articles du 3 mars et moi du 4 mars. Les connaissances sur le sujet s’affinent en un jour.
Tu sais que tu es pénible, tu ponds des lignes et des lignes pour faire passer ton message de haine de l’autre. Je comprends pourquoi certains t’affublent du nom de Conç fürer.
Allez, je passe à autre chose, ta haine de l’autre m’indispose. -
@sls0
Tu sais que tu es pénible, tu ponds des lignes et des lignes pour faire passer ton message de haine de l’autre.
Allez, je passe à autre chose, ta haine de l’autre m’indispose.
Ce n’est pas la première fois que tu racontes de la merde et quand on te le fait remarquer, ta seule parade d’homme sans argument c’est d’accuser ton interlocuteur de "haine" ou de "racisme".
(sauf quand tu as des arguments, la, tu n’hésites pas à les sortir, preuve que tu le fais quand tu peux le faire)
Merci.
Tes posts sont une caricature de gauchiasse et c’est très intéressant d’observer les mécanismes psychologiques de défense que tu utilises.
Tu sais ce qu’on dit "cé sui ki di ki é" ... toi qui es si prompt à voir la "haine de l’autre" partout dès que tu es un peu en difficulté.
Ssl0 Le pseudo-libre qui pourchasse la pseudo-haine. lol
Tout ça pour avoir l’impression d’exister.
Heureusement, les gens comme toi se font de plus en plus rare, et c’est pour ça d’ailleurs qu’il est dit que ce forum vire à l’ultra-droite-trop-méchante ... et c’est tant mieux.
Les gens ouvrent les yeux et ça fait chier les toutous du système comme toi.
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@sls0
Je n’ai pas besoin que vous m’"expliquiez l’histoire" puisque nous avons sans doute accès aux mêmes informations et que je ne vous reconnais aucune autorité ou expertise particulière dans ce domaine. De plus, je ne vois pas le rapport entre le contexte de l’agression interprétée à votre sauce et ce que j’ai dit précédemment.
"atteinte à la vie privée" parce que le journaliste les a repérés alors qu’ils préparaient une baston... C’est tout ce que vous inspire cette histoire "pas trop claire"...
Pour quelqu’un qui passe son temps à critiquer les complotistes, je trouve que votre "analyse" coche toutes les cases de la rhétorique complotiste : doute systématique, accumulation de détails et déconstruction "photographique" de l’évènement, insinuations, interprétations, rejet à priori de la version des médias le tout sans donner aucune source alternative ("’union journal local, j’en sais plus que RMC")La remise en cause à priori du professionnalisme ou de l’objectivité des "journalistes locaux" n’est pas non plus un argument, c’est une opinion. Si vous connaissiez d’ailleurs un peu mieux le milieu de la PQR, vous sauriez que le "politiquement correct" règne dans les colonnes de ces journaux, et tout particulièrement dans la présentation des "faits divers" qui observe toujours une neutralité stricte, au grand désespoir d’ailleurs de l’extrême-droite qui y voit la volonté de cacher ou d’atténuer la réalité de l’insécurité quotidienne ou du "grand remplacement." La PQR a d’ailleurs la réputation dans ces milieux d’être un repère de gauchistes sortis d’école de journalisme.
Je vous incite par exemple à consulter la couverture des polémiques récentes sur les déclarations de la ministre au sujet de "l’islamo-gauchisme" dans le journal l’Union, vous constaterez qu’on est très loin du journal de droite ou de la démagogie sensationnaliste :
Bref, cette attaque sur l’Union visant à discréditer de manière générale la presse locale et en particulier le travail de ce reporter agressé, est assez basse et sans objet.
En outre vous avez recours à un autre artifice rhétorique typique de la pensée conspirationniste, le "whataboutism" : à chaque fois qu’on oppose des éléments rationnels et factuels à vos contre-vérités, vous faites diversion sur un autre sujet ou en changeant d’approche sans répondre aux arguments qui vous ont été opposés précédemment.Vous avez commencé par vous abriter derrière votre version du "droit" en confondant mesure de police administrative (expulsion du territoire) et mesure judiciaire (interdiction de territoire) tout en affirmant que la justice française n’avait pas autorité pour ordonner l’expulsion d’un étranger, ce qui est faux. On ne peut que vous conseiller d’arrêter d’avoir recours à des notions de droit que vous ne connaissez pas ou que vous maîtrisez mal.
Cet argument d’autorité n’ayant pas fonctionné, vous vous livrez ensuite à une reconstitution assez indécente et orientée des faits reposant sur une série de spéculations autour d’une soi-disant "atteinte à la vie privée" de ces petits jeunes interrompus par le photographe en plein deal ou préparatifs de bagarre. Outre l’inversion grossière de la charge, et même si tout cela paraît anecdotique au regard de la violence déchaînée contre le photographe, on pourrait comme ça vous répondre que le droit à l’intimité ne couvre pas les activités illégales sur la voie publique, et que le droit à l’information s’exerce dans ce type de situation. Dans ce domaine, il y a même une prééminence du droit à l’information (c’est à dire de la liberté d’expression), reconnue par la loi."atteinte à la vie privée" "coups et blessures sans préméditation", "charge et décharge", "pas trop claire au niveau culpabilité"
Etiez sur place ? Etes vous en charge de l’enquête ? Travaillez-vous pour la police ou la justice ou avez-vous accès au dossier ? Si c’est le cas il faut fournir vos références ou donner très clairement vos sources. Si ce n’est pas le cas, il vaut mieux assumer votre parti-pris et ne pas vous cacher derrière des éléments de "droit" que vous instrumentalisez pour construire une thèse basée sur une interprétation subjective des faits, comme le ferait tout bon complotiste.
Et qu’est-ce que cela change à la situation ? Cet homme n’aurait pas dû se trouver le territoire français à ce stade, c’est tout le fond de cette histoire et tenter de faire diversion sur une "atteinte à la vie privée" de la part du photographe ou le caractère "non préméditée" de l’agression qui viendrait remettre en cause la gravité des faits ou semer le doute quant au maintien ou non de cette personne sur le territoire, ne peut conduire que dans une impasse. -
@Garibaldi2
"Ce n’est pas très correct de votre part de traiter de ’’journapute’’ un photo-reporter qui a été violemment agressé. "Sauf que ce n’est pas lui que je traite ainsi et la seule qui chose qui n’est "pas très correcte" (pour ne pas dire carrément minable) est ta déformation de mon propos
Voilà ce que j’ai écrit : "C’est marrant d’ailleurs parce que les journaputes ne disent jamais "le vieux" ou "la vieille" pour décrire les méfaits d’un individu de plus de 50 ans.".
Comment es-tu arrivé à la conclusion que j’avais traité ce photographe de journapute ? Soit tu ne sais pas lire (auquel cas, il existe des cours), soit tu es con (et là, désolé, mais je crains qu’ils n’existent pas de solution miracle), soit tu es malhonnête car il est ici explicite que je dénonce les procédés de certains journalistes qui emploient à outrance (donc abusivement et volontairement) un champ lexical qui masque la réalité des protagonistes impliqués dans ce genre d’affaires. Ceci n’est pas de l’information ou du journalisme mais de la politique et plus précisément une politique bien spécifique : celle qui vise précisément à ne pas rendre compte de la réalité de l’ensauvagement de notre pays. Je note également que ce type de procédé fallacieux a aussi pour conséquence d’amalgamer tous les jeunes à certains qui ont des comportements déviants et même criminels. Mais étrangement ce genre d’amalgame passe crème... -
@Joe Chip
Si vous connaissiez d’ailleurs un peu mieux le milieu de la PQR, vous sauriez que le "politiquement correct" règne dans les colonnes de ces journaux, et tout particulièrement dans la présentation des "faits divers" qui observe toujours une neutralité stricte, au grand désespoir d’ailleurs de l’extrême-droite qui y voit la volonté de cacher ou d’atténuer la réalité de l’insécurité quotidienne ou du "grand remplacement."
C’est exact et inexact.
La neutralité stricte consisterait à donner les informations dont on dispose, c’est à dire, non pas le nom, mais le signalement de la personne. Hors, le fait qu’il soit "basané", ou "africain", ou "avec un accent", ou "vétu de telle sorte" (caractéristique d’une sous culture), bref, tout ce qui permet d’identifier la communauté d’appartenance n’est pas traité pareil dans la presse locale et nationale.
La presse locale le fait (en tout cas relativement plus), mais la presse nationale se garde bien de le faire.
Donc la presse "locale" fait la plutôt joie de l’extrême droite qui vu justement y vérifier ses intuition et qui lui confirme que la presse nationale elle, ne joue pas franc jeu. Et c’est cette absence de neutralité dans la presse nationale qui fait le "désespoir" (si on peut dire) de l’extrême droite. Bien sûr la presse locale ne doit pas être tout le temps totalement neutre non plus, mais la par contre, impossible à démontrer formellement. Mais on peut soupçonner quand même qu’il n’y ai pas neutralité totale.
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@sslow
La haine, la haine, la haiiiiiiiiinnnnnnneuuuuuu ! C’est à peu près tout ce que tu es capable de répondre mon gros. Ton pb et je ne suis pas le seul à te le dire, c’est que la plupart du temps, tes arguments sont des bricolages. Dès que tu es coincé et cela arrive très vite, vu que tu ne maîtrises pas grand chose... il te reste deux possibilités : soit te crapahuter (soit directement soit dans du hors sujet), soit attaquer la personne en la traitant de "fachot".
"Je comprends pourquoi certains t’affublent du nom de Conç fürer."
Même ça, t’es infoutu de l’écrire correctement... En définitive, il n’y en a qu’un qui le fait. Une islamopute dont j’ai méthodiquement mis à jour le petit manège et qui ne l’encaisse pas. Ah si, au temps pour moi, il y en a un deuxième, un nihiliste jouisseur qui te ressemble pas mal d’ailleurs (en probablement bcp moins pénible) mais qui le fait juste pour troller.
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@yoananda2
Ce n’est vraiment pas le sentiment que j’ai en lisant la PQR. Je n’ai pas d’exemple comme ça d’articles de la presse régionale où l’on trouve des références directes à la couleur de peau ou à l’origine ethnique ou culturelle d’une personne (sauf quand celle-ci est étrangère évidemment). L’info en règle générale n’est pas ou peu éditorialisée, contrairement à la presse nationale ou aux grands journaux d’opinion.
L’"extrême-droite" a appris effectivement à décrypter les rubriques faits divers pour corroborer sa vision de la société en proie à la partition et à la violence ethnique mais l’information est rarement reprise telle qu’elle a été publiée, ou extrapolée.A titre perso, je ne connais aucun titre de PQR qui ait une ligne éditoriale plus droitière que des titres comme Valeurs Actuelles ou même que le Figaro, sans parler de CNews qui est sur une ligne conservatrice.
On part encore une fois sur du hors-sujet. Au niveau du professionnalisme et du traitement de l’info, il n’y a pas lieu de différencier la presse nationale et régionale, les journalistes qui y travaillent sont issus des mêmes formations, ils traitent techniquement l’actualité de la même manière en s’adaptant à leur lectorat, donc les griefs que l’on peut trouver aux uns sont souvent valables pour les autres. D’une manière générale, l’info est moins éditorialisée dans la PQR qui est lue par des gens de toute tendance politique. Peut-être que le mot neutralité n’est pas le plus adéquat puisqu’il est effectivement toujours très facile de répondre que la neutralité pure n’existe pas.
Mais il n’y a pas une presse nationale "gauchiste" et une PQR "droitarde" qui alimenterait les théories d’extrême-droite, ça c’est une vision caricaturale qui ne correspond pas à la réalité. A titre perso, je pense même que l’inverse est vrai puisque les jeunes diplômés d’école de journalisme, qui sont sociologiquement plutôt de gauche, font souvent leurs classes en PQR. Il me semble d’ailleurs que Laurent Obertone, qui a travaillé longtemps en PQR, expliquait la même chose à l’époque de la publication de la France Orange Mécanique. Dans le milieu journalistique, on lui avait d’ailleurs beaucoup reproché sont exploitation des faits divers. -
@Joe Chip
Mais il n’y a pas une presse nationale "gauchiste" et une PQR "droitarde" qui alimenterait les théories d’extrême-droite
ce n’est absolument pas ce que j’ai dit, ni même pensé. Tu déformes mes propos.
Pour ma part, j’ai fait l’exercice plusieurs fois sur des "faits divers", et j’ai vérifié que la presse locale donnait plus d’informations sur les signalements. Il se peut que je me trompe quand j’infère mes quelques exemples (mais bon statistiquement ça serait très étonnant quand même que ça me soit arrivé par hasard même si javais un biais de sélection au départ) à l’ensemble de la presse régionale et nationale.
Je ne dis, ni ne crois que la presse locale est plus "droitière". Je constate juste ce que je t’ai expliqué, et que, à priori, tu devrais pouvoir vérifier toi même. Je penses que la presse locale est aussi "gauchisée" que le reste. Qu’est-ce qui produit la différence ? (si tant es que j’ai raison) je ne sais pas.
En tout cas, le "gommage" à l’échelon national des origines ethniques me semble relativement indiscutable, et c’est ce qui alimente les fameux fantasmes (pas si fantasmés) de l’extrême droite.
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@sls0
"A 15h ils se rejoignent sur le parking du Quick à 100m de la place Georges Braque où sont les jeunes. Il n’y a pas encore d’infraction ou bagarre.Le photographe est repéré par les jeunes, ce n’est pas encore du reportage mais de l’atteinte à la vie privée. ""Pas trop claire au niveau culpabilité cette affaire"
-> ???
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@yoananda2
Alors j’ai mal compris mais tu opposais la PQR et la presse nationale dans le traitement de l’insécurité et des faits divers impliquant des minorités "visibles", ce qui n’est pas le cas. La PQR relate davantage les faits divers parce qu’elle traite par définition l’information locale mais il n’y a aucune différence avec la presse nationale en termes de déontologie ou de traitement de l’information.
A mon avis tu fais une confusion entre nationalité et origine. Quand un étranger est impliqué, le journal doit normalement préciser sa nationalité, ça fait partie de l’information au même titre que les circonstances, la date, le lieu... Si l’individu est Français, alors il n’y a pas lieu de préciser ses origines familiales ou ethniques réelles ou supposées, ce qui pourrait d’ailleurs être considéré comme illégal en France.
Evidemment, certains médias extrapolent l’information qui les intéresse (origines ethniques) à partir du nom de l’individu ou d’autres informations données par l’article. Et c’est pour cette même raison que certains journaux décident parfois de changer les noms quand les faits impliquent des Français, pour éviter que ces personnes ne soient ensuite désignées comme étrangères. Evidemment, les mecs d’extrême-droite y voient nécessairement une volonté de "cacher" l’origine des gens ou une partie de l’information, tout particulièrement quand il s’agit d’une agression ou d’une attentat, mais en fait les journalistes ne font que respecter la loi en ne donnant le cas échéant que la nationalité de l’individu.
Reste évidemment l’ambiguïté avec la double-nationalité. Quand un franco-algérien commet un délit, les médias vont avoir tendance à cacher la nationalité algérienne alors qu’ils désigneront systématiquement quelqu’un qui possède la double nationalité franco-américaine comme "franco-américain". Sans doute parce que la double-nationalité américaine est perçue comme une information neutre ou positive, alors que la double-nationalité algérienne renvoie dans l’imaginaire collectif à la colonisation, aux problèmes liés à l’immigration, à la délinquance dans les cités, etc.
Ou alors ils vont le préciser dans un second temps, c’est souvent le cas après un attentat. On apprend un ou deux jours après les faits que c’était "encore" un type qui avait la double-nationalité algérienne, marocaine, ou autre.
Là encore, cela va donner l’impression à certains que la presse cherche délibérément à occulter la "vraie" nationalité (l’origine quoi) ce qui n’est pas forcément le cas. Certains journalistes ou journaux cherchent sans aucun doute à relativiser l’origine ethnique des individus mais on ne peut pas vraiment le leur reprocher puisque c’est l’esprit même de la loi française. A l’inverse, de nombreux médias (de droite) ont commencé à prendre l’habitude d’utiliser des périphrases pour indiquer l’origine des individus quand les faits sont particulièrement marquants, en précisant par exemple qu’ils sont "issus de l’immigration" ou même "de la diversité" quand on veut mettre en avant leur origine ethnique de manière positive.Donc pour moi il n’y a pas réellement de gommage ou de différence, c’est plus de l’ordre de la subjectivité ou du ressenti.
Un identitaire verra forcément dans l’euphémisation de l’origine une tentative de manipulation de l’information visant à cacher la réalité. Pourtant, dans la plupart des cas, ce n’est pas vraiment le traitement de cette information comme "parti-pris" qui est en jeu, mais bien la sensibilité particulière du lecteur qui interprète l’info en fonction de sa propre grille de lecture. De la même manière, un "gauchiste" verra dans toute mention de l’origine la volonté de discriminer ou d’amalgamer. Donc on est plus dans le processus d’informer au sens strict, mais dans les représentations, les imaginaires et les fantasmes.
J’ai l’impression que la plupart des journaux essaient surtout d’éviter les emmerdes, les procès et les polémiques. A titre personnel, je trouve qu’il est discutable et inutile d’insister sur l’origine des gens. Déjà parce que dans la plupart des cas, les gens ont "compris" et effectué d’eux-mêmes les rapprochements en fonction du lieu, du prénom, etc. Inutile donc d’en rajouter quand une information est donnée de manière implicite. Ensuite parce que la règle qui consiste à indiquer la nationalité quand la personne est étrangère mais de ne pas préciser l’origine quand la personne est française me paraît adaptée et suffisante, sauf pour la double-nationalité. Dans ce cas-là les journaux devraient simplement donner l’info pour ne pas alimenter la défiance et les soupçons d’une partie de l’opinion qui est persuadée que l’on chercher à lui cacher la réalité. Enfin parce que le mode de traitement de l’information ne peut pas tenir compte de la subjectivité des uns et des autres. Je suppose que si on lit tous les deux le même prénom, la même nationalité, on en tirera pas forcément la même info. Tu verras un "signalement", un gauchiste verra une "stigmatisation" là où je verrai une simple description. -
@sls0
Votre lien confirme ce que j’écrivais.
"En effet, l’article 226-1 du code pénal puni d’un an d’emprisonnement et de 45.000 euros d’amende celui qui aura volontairement porter atteinte à l’intimité de la vie privée d’autrui en fixant, enregistrant ou transmettant, sans le consentement de celle-ci, l’image d’une personne se trouvant DANS UN LIEU PRIVÉ."
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@Joe Chip
Alors j’ai mal compris mais tu opposais la PQR et la presse nationale dans le traitement de l’insécurité et des faits divers impliquant des minorités "visibles", ce qui n’est pas le cas.
J’ai constaté plusieurs fois que dans la presse nationale on avait des articles du genre "agression au couteau à trifouilli les oies" et que dans la presse locale on avait souvent plus d’infos du genre "Karim à asséné un coup de couteau à Michel à trifouilli les oies", c’est tout. Observation empirique, répétées plusieurs fois. Il semble que tu ne partage pas ces observations.
Moi, perso, s’il est français ou pas, ça me fait une belle jambe. Ça change quoi au juste ? il paye des impôts et il a le droit de voter ? So what ? s’il est étranger je ne vais pas lui adresser la parole ?
Perso, c’est la race qui m’intéresse. Je sais, c’est mal, c’est méchant, ça rappelle les zeures, toussa toussa ...
Pas pour frapper la personne, ou l’envoyer dans un camp, mais simplement parce que j’ai amygdale, et que je mesure tout le temps le danger potentiel en face de moi, et, petite astuce : les hommes font souvent plus peur que les femmes. C’est sexiste, je sais ... je mérite sûrement un camps de ré-éducation.
Je suis quelqu’un de simple et prosaïque, quand qqn se fait mordre par un chien, je ne me demande pas si c’est un chien de Marseille, Paris ou trifoulli ... Je préfères savoir sa race parce que en général, ceux qui mordent (bien sûr ça peut dépendre de leur maitre et leur éducation), ont tendance à être de la même race (et du même sexe aussi). Parce que vois tu, en admettant que j’en croise un un jour, je ne vais pas lui demander de quelle ville ou village il vient, par contre si c’est un pitbull ou un patou, je vais peut être changer de trotoir dans le doute.
Pareil avec les humains, je n’ai pas un détecteur de nationalité dans la poche, je fais avec ce que je vois : la couleur de peau, la "tronche", les vêtements, l’accent, et le phrasé. Bref, je suis un méchant discriminateur qui ne regarde pas la beauté intérieure et le passé malheureux, et le passeport, et les rêves du gus, le petit ange malheureux qu’il est, mais ce qu’il montre, ce qui est immédiatement accessible. Comme je ne considère pas les gens comme une page blanche ou interchangeables, je considère qu’il y a des tendances (j’ai pas dit déterminisme) dans les populations (pour tout un tas de raisons pas uniquement biologiques d’ailleurs). Je sais, tu vas me dire les humains sont pas des chiens, les races c’est un fantasme d’extrême droite, toussa toussa. Tu crois ce que tu veux. J’ai lu assez de littérature scientifique sur la question pour croire autre chose. Je n’appelle ni à la haine, ni à la violence, ni à la discrimination, je dis juste comment je fonctionne. Je n’invites personne à faire comme moi, parce que ce qui marche pour moi peut ne pas marcher pour un autre.
Que la république interdise de parler de ce qu’on voit, ça la regarde, on verra si ça lui réussit au long terme. Moi je vois ce que je vois. épicétou. Si ça me classe à l’extrême droite m’en fou, j’ai de quoi me faire classer à l’extrême gauche aussi, et à l’extrême centre aussi, et à l’extrême extrémité aussi.
J’ai déjà un surmoi, je n’ai pas besoin de celui de la république.
Et j’ai comme dans l’idée que je ne suis pas le seul à fonctionner ainsi.
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@Conférençovore
Mais si, c’est lui aussi que vous traitez ainsi, sans faire de distinction parmi les journalistes, car lui aussi a une carte de presse en poche.
Vous rendant compte de votre bévue, vous essayez de vous justifier mais ça ne change pas le fond de votre pensée : pour vous les journalistes, ceux de l’Union de Reims y compris, sont des putes qui essayent de masquer la réalité.
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@Clorocoquine
Vous n’avez pris dans le lien que j’ai mis que ce qui vous intéresse. Il y a aussi :Ainsi, il importe peu que la photographie litigieuse ait été prise sur la voie publique car même cette circonstance ne vaut pas renonciation à la protection de son image.
La protection de l’image d’une personne prise dans un lieu publique dépend en réalité du cadrage de la photographie.
A ce moment là il n’y avait ni manifestation ni baston. Rien qui justifiait une prise de photo dans le cadre d’un reportage.
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@Garibaldi2
"Mais si, c’est lui aussi que vous traitez ainsi, sans faire de distinction parmi les journalistes, car lui aussi a une carte de presse en poche. "L’articulation logique de ta phrase est inexistante. D’abord tous les journalistes n’ont pas de "carte de presse en poche". Ensuite, sauf erreur de ma part, ce photographe fait des photos et c’est tout (voir ici : https://www.lunion.fr/id236762/article/2021-02-27/portrait-un-dingue-de-boulot?referer=%2Farchives%2Frecherche%3Fdatefilter%3Dlast6month%26sort%3Ddate%2Bdesc%26start%3D60%26word%3DChristian%2BLantenois%22)
. Ce n’est pas lui qui écrit les papiers. Donc je ne l’ai traité de rien de tout et tu ne fais que chercher la polémique. J’ai expliqué que certains journalistes masquent la réalité sciemment. Je maintiens."Vous rendant compte de votre bévue, vous essayez de vous justifier mais ça ne change pas le fond de votre pensée : pour vous les journalistes, ceux de l’Union de Reims y compris, sont des putes qui essayent de masquer la réalité."
Je n’ai pas à me justifier et certainement pas auprès d’un demeuré et/ou individu manifestement malhonnête (probablement les deux) qui se prend pour un procureur. Si tu es incapable de comprendre le sens des mots comme "certains" (souligné), je n’y peux rien, à part te conseiller de retourner à l’école ou juste de la fermer.
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@Conférençovore
Il vaut mieux que tu continues dans l’attaque personnelle ou l’injure, il ne tient pas la route ton argumentaire.
Fait nous du zardoz. -
@yoananda2
Donc en résumé nous sommes d’accord, c’est ton prisme "racial" qui t’amène à interpréter l’info d’une certaine manière et à penser que la PQR permet au moins à ce filtre-là ou à cette sensibilité d’exister.
Je ne vois pas en quoi le fait que des Karim ou des Stéphane soient cités dans les colonnes des faits divers est un indicateur de la "complicité" supposée des journalistes de PQR dans le signalement des individus. Je pense vraiment que tu fais une projection sur de simples conventions éditoriales qui peuvent différer en fonction du médium ou du public visé.
Par exemple si un crime est commis dans mon voisinage ça va m’intéresser de connaître l’identité de la personne dans la mesure où je serai peut-être amener à la croiser dans ma vie de tous les jours. Forcément la perspective n’est pas la même dans la presse nationale où l’information sera présentée avec des termes plus génériques : un homme a fait ci, un crime a été commis dans tel ou tel village...
J’ai pas porté de jugements de valeur il me semble (même si évidemment je ne suis pas d’accord avec toi), j’ai juste rappelé le contexte légal et les règles qui prévalent dans la presse écrite (à ma connaissance).Après, tu as un point commun avec les "gauchistes", c’est que tu n’acceptes pas la positivité de la loi française. Eux, ils pensent par exemple qu’il y a ou devrait y avoir une automaticité du droit de sol, donc ils vont tordre la loi et inventer des éléments de jurisprudence pour expliquer qu’un étranger multirécidiviste a les mêmes droits qu’un Français sur le territoire national et ne peut pas être expulsé. La loi n’a en fait à leurs yeux aucune légitimité et devrait être constamment interprétée à l’aune de leur subjectivité politique ou de ce qu’ils considèrent comme des principes intangibles ou supérieurs.
Toi, tu considères que la nationalité n’a pas d’importance et que la race et la génétique devraient servir de guide à l’organisation de la société mais aussi à nos comportements individuels (je sais, je schématise, mais c’est l’idée de base) et comme toujours, tu as recours à des simplifications et des métaphores naturalistes grossières (comparaison avec les meutes et races de chiens, etc.) pour présenter ta vision du monde comme légitime et "naturelle".
Moi, j’ai une vision politique de la société, ça ne veut pas dire pour autant que je nie les dimensions culturelles ou identitaires de la vie en société, ou que je considère les gens comme des "pages blanches". En ce qui concerne la "race", je ne vais quand même pas me forcer à juger quelqu’un en fonction de la couleur de sa peau et des traits culturels et psychologiques qui sont censés y être associés. Et pas seulement pour des raisons politiques ou idéologiques. Si je le faisais, j’aurais déjà des sérieux problèmes dans la vie de tous les jours. Vous me faites marrer les identitaires du net, vous vivez tous dans une piaule isolée au fin fond de la campagne où vous n’avez jamais aucune interaction avec des noirs et des arabes, ou quoi ? Vous évitez ces personnes dans la rue ou au travail pour ne pas avoir à les dévisager ou les stigmatiser ? Je suis désolé, même si je le voulais je ne pourrais pas faire ça, c’est un luxe de châtelain misanthrope à la Renaud Camus, de vieux bourgeois ou de retraité lepéniste.
Donc la plupart du temps, je juge les gens en fonction de leur comportement même si d’autres critères entrent naturellement en jeu (l’habillement entre autres). Après, t’es libre de faire ce que tu veux, mais quoique tu penses, la loi des hommes sera toujours là, et c’est valable pour les identitaires de gauche aussi, il ne suffit pas de fermer les yeux pour se réveiller un jour dans un monde idéal débarrassé des méchants blancs ou des immigrés. -
@sls0
"Ainsi, il importe peu que la photographie litigieuse ait été prise sur la voie publique car même cette circonstance ne vaut pas renonciation à la protection de son image. La protection de l’image d’une personne prise dans un lieu publique dépend en réalité du cadrage de la photographie. A ce moment là il n’y avait ni manifestation ni baston. Rien qui justifiait une prise de photo dans le cadre d’un reportage."
-> Vous êtes buté et cela vous empêche de comprendre. Prenons un site officiel de l’Etat, si vous avez besoin de ça pour vous débloquer. C’est la DIFFUSION de votre image qui peut être considérée comme une atteinte à votre vie privée quand vous êtes dans la rue. Par exemple si vous êtes photographié faisant un bisou à votre petit copain et que la photo où vous êtes reconnaissables se retrouve PUBLIÉE sur Internet ou dans des journaux. Rien à voir avec le fait de massacrer quelqu’un qui fait usage de son appareil photo dans votre direction.
https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F32103
Votre remarque "A ce moment là il n’y avait ni manifestation ni baston. Rien qui justifiait une prise de photo dans le cadre d’un reportage." est hors-sujet complètement insensé. Il n’y a pas besoin de "justification" pour prendre des photos dans l’espace public. Et on la demanderait à qui, c’est autorisation, dans votre logique absurde ? Au chef de la mafia locale, sans doute ? Vous êtes fou ?
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@Joe Chip
Donc en résumé nous sommes d’accord, c’est ton prisme "racial" qui t’amène à interpréter l’info d’une certaine manière et à penser que la PQR permet au moins à ce filtre-là ou à cette sensibilité d’exister.
Je ne suis pas sûr de bien comprendre ta phrase, mais oui, je penses qu’on est d’accord. Les journalistes suivent la loi (et tu as eu raison de le rappeler parce que je n’avais pas bien soupesé l’importance de ce facteur). Moi j’ai une lecture raciale (entre les lignes, forcément).
Après, tu as un point commun avec les "gauchistes", c’est que tu n’acceptes pas la positivité de la loi française
En effet. Je ne l’acceptes pas. En tout cas pas "à priori", faut qu’on me l’explique, et c’est d’ailleurs pour ça que j’avais demandé "c’est quoi le principe de la justice". Question à laquelle un certain grincheux de Joe Chip m’avait envoyé bouler. Depuis un juriste m’a expliqué, et j’ai donc nuancé ma position. Je crois que je pourrais me satisfaire de la "positivité" si on introduisait certaines notions dans le droit pour les animaux d’une part, et pour les "lignées" d’autre part, et éventuellement les éco-systèmes. J’en ai discuté un peu avec maQ.
Toi, tu considères que la nationalité n’a pas d’importance et que la race et la génétique devraient servir de guide à l’organisation de la société mais aussi à nos comportements individuels (je sais, je schématise, mais c’est l’idée de base)
Oui en gros, même si c’est plus subtil quand même. Ce que je proposes moi, c’est de "réintroduire" le biologique, une dose du moins, parce que l’architecture du droit actuelle nie trop (pour moi, mais visiblement je ne suis pas le seul) certains traits biologiques (un exemple : le droit du sol est une "négation" du droit du sang). Cf la longue discussion avec maQ ou l’on a parlé de l’héritage, des animaux, et de propriété privée entre autres choses.
Vous me faites marrer les identitaires du net, vous vivez tous dans une piaule isolée au fin fond de la campagne où vous n’avez jamais aucune interaction avec des noirs et des arabes, ou quoi ?
Héhéhé, tu serais surpris ! lol
Mais je comprends ton "objection".
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@Clorocoquine
Pendant un bout de temps j’ai fait de la photo, dans ces conditions comme la plupart j’aurai demandé la permission.
Il y a peu de chance qu’ils me l’auraient donné, quoi que avec le wifi sur les appareils maintenant, on leur dit qu’il auront les photos dans la foulée il y a de grandes chances qu’ils auraient dit oui.
Dans ces conditions j’aurais pas fait de photo ou si j’aurais fait à la paparazzi sans me faire voir. Des conditions où la tension monte vite en général.Tu peux faire des photos mais dans des conditions de confiance.
Ce ne devais pas être le style de ce photographe, mais il avait rendez-vous à 15h30, avec le temps de trajet il lui restait 10-15 minutes pour avoir des photos. Dans l’urgence il a poussé dans le mauvais sens.
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