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L’Eloge de la force avec Laurent Obertone - Le Samedi Politique

Et si nous étions devenus des animaux asservis ? Des êtres départis de leur libre arbitre et du plus simple petit pan d’autonomie. Et si la crise du Covid n’était que les prémices du futur qui nous attend ? L’Etat omniprésent qui régit les vies des "Monsieur Moyen" amorphes joue-t-il encore dans le camp du peuple ? Est-il encore temps de réagir ? Peut-on encore s’émanciper de cet Etat mastodonte qui perfuse ses propres victimes ?

Avec "Eloge de la Force", son 8ème opus, Laurent Obertone revient dans un livre choc, qui dérange, qui bouleverse, qui secoue. Et c’est son objectif. Il est encore temps de redevenir des humains debout ! Avec "Eloge de la Force - Renverser l’histoire" (Ed. Ring) disponible sur la boutique officielle de TVLibertés (https://www.tvlibertes.com/boutique-tvl), Laurent Obertone pousse le lecteur à redevenir maître de son destin et souverain de lui-même.

 

Source : https://www.tvlibertes.com/

Tags : Livres - Littérature




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6 réactions à cet article    


  • 3 votes
    Étirév 28 septembre 2020 14:44

    La lutte du Bien et du Mal, c’est-à-dire de l’Esprit dans la femme et de la Force dans l’homme, dure depuis la jeunesse de l’humanité.
    Depuis plusieurs milliers d’années le monde lutte, l’humanité souffre, le Mal règne et grandit, le Bien est vaincu et s’affaiblit ; le Droit est sacrifié à la Force.
    Mais cet état de choses ne doit pas toujours durer. La progression dans le mal a un terme fatal ; le terme même de la vie, puisque l’invasion du mal, dans l’homme, détruit peu à peu son existence ; l’invasion du mal dans les sociétés détruit peu à peu les sociétés : par la guerre, par le meurtre, par le suicide, par l’assassinat, par la misère, par la stérilité voulue de la femme.
    Il faut donc que le Mal ait un terme ou, sinon, que l’humanité disparaisse.
    Ce terme c’est la Rédemption.
    C’est le renversement de la marche actuelle des choses.
    C’est le triomphe de l’Esprit sur la Force, ramenant l’humanité dans la voie du Bien, la voie de l’Evolution progressive.
    Ce grand événement qui doit, tout d’un coup, renverser l’œuvre de destruction du passé, a été prévu et annoncé depuis longtemps. C’est ce redressement, dont parle René Guénon, ce « renversement des pôles » qui doit s’opérer lorsque « le point le plus bas aura été atteint » ; « et c’est là, pourrait-on dire en se référant au sens cosmologique du symbolisme biblique, la revanche finale d’Abel sur Caïn. »
    C’est la force brutale qui a assuré, à l’homme, une position à laquelle il n’avait pas de droits naturels. En agissant ainsi, il violait les lois psychiques et les lois morales, qui en sont la conséquence, il violait le droit.
    Mais comme tous les hommes ne sont pas aussi avancés dans l’évolution du mal, comme l’héritage naturel que chacun apporte en naissant lui remet dans l’esprit un germe de vérité, il s’est trouvé, dans tous les temps, des hommes meilleurs que les autres qui ont eu une sorte de honte de cette injustice, qui l’ont comprise, et même, qui ont protesté, quoique cette injustice était établie à leur profit. Tout ce qui restait de droiture, de logique, dans leur esprit, clamait contre cette façon de renverser les choses, leur conscience se révoltait à l’idée d’écraser, dans la femme, ce qu’il y avait de meilleur en eux. Ce sont ces hommes-là qui élevaient la voix pour défendre le droit des femmes. Mais, jetant les yeux autour d’eux et ne rencontrant, partout, que des femmes privées de toute culture sérieuse, et livrées à toutes les futilités du luxe, on comprend qu’ils n’aient pas encore reconnu, dans la femme, la Prêtresse et l’Éducatrice de l’avenir. Ils ont demandé, seulement, que la femme soit considérée comme l’égale de l’homme.
    L’homme s’étant fait une supériorité factice par l’instruction, était arrivé à se croire véritablement supérieur à la femme. Cette opinion que l’homme avait de lui-même prouvait, cependant, son ignorance, car, s’il avait été en possession de la vraie science il aurait compris qu’elle était sa place dans la Nature.


    • 1 vote
      crow 29 septembre 2020 07:25

      @Étirév

      "La lutte du Bien et du Mal, c’est-à-dire de l’Esprit dans la femme et de la Force dans l’homme, dure depuis la jeunesse de l’humanité."

      Ça commence mal, pour moi ! ;) Si vous référez la date de la jeunesse de l’humanité à la naissance du monothéisme, alors votre commentaire sur le bien et le mal est pertinent. Mais si vous vous référez à la préhistoire, celle d’une humanité éparse et formée de clans assez soudés pour survivre, époque pendant laquelle le meurtre n’existait pas par exemple, alors, je n’adhère pas du tout ! :) 
      L’état d’esprit binaire qu’ont apporté les différentes mouvances monothéistes en plaçant le genre humain entre l’unité divine et la nature barbare est une invention d’à peine 3000 ans. Le bien et le mal, l’enfer et le paradis sont des concepts simplifiés de domination. Ils induisent que la dualité culturelle profonde soit placée juste après l’unité cultuelle dominante, conditionnant ainsi l’humain au-dessus de sa propre nature et brisant l’harmonie égalitaire instinctive.
       


    • 2 votes
      Pierre Régnier 28 septembre 2020 17:39

      La revue Front Populaire, met en lumière, un peu différemment, les aspects destructeurs de ce qu’elle nomme l’État profond.

      C’est à cette autre réalité négative que la conception de l’État asservissant exposée par Laurent Obertone devrait être confrontée pour qu’existe un débat aujourd’hui essentiel.


      • 2 votes
        Jean Keim Jean Keim 29 septembre 2020 17:14

        Il n’y a pas de lutte entre le bien et le mal, le croire est une pensée de guerre, de religion, de politique, c’est le même mouvement.

        Le mal c’est la lutte, c’est la guerre, c’est la compétition, c’est le profit tant matériel que psychologique, c’est la hiérarchie, c’est moi-je pense que j’ai raison, que mes idées sont les bonnes, je vais vous dire ce qu’il convient de faire, je vais changer le monde, et s’il le faut pour imposer ma paix j’emploierai la force.

        Là où est le mal, le bien ne s’y trouve pas.

        Le bien et le mal ne sont pas des contraires sinon ils se rejoindraient, ils sont simplement incompatibles.


        • vote
          Jean Ducoin 30 septembre 2020 12:34

          @Jean Keim
          Ouais, mais en même temps, y-en a qui ont leur version du bien, et aussi beaucoup de goût pour l’art ... mais j’en voudrais pas comme baby-sitter pour mes gosses :

          https://news.yahoo.com/hillary-clintons-podcast-ignores-trump-220001305.html?guce_referrer=aHR0cHM6Ly93d3cuZ29vZ2xlLmZyLw&guce_referrer_sig=AQAAACYfc1TSV9paDVZMJkqeSim8bJEaAHTIS1sSv-45J8FP22V0kPlVcuoTGNayIuDYcy5xUYK9f1wmHOQglhq8Gi1Ov_DLhiyWv_uSRPXRJQir I3Q_Slc5gEZQnsl-hGJOoMuHMBEp_Y6tEqzg9-pYp0T_6A5VYz1JOOO7ClWOMQrC

          Super Hilary en plein podcast sur Yahoo news.

          Ce qui est intéressant, c’est le deuxième livre sous la boite du mac book :
          lucio bubacco

          Sans déconner, si ça ça s’appelle pas soigner son image de petit ange. 


        • 1 vote
          joelim joelim 11 octobre 2020 14:48

          "L’État ne produit rien" dit-il. Non.

          Sachant qu’il inclut la santé, l’éducation, le maintien de l’ordre qui produisent meilleur-être, éveil et sécurité on le vit tous les jours, retirez la police et regardez ce qu’il se passe (loi du plus menaçant) .

          Ce parti-pris libertarien, c’est dommage car j’apprécie l’originalité et l’honnêteté (il me semble) de son approche du monde.



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