La sombre prophétie de Bill Gates... et ses solutions
Le narratif de la peur reprend de la vigueur. Un "nouveau variant encore plus mortel" et "encore plus contagieux", le "cauchemar est loin d'être terminé". Les mots de Bill Gates prononcés lors d'une entrevue au "Financial Times" font frissonner. Brrrrr.. !!!
Le grand philanthrope sort ce 4 mai un livre ("Comment éviter la prochaine pandémie") dans lequel il propose ses solutions face à la prochaine vague meurtrière de covid-19. En premier lieu la création d'une agence mondiale contre les pandémies, la "GERM" (ça ne s'invente pas) dotée d'un budget d'un milliard et pilotée par l'OMS.
En second lieu l'accentuation de la "pression vaccinale" par ARN-messager (what else.. ?) avec la fabrication en urgence de doses plus efficaces.
Problème : par le biais de sa fondation et du GAVI, Bill Gates est le premier financeur au monde dans le domaine de la vaccination. C'est aussi le premier financeur de l'OMS. Pour moins que ça un esprit quelque peu retors flairerait comme un parfum de conflit d'intérêts. C'est ce que pense Florian Philippot qui revient aussi sur certaines "prophéties" passées d'un Bill Gates décidément doué dans les arts divinatoires.
C'est troublant : l'injonction à l'injection de Bill résonne tel un écho à celle d'Ursula Von Der Leyen. Il faudrait être une petite souris en divagation dans les couloirs de la commission européenne pour, peut-être, mieux comprendre les motivations de cet intense activisme "vaccinal".
Heureusement il y a Virgine Joron, député européen (RN) qui, sans être massivement relayée, traque les zones d'ombre dans le petit monde covidiste. Des contrats de vente toujours censurés, des achats de doses en quantité ahurissante (4 milliards pour la zone Europe, 240 millions de doses gaspillées dans le monde, 75 millions de surplus rien qu'en France etc...) Sans doute une explication à la volonté de la commission "d'intensifier la vaccination et les doses de rappel" dans l'optique de "la prochaine vague".
La Pologne, les pays baltes n'en veulent plus de ces doses. Virginie Joron narre cette édifiante affaire en Arménie où un stock d'Astrazeneca a été détruit après le décès de la "personne" qui devait en faire la promotion dans les médias. Appelé à la rescousse, Pfizer s'est refusé à livrer des doses à l'Arménie (hors UE) qui ne voulait pas transiger sur la clause de responsabilité. Pourquoi, y aurait-il un voile d'incertitude sur la qualité et la fiabilité du matos.. ?
"Quand est-ce qu'on arrête ce scandale ?" interroge Virginie Joron. Pour commencer, diffusons ces informations hélas trop confidentielles...
Dans cet entretien de 26 minutes, la même Virgine Joron revient plus longuement sur son travail et ses investigations au sein de la nébuleuse européiste. C'est édifiant.
Tags : Vaccins Bill Gates Mondialisation Lobby Nouvel Ordre Mondial Industrie pharmaceutique Union européenne Psychiatrie Covid-19 Pfizer
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