Les Expériences de "Mort Imminente"
Les "Expériences de Morts Imminentes" sont une réalité pour beaucoup de personnes mais ce sujet est généralement tourné en dérision par les médias grands public par peur de l’inconnu, mais pour une fois un reportage très éclairant et intéressant est disponible qui ne caricature ni ne moque ces gens témoignant de leur expérience de la mort et présente différents intervenants ayant consacrés une grande partie de leur vie à l’étude de ces témoignages et expériences dites de mort imminente.
L’auteur nous montre - et c’est une des grandes nouveautés de cet ouvrage, par rapport à ceux qu’elle a écrits auparavant - comment le corps, lui, se souvient des choses que nous avons vécues : "Le corps est le gardien de notre vérité, parce qu’il porte en lui l’expérience de toute notre vie..."Si nous nions ces anciennes souffrances, ou même si nous n’en avons aucun souvenir conscient, le corps se charge, par des symptômes, de nous les rappeler. Ne pas reconnaître ses souffrances enfouies, c’est donc être en décalage avec son corps, et un tel décalage est forcément douloureux."
- "Notre Corps de Ment Jamais", d’Alice Miller :
Tags : Santé Accident
39 réactions à cet article
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Un homme honnête aurait titré les "expériences" de mort imminente...et se serait gaussé de ces billevesées , bien entendu..
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Ces expériences de mort imminente racontée a posteriori impliquent le souvenir de ce qui a été vécu, donc le fonctionnement de l’ ACTIVITE MEMORIELLE du cerveau. Par conséquent, il est excessif d’appeler cela un coma dépassé et encore moins un quelconque état de mort, fut-elle imminente.
En outre, le fait que la relation rapportée par les différents témoins de ces expériences aient comme un air de ressemblance ne me paraît pas anormal ou surprenant, dans la mesure où chacun de nos organes restent extrêmement semblables chez tous les individus en ce compris notre système nerveux et en particulier l’ordinateur central qui nous sert de cerveau.A constitution semblable, vécu semblable dans des situations semblables.Tous les moyens sont bons afin de tenter de suggérer l’existence d’un au-delà. Mais là, c’est réellement un peu gros.-
Le problème c’est qu’on ne sait pas où définir la frontière entre la vie et la mort. Autrefois on se basait sur l’ activité du cœur pour déterminer la mort d’un individu, puis cela s’est avéré inexact ,car le cœur peut reprendre, surtout avec les moyens actuels, et on a pris alors l’ activité cérébrale comme frontière ultime. Mais visiblement certains cas repoussent encore plus loin la limite puisque le cerveau peut lui aussi reprendre, avec en prime des souvenirs.
Personnellement je ne comprends pas les rires gras et stupides de Bonneau face aux témoignages. On dirait qu’il n’ a jamais entendu parler de l’ existence des rêves dans sa vie. Pas besoin de boire ou de fumer la moquette pour faire des rêves surréalistes, n’importe quel enfant le sait pourtant. -
@Cascabel : Comme tous les mots du dictionnaire, la définition de la mort est conventionnelle.
Ceci dit, si le cerveau est toujours capable de percevoir quelque chose, et qu’ensuite on en revient, ça me donne une double raison de conclure qu’il n’y a pas eu décès, même si on ne peut le constater qu’à posteriori.Evidemment, les témoignages convergents ne semblent pas permettre de mettre en doute les expériences vécues ; mais ce qui est intolérable, c’est que les différentes spiritualités interprètent ces phénomènes comme autant d’allers et retours vers un au-delà qui, pour moi, reste de l’ordre de l’imaginaire.Tous les moyens sont bons quand on veut démontrer l’indémontrable. Il suffit d’utiliser des moyens invérifiables ou de donner à des phénomènes naturels des explications bidons. Il y a eu les (pseudo-)miracles et la (pseudo-)résurrection du Christ, précédés de ceux, entre autres mythes, de Mithra dont la date de la naissance a servi de point de départ purement conventionnel à la chrétienté, de Krishna ; puis il y eut le suaire de Turin dont les tests au carbone 14 ont été longtemps refusés par le Vatican. Enfin, quand la science s’en est mêlé, la supercherie a fait long feu.On ne sait toujours pas qui a tué les Kennedy, il y a polémique sur le 11 septembre, mais d’aucuns croient dur comme fer les certitudes auto-proclamées par les marchands de religion quant à ce qui se serait passé il y a 2000 ans en ce compris une fécondation et un accouchement qui auraient préservé l’hymen de la mère. -
therasse : "Ces expériences de mort imminente racontée a posteriori impliquent le souvenir de ce qui a été vécu, donc le fonctionnement de l’ ACTIVITE MEMORIELLE du cerveau. "
Dans certains cas, il a été vérifié que le cerveau n’avait strictement aucune activité.
"mais ce qui est intolérable, c’est que les différentes spiritualités interprètent ces phénomènes comme autant d’allers et retours vers un au-delà qui, pour moi, reste de l’ordre de l’imaginaire. "
Pourtant aucun témoin ne parle d’imaginaire, bien au contraire. En matière d’’intolérance vous n’avez rien à apprendre.
"A constitution semblable, vécu semblable dans des situations semblables. "
Les gens racontent des faits réels qu’ils ont pu vérifier en partie.
"Tous les moyens sont bons afin de tenter de suggérer l’existence d’un au-delà.’
Tous les moyens sont bons pour éviter les vraies questions. Quelle mauvaise foi (à tous les sens du terme). Vous faites visiblement partie de ces anti-dieu et religion qui nient toujours tout ce qui ne va pas dans leur sens. Vous ressemblez aux religieux que vous critiquez, à force de vous crisper sur vos dogmes. -
Therasse,
’
En Islam et dans le Coran la mort est appelée accessoirement : LA VÉRITÉ.
’
Une fois que tu auras à découvrir celle-ci, tu n’auras plus l’occasion de retourner corriger quoi que ce soit. -
@Philou017 : Je donne une explication logique à ce que les illuminés tentent de "récupérer". Ceci dit, si vous avez un témoin mort et refroidi depuis 24 heures et qui reviendrait nous raconter ce qu’il a vécu, je serais peut-être plus enclin à lui prêter une oreille attentive.
Le problème, c’est que, de la "vraie mort", nul ne revient ; nul ne se redresse sur la table du légiste. -
Avec Frédéric Bonnaud même ces histoires grotesques me paraissent plus sympatiques que ce crétin d’journaleux !
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Quel abrutis ce Frédéric Bonnaud ! Quel mépris envers ces personnes qui témoignent après avoir traversé de grandes souffrances.
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Quoi qu’il en soit, en voyant et écoutant ce Frédéric Bonnaud, j’ai vécu une Expérience de Conneries Eminentes ... formidable !
Et ça me rassure ... rien qu’à voir l’expression de son visage ... (très porcelet mignon), vaut mieux qu’il ne croit à rien ... mais c’est vrai, il croit à la version fabulo/miraculeuse du 911... et cela doit lui suffire de se croire intelligent !
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Rectif ... post précédent : Il fallait lire
Expérience de Conneries Imminentes ... mon clavier avait fourché ...
Mais avec Bonnaud ... Conneries Éminentes est aussi bien ...
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Pareil que les 2 derniers intervenants, même si je ne crois à rien ... avec le témoignage de Frédéric Lourdaud ... je préfère croire les témoignages du document...
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irrattrapable ce tocard de frederic bonnaud...
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Très touchant la 2eme vidéo.
en tout cas ce qui est sur l’enveloppe corporel et l’ame sont deux élément , deux matière dissociable, l’ame est éternele-
Intéressant +1.
Une question tout de même, pourquoi avoir ajouté les commentaires de Bonnaud cette grosse tâche du PAF (qui d’ailleurs était chez Morandini une autre grosse tâche du même PAF).
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@fritzthecat bonnaud est lâ
peut être pour abrutir les gents , leur dire que la spiritualité ce n’est rien d’autre qu’un état psychique qu’on peut atteindre facilement avec les drogues dures, il fait de la manipulation. Ou bien c’est un imbecile qui ignore les Biens fait de la méditation.-
plusieurs , ici , vont faire l experience de l internement imminent !!
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toi d’abord , egotroll !
retournes à tes cahiers et laisses les grands débattre ! -
Alors là, Frédéric Benêt s’est surpassé ! un grand moment de solitude, plus débile, tu meurs........
Mais rien d’étonnant d’entendre ce summum de crétinisme à la radio/tv/poubelle, il faut des crétins patentés bien lobotomisés pour endormir les autres ! ah ah ah !
Faut donc refroidir le Bonneau, lui enlever la partie avariée dans le cerveau ( il risque de pas rester grand-chose...) et le réchauffer à coups de baffes, il fera moins le malin après......-
Bizarre, il est vrai que l’auteur ait ajouté la vidéo de Bonnaud ... peut-être est-ce pour nous exposer un contraste ... avec les 2 premières vidéo.
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Frédéric Bonnaud ..... Le mec est complétement largué, sans doute, aussi c’est normal qu’il préfère en rire. Quand je vois des personnes comme ça se rire d’un sujet aussi sérieux, je me demande si l’orgueil et l’estime de soit n’est pas une condition sinéquanone à ajouter à la connerie pour faire de la chronique sur une grande antenne.
Son attitude n’est même pas dû à du cartésianisme parce que le mec nie la réalité de faits et son esprit, pour cela, fait une espèce de césure entre le discours de scientifiques et celui des témoins afin de ne pas être bousculé et de rester confortablement dans sa position narquoise et au ras des pâquerettes.
Il vaut mieux qu’il se frotte pas trop aux sujets que peut traiter Stéphane Allix pour ne pas se noyer dans sa connerie, parce qu’il perdrait pieds sans aucun doute.-
Peut-être tous les commentaires concernant Frédéric Bonnaud sont déplacés et vont à l’encontre des arguments développés dans les reportages ?
Peut-être la compassion serait plus appropriée si on croit au contenu de ces videos ?
Je ne ressens pas cet individu comme spécialement bien dans sa peau...-
Avant de parler de spiritualité, le mieux est déja de voir le point de vue scientifique.
Rappelons d’abord que la mort est un état irréversible mais rarement instantanément (sauf traumatisme par balle au cerveau par exemple).
Les organes meurent progressivement mais pas tous à la même vitesse.
Par ailleurs, le fait qu’un organe n’assure plus sa fonction ne signifie pas qu’il est mort.
Ce qui compte, ce sont les cellules qui le composent. C’est ainsi qu’on peut relancer un coeur alors qu’il ne bat plus tant que les cellules de ce coeur ne sont pas irrémediablement détruites.
Par ailleurs, plus que le coté arret des fonctions vitales, c’est le coté irréversible qui prévaut.
A une époque effectivement on déclarait mort une personne dont le coeur s’était arreté. Aujourd’hui, on fixe la mort à la destruction du cerveau. Mais il faut ne pas oublier une chose : on déclare une personne morte lorsqu’on a plus aucune chance de la réanimer EN L’ETAT DE NOS CONNAISSANCES ACTUELLES.
Rien ne permet donc de dire qu’une personne ayant vécu une EMI était morte, bien au contraire.
Extrait de Wiki :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Exp%C3%A9rience_de_mort_imminente#Point_de_vue_scientifique
Généralement, les cas avérés de NDE sont considérés lorsqu’un patient a subi une mort clinique, une mort cardiaque ou une mort cérébrale et a été ranimé avec succès. Leurs témoignages sont ensuite comparés à une échelle EMI construite selon le modèle de Rasch pour les normaliser.Kenneth Ring a notamment construit l’indice WCEI (Weighted Core Experience Index) pour mesurer la « qualité » de l’EMI[23] et Bruce Greyson une échelle de qualification des témoignages[24].
Des expériences similaires auraient été rapportées par des personnes suite à un accouchement, à un malaise ou pendant une anesthésie à la kétamine, alors que leur pronostic vital n’était pas en jeu. La prise d’hallucinogènes (DMT) ou même certaines techniques de méditation pourraient également provoquer des sensations que certains rapprochent de l’EMI sans toutefois les reproduire dans leur ensemble.[réf. nécessaire]
On considère que les circonstances cliniques qui peuvent amener à une EMI incluent les conditions suivantes : arrêt cardiaque, choc post traumatique après une perte importante de sang ou des complications périopératoires, choc anaphylactique, électrocution, coma, hémorragie intracérébrale ou infarctus cérébral, tentative de suicide, quasi-noyade ou asphyxie, apnée, et dépression grave.
Beaucoup d’EMI apparaissent après un épisode crucial (ex : lorsque le patient entend qu’il est déclaré mort par le médecin ou l’infirmière), ou lorsque la personne ressent l’impression d’être dans une situation fatale (ex : juste avant un accident de voiture). Contrairement à la croyance populaire, les tentatives de suicide ne conduisent pas plus souvent à de désagréables EMI que lors de situations non intentionnelles.
La privation d’oxygène ou hypoxie peut provoquer beaucoup des symptômes EMI comme l’a démontré Michael Portillo dans le documentaire "How To Kill A Human Being" (en français : "Comment tuer un être humain") sur BBC Horizon.
Selon des études épidémiologiques, les témoignages d’EMI seraient plus fréquents chez les sujets âgés de moins de 60 ans, ou bien ayant une saturation en dioxygène élevée.[réf. nécessaire]
Sur un plan physiologique, l’EMI ne peut pas être apparentée aux états modifiés de conscience, au rêve, aux hallucinations, et à certains cas d’épilepsie. Ces derniers sont mieux connus scientifiquement et peuvent par exemple être dus à l’anoxie qui provoquerait un dysfonctionnement de l’hippocampe. [réf. nécessaire]
Certains ont fait un rapprochement avec les irruptions de sommeil paradoxal dans l’état de veille constatées dans certaines pathologies[25]. Il s’agit d’une activation du cortex occipital, régulée par plusieurs structures du tronc cérébral comme le noyau pedonculopontin, le tegmentum latéral, le raphé dorsal, le locus cœruleus (mécanisme cholinergique qui contrebalancerait la réaction d’alerte noradrénergique impliquant le locus cœruleus). [réf. nécessaire]
En 2002, Olaf Blanke, Stephanie Ortigue, Theodor Landis et Margitta Seeck, du département de neurologie de l’hôpital universitaire de Genève ont publié dans la revue Nature un article décrivant une expérience autoscopique provoquée par la stimulation électrique d’une région spécifique du cerveau chez une patiente épileptique.
Dans une nouvelle théorie élaborée par Kinseher en 2006, les connaissances actuelles du système nerveux autonome sont appliquées dans la recherche du phénomène EMI. Sa théorie explique que l’expérience d’une mort imminente est un paradoxe d’une extrême étrangeté pour un organisme vivant, ce qui déclenche en retour une EMI : pendant celle-ci, l’individu devient capable de "voir" le cerveau en pleine analyse de toute la mémoire épisodique (y compris les expériences prénatales) afin de trouver une expérience similaire à la situation imminente de mort. Tous ces morceaux d’informations analysés et récupérés sont en permanence évalués par le cerveau, comme s’il cherchait un mécanisme pour copier un moyen d’éviter cette situation potentiellement fatale. Kinseher pense que c’est la raison pour laquelle une expérience de mort imminente est si inhabituelle.
Suivant cette théorie, les expériences extracorporelles qui "accompagneraient" les EMI seraient une tentative du cerveau pour recréer une représentation mentale de la situation et de la scène. Le cerveau puiserait alors dans les informations des capteurs sensoriels et des expériences emmagasinées (connaissance), produisant ainsi une sorte de "rêve" à propos de soi et de l’environnement (l’entourage).
Que ces expériences de mort imminente soient ou non hallucinatoires, elles ont toujours un impact profond sur l’individu. Beaucoup de psychologues ont reconnu cet impact, sans préjuger de la nature objective de l’expérience décrite. Sans chercher nécessairement à discréditer les interprétations radicales, voire religieuses, des EMI les scientifiques se sont prudemment bornés à comprendre les mécanismes biologiques sous-jacents. La psychologue britannique Susan Blackmore s’est distinguée par un examen[26] détaillé et non partisan des récits d’EMI, et par une critique exigeante des "théories" les plus populaires. Elle met en avant les défauts rédhibitoires de ces dernières et elle propose l’esquisse d’une interprétation qui fait des traits typiques de l’EMI des manifestations mentales d’un cerveau placé dans des conditions critiques (défaut d’oxygénation cérébrale etc).
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"le fait qu’un organe n’assure plus sa fonction ne signifie pas qu’il est mort.
Ce qui compte, ce sont les cellules qui le composent" ->Vous n’allez pas assez loin dans votre réflexion.On ne parle pas ici de la mort d’un organe mais de la mort de l’esprit, de la conscience ou de l’âme (choisissez le terme qui vous convient). Tout le problème est là. Dans l’expérience de Pam Reynolds (la référence dans ce domaine révélée par Mr MOODY et mentionnée dans cet article), l’EEG qui mesure l’activité électrique du cerveau prouve que il n’a plus aucune activité électrique. Hors, tout le monde est d’accord sur le fait que pour toute activité, même pour les rêves, le cerveau a besoin d’échanger des impulsions synaptiques entre groupe neuronaux captée par un EEG.Ou alors, vous êtes prêt à croire que l’imaginaire peut fonctionner sans échange entre les neurones et donc vous bouleversez notre début de compréhension des mécanismes du cerveau.Personnellement, je pense que pour toute manifestation de l’esprit, nos neurones échangent des impulsions. S’il n’y a plus d’échange, il n’y a plus d’esprit, ou alors cet esprit est aspiré dans une autre dimension dont nous ne comprenons rien.Je crois qu’il est préférable de s’en tenir à la science dans ce domaine : -
Certes, si l’EEG est plat alors il ne peut y avoir rêve ni pensée ni EMI.
Mais :
1) L’EEG est il vraiment plat ou l’activité électrique du cerveau est elle indétectable (instruments pas assez sensibles) ?
2) Qu’est ce qui prouve que l’expérience EMI n’a pas lieu juste avant que l’EEG devienne plat ?
3) Qu’est ce qui prouve que l’expérience EMI n’a pas lieu lors de la réanimation à la reprise d’activité du cerveau ? -
un petit parallèle pour être plus explicite :
1/ Le coeur -sorte de pompe- génère la tension artérielle. Nous constatons le fonctionnement du coeur par ses battements et la pression qu’il fournit dans nos artères. Il n’y a plus de tension artérielle quand le coeur s’arrête.2/ Le cerveau -sorte de microprocesseur- génère l’esprit. Nous constatons le fonctionnement du cerveau par ses échanges électriques entre les neurones. Il n’ y a plus d’esprit quand les échanges neuronaux s’arrêtent.Hors, les expériences du Dr Moody et d’autres anesthésistes/rhéa ( cf. JL Charbonnier) sont la preuve du contraire. Le cerveau est "inactif" (si vous préférez à "mort" et je suis d’accord puisqu’il n’y a pas encore nécrose cellulaire, l’organe peut donc être réactivé), et pourtant son expression continue d’exister. Comment l’expliquer ?Les scientifiques s’opposant à ces témoignages mettent en avant l’époxie. Pour moi, cela n’a rien à voir puisque le cerveau peut manquer d’oxygène et continuer à avoir une activité synaptique pendant un moment. -
Visionnez ceci s’il vous plait :En outre, je vous invite à lire les derniers ouvrages sur le sujet ou éventuellement le dernier documentaire français très bien fait : "Faux Départ""1) L’EEG est il vraiment plat ou l’activité électrique du cerveau est elle indétectable (instruments pas assez sensibles) ?"Les échanges synaptiques fonctionnent par effet de seuil. C’est à dire, qu’il faut un minimum de puissance au signal pour lui permettre de franchir le synapse et de passer au neurone voisin. Ce qui veut dire que si l’intensité est basse, le cerveau ne fonctionne plus.
"2) Qu’est ce qui prouve que l’expérience EMI n’a pas lieu juste avant que l’EEG devienne plat ?"Par exemple, dans le témoignage de Pam Reynolds, elle a décrit l’appareil utilisé pour découper son crâne. Cet mini-disqueuse n’est pas exhibée lorsque l’on amène le patient en salle d’opération. Le chirurgien s’est saisi de cet outils bien après l’anesthésie. Sur ce cas, il n’y a pas de doute car le protocole cette opération exceptionnelle a été noté minute après minute.
"3) Qu’est ce qui prouve que l’expérience EMI n’a pas lieu lors de la réanimation à la reprise d’activité du cerveau ?"Cf ci-dessus.Encore, une fois, je vous invite à lire les témoignages de référence qui invalident vos objections. Mais on peut trouver d’autres critiques lorsque l’on va plus loin dans les recherches. -
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J’imagine que vous voulez parler d’anoxie et non pas d’epoxie ?
Et je ne comprend pas bien ce que vous voulez dire par "et pourtant son expression continue d’exister. Comment l’expliquer ?".
Si par expression vous vous parlez de la persistance des souvenirs après une EMI avec EEG plat, je ne vois pas ce qu’il pourrait y avoir de surprenant.
Tant que les neurones et les synapses ne sont pas détruits, on peut supposer que l’information perdure, un peu comme une information gravée sur un DVD.
Par ailleurs, il est vrai que EEG plat ne signifie pas qu’il ne se passe rien dans le cerveau. Il y a ce qu’on appelle la souffrance cérébrale lié au manque d’oxygène... Les cellules commencent à souffrir et on peut bien penser qu’il y a des décharges incontrolées lorsque la dégradation commence ainsi que des réactions chimiques.
Après tout, c’est le même phénomène qui provoque à terme la rigidité cadavérique pour les muscles. -
@Blackmatter (et les autres qui souhaitent comprendre en quoi un EEG est révélateur du fonctionnement du cerveau).
Je vous invite à étudier de plus près le "potentiel d’action" ou influx nerveux (programme SVT niveau Bac S) ou comment le message ne passe d’un neurone à l’autre qu’avec un signal électrique déterminé (amplitude +100mv). Ne croyez pas que le message peut passer "en douce" entre nos neurones ! lolPlus généralement, il ne faut pas prendre ces histoires d’EMI à la légère. Elles mettent bien à mal les postulats scientifiques des experts dans ce domaine... -
Désolé, le lien wikipedia ci-dessus est tronqué quand on le post ici... Il faut taper la fin : " ’action " manuellement.Drôle de bug : faudrait que les modérateurs voient pourquoi le copié-collé de cette adresse url s’est coupé après l’apostrophe... -
En effet, je voulais bien parler d’anoxie et non "d’époxy". C’est un vrai lapsus sachant que je fais des parallèles avec l’électronique (microproc et impulsion electrique) et que l’epoxy est utilisée en électronique dans les circuits imprimés... Mon cerveau me joue des tours ? lol
Bref, quand je parle de l’expression du cerveau, je ne parle pas de la persistance des souvenirs ! Elle ne se résume pas à cela ! Nous parlons ici des EMI,non ? C’est à dire, des voyages en dehors du corps, une petite lumière vers laquelle on se sent attirée, traverser les murs et voir des choses dont on témoigne après etc."Il y a ce qu’on appelle la souffrance cérébrale lié au manque d’oxygène..." -> oui c’est justement ça l’anoxie cérébrale !
Les cellules commencent à souffrir et on peut bien penser qu’il y a des décharges incontrolées lorsque la dégradation commence ainsi que des réactions chimiques. -> oui mais soit ces décharges sont insuffisantes et la cellule nerveuse (neurone) ne transmet rien, soit ces décharges stimulent les neurones suivants (même de manière incontrôlée comme vous dites) et dans ce cas, cette activité est captées par l’EEC
Encore une fois, vous répétez les arguments habituels des "néophytes" sur le sujets. N’y voyez pas là une agression. Je vous invite seulement à étudier le potentiel d’action et la transmission synaptique ainsi que son effet de seuil.
"Après tout, c’est le même phénomène qui provoque à terme la rigidité cadavérique pour les muscles."
Euh là vous mélangez tout
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C’est très bien qu’on étudie les E.M.I ...
Mais les cas extraordinaires comme ce Bonnaud <<< devraient être étudiés également...
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J’invite l’auteur à rajouter le témoignage "phare" sur le sujet, celui de Pam REYNOLDS (avec inactivité cérébrale avérée) :
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Un témoignage similaire existe dans les vidéos ci-dessus ... (me souviens plus si c’est le même nom, mais identique expérience ... pour la crédibilité, j’espère que c’est la même personne tellement les explications se ressemblent étrangement)
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@egosum soit pas bete
il y a des études sur ça en ce moment à l’hopital de la timone (hopital de marseille)
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