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Accueil du site > Tribune Libre > Philippe Pastoureau : L’agriculteur contemporain face à la science

Philippe Pastoureau : L’agriculteur contemporain face à la science

Agriculture et science.

Pour cette première édition, TerrEthique a choisi de se pencher sur les liens entre agriculture et science : quels grands modèles peut-on identifier à travers l’histoire ? Quelles relations les producteurs d’aujourd’hui entretiennent-ils avec la science au quotidien ? Quel bénéfice l’agriculture d’aujourd’hui et de demain peut-elle attendre des avancées de la science ? Autant de questions dont les réponses conditionneront la capacité du monde agricole à nourrir plus de 9 milliards d’humains en 2050.

 

L’entretien avec Philippe Pastoureau :
« L’agriculteur contemporain face à la science »
 
 
 
Et la suite des Entretiens de Cluny sur : http://terrethique.org/les-entretiens/
 
Bonne lecture !
 

Tags : Environnement Histoire Science et techno Agriculture Alimentation




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23 réactions à cet article    


  • 11 votes
    TerrEthique TerrEthique 4 janvier 2013 11:17

    Dans cette vidéo tournée lors des Entretiens de Cluny, l’agriculteur Philippe Pastoureau nous raconte son histoire : celle d’un homme qui décide, un jour de 1995, de renoncer à l’acte mythique du paysan, le labour. Trois ans après son entrée dans la vie active, le paysan fait face à l’impuissance des produits chimiques à contrer certaines maladies, ainsi qu’à la dégradation progressive de son sol. A cela s’ajoute le coût élevé de la mécanisation. Enfin, il ne peut plus entendre d’être assimilé à un “pollueur”. Fils d’agriculteurs audacieux et novateurs, il choisit de prendre le contrôle de son outil de travail et se met en quête d’une nouvelle façon de produire. Il réalise qu’il ne possède pas qu’un tracteur, mais qu’il a un sol. Ce sol, Philippe Pastoureau décide de le décompacter tout en se “décompactant le cerveau”. Commence alors une longue aventure faite de galère, de découvertes, de rencontres, et de satisfactions…


    • 4 votes
      alberto 4 janvier 2013 16:43

      Bon courage à ce cultivateur audacieux en espérant que son exemple sera suivi et que ses expériences remonteront vers les les centres de recherches comme l’INRA.
      Voici une voie pour sortir de l’impasse de l’agriculture industrielle ?
      Merci à TerrEthique pour cette vidéo et bravo pour son joli logo !


      • 4 votes
        Arsene Icke Arsene Icke 4 janvier 2013 17:51

        Je ne trouve pas que remplacer le labour mécanique par des désherbants chimiques soit une grande avancée ... ou alors j’ai rien compris ? Quelqu’un peut expliquer ?
        Le moins qu’on puisse dire est que les intervenants ne sont pas tres clairs, qu’ils sont un peu brouillons et pas très pédagogues, en tout cas pour un novice.


        • 2 votes
          jime07 4 janvier 2013 19:41

          Exact, la chimie en secours c’est une pseudo-avancée, je reconnais là les techniques de l’agriculture biologique diluées.
           
          Disons que c’est un palier entre l’agriculture conventionnelle et le bio, c’est effectivement pas très clair même en connaissant un peu le sujet. A encourager en faisant totalement disparaitre la chimie des sols.
           
          J’ai quand même noté que les techniciens renvoient systématiquement vers des solutions chimiques, c’est cet échelon qu’il faut faire sauter dans le futur.
          Intéressant aussi le passage où l’agriculteur explique que sur un volume total de production, il n’en faudrait que 20% de normalisé.


        • 1 vote
          QaviQeQuarQo davideduardo 4 janvier 2013 20:36

          Ce que j ai compris , c est qu il n abandonnait pas la chimie d un coup, mais se transformait au long terme.


          Laisser pousser le trefle permettait au colza de ne pas se faire bouffer par les limace et ainsi ne pas épendre d insecticide.
          La terre étant plus aéré par les vers de terre, il a aussi besoin de moins forcer sur la dose : le peu qu il va épendre pénetrera plus facilement les sols.
          C est deux exemple montre qu il sont sur la voie de réduction des intrants.

          Vous etes durs : les agriculteurs ne peuvent pas abandonner du jour au lendemain tout type d intrant : ils ont tout de meme des contrainte de quantité productive minimum pour pouvoir etre compétitif sur le marché.

        • vote
          Arsene Icke Arsene Icke 5 janvier 2013 07:30

          Le probleme me semble etre avant tout du aux mauvaises herbes. Car le but du labour est justement de les éliminer. Maintenant, sans labour il n’y a pas d’autre solution que les herbicides chimiques. Pour tout le reste je suis d’acord, y compris le semi direct mais alors il faut m’expliquer comment faire ca sans recours a la chimie (mon niveau de tolérance pour la chimie étant "zéro")
           
          Alors parfois on entend parler de paillage ou de BRF. Mais alors dans ce cas il faut m’expliquer comment faire un paillage sur 1 hectare (et a fortiori sur 90). Le paillage me semble bon pour un potager familial, et pas pour des hectares de terres.


        • 5 votes
          Famine(la grande) Famine 5 janvier 2013 12:10

          Je n’ai pas suivi la vidéo, mais si l’intervenant explique que le désherbage chimique est préférable au désherbage mécanique, dîtes-vous bien qu’il doit être payé par l’industrie agro-chimique ( comme ses interlocuteurs de " terre éthique " d’ailleurs tiens tiens... ). 


        • 2 votes
          Arsene Icke Arsene Icke 5 janvier 2013 12:48

          D’un autre coté il dit avoir des vers de terre par tonnes ... L’herbicide ne tuerait pas les vers de terre ?
           
          Le problème de cette vidéo est que les interlocuteurs ne se mettent pas une seconde a la place de l’auditeur et leur discours est complètement confus, incompréhensible même.
          Bref, très mauvaise vidéo. smiley Sorry. La prochaine fois que vous voulez faire de la pédagogie alors faites des efforts didactiques et construisez un plan pour votre discours au lieu de balancer des bribes d’info en vrac et dans tous les sens.
          Être bon orateur n’est visiblement pas donné à tout le monde.


        • 3 votes
          jime07 5 janvier 2013 14:17

          Faut pas rêver, le désherbage est manuel ou mécanique. Des fermes de 80ha ne devraient plus exister, c’est le résultat de la politique agricole où tout favorise les grosses exploitations encartées à la FNSEA engraissées à coup de subvention de l’europe, essayez de bosser en bio sur quelques hectares en étant encarté Confédération Paysanne et Nature&Progrès, on vous rit au nez, alors que niveau rentabilité, comme dit plus bas, on s’en sort honorablement mais ça ne fait pas tourner l’économie de bayer, monsanto, baumaux et consorts. 
           
          Notre exploitation est autonome, nos chèvres assurent le fumier avec poules et ânes, nous produisons la plupart de nos semences et nous utilisons uniquement du cuivre et du soufre SI besoin, donc chaque année, nos factures d’intrants sont limitées, s’ajoute à ça que nous travaillons sans tracteur uniquement traction animale et motoculteur forcément cela n’intéresse pas les vendeurs d’intrants, de tracteurs avec accessoires et de semences hybrides, donc faut surtout pas le dire. Au lieu d’aider le devellopement de petites structures tout est fait pour favoriser les grosses exploitations. 80 ha c’est jamais que 10 fermes de 8ha.


        • vote
          Arsene Icke Arsene Icke 5 janvier 2013 15:13

          @jime07
          Toi qui a l’air de bien connaitre ton affaire, que penses tu du paillage pour une superficie de 3.000 m2 ? Est-ce que ça vaut le coup ? est-ce réalisable ou c’est déjà trop grand ? est-ce que ça supprimera le désherbage manuel et le labour/fraisage (imaginons par exemple sur une petite surface) ? As tu des conseils a donner ?
          Si oui, avec quoi pailler ? de la paille ou y a-t-il mieux ?


        • 2 votes
          jime07 5 janvier 2013 19:18

          Contre les herbes, c’est sarclage, désherbage thermique, solarisation, tonte de l’existant, sur des restanques je laisse le trèfle qui a envahi après le semis et je préserve juste mon sillon. Sinon quand le peux, je laisse pousser les herbes entre les sillons et je les fauche ensuite en laissant sur place. le paillage c’est plus pour protéger le sol du soleil et conserver une humidité relative en espaçant les arrosages tout en favorisant la vie microbienne, de tout façon les herbes finissent toujours par passer au travers, cela agit comme un ralentisseur de croissance, problème suivant les régions le vent oblige à renouveler le paillage.
           
          3000m² c’est jouable suivant la source d’approvisionnement, nous on utilise les bottes de fourrage de l’année précédente


        • vote
          Arsene Icke Arsene Icke 6 janvier 2013 08:45

          Merci pour ta réponse.
          J’ai trouve un complément de réponse très intéressant dans ce documentaire :
          http://www.dailymotion.com/video/xawhhu_culture-de-la-terre-en-synergie-1-2_creation#.UOkrOndGHo4


        • vote
          QaviQeQuarQo davideduardo 4 janvier 2013 20:39

          J aimerais tout de meme voir une étude comparant ces deux type de culture : 

          une monoculture OGM pleine d intrant style revolution verte 
          et une culture comme celle de ce monsieur

          Et comparer : 
          la production récolté a l hectare, 
          la quantité de pesticide, incecticide par hectare
          les engrais
          les machines utilisés
          le nombre de travailleur nécessaire....


          Parceque l argument contre est toujours économique et rentabilité.

          • vote
            nenyazor 5 janvier 2013 10:31

            un petit indice à 44 minutes : http://www.youtube.com/watch?v=qq8J7H3UGAU


          • vote
            nenyazor 5 janvier 2013 10:38

            Aussi : http://www.dailymotion.com/video/xazdat_le-bon-sens-paysan_news#.UOfzgKyIKyA
            à 1h30 à peu près, ce paysan fait la comparaison entre les revenus d’exploitations "conventionnelles" et agriculture "durable" : c’est dans le 2e cas que l’agriculteur gagne le plus même si il produit moins et qu’il a moins de primes de l’europe justement parce qu’il économise sur les intrants et le carburant.


          • vote
            Tuscany 5 janvier 2013 11:46

            Viva l’agriculture
            By Tuscany


            • 2 votes
              chtouille 5 janvier 2013 12:34
              Si c’est sponsorisé par des entreprises qui s’intéressent à l’éthique uniquement pour améliorer leur image et pour le reste utilisent des procédés contraires à l’éthique, c’est pas bien.
              Bravo quand même à Mr Pastoureau de partager son expérience et de montrer qu’une vraie révolution verte pour une agriculture durable est possible.
              Après le bois raméal fragmenté ici-même, on parle un peu plus de semi-couvert, une conférence de claude bourguignon, sur les nouvelles techniques d’assolement sortie mi2012 est republiée sur http://realinfos.wordpress.com/2013/01/04/claude-bourguignon-conferencenouvelles-techniques-dassolement/
              conférence tiptop sur le sujet, il y a une retranscription de la conférence sur scribd pour ceux qui y ont accès.
              semi direct sous couvert wiki
              Avantages de la technique[modifier]pas d’intervention mécanique de travail du sol, donc gain de temps, d’énergie et préservation de la structure du sol par apport d’engrais vert.
              semis possible même en condition météorologiques défavorables :
              si humidité excessive, le couvert permet le passage des engins agricoles en limitant le compactage,
              par temps sec, le couvert conserve une certaine humidité du sol par la limitation de l’évaporation.
              Notable économie de combustible[2] car :
              économie de travail
              économie sur la puissance moteur demandée (absence de labour)
              Maintien de l’activité biologique du sol évitant l’apport d’intrants.
              Cette technique culturale est préconisée entre autres par le couple Bourguignon.
               
               Inconvénients[modifier]Haute technicité demandée (connaître la rotation des cultures et des cultures intercalaires),
              Risques accrus liés aux limaces pendant 3-4 ans jusqu’au repeuplement en carabes (auxiliaires) par la suite ; donc utilisation et recherche de l’équilibre naturel,
              Implantation délicate sans outils adéquates

              • 6 votes
                cassia cassia 5 janvier 2013 12:54

                En gros Terre pas Ethique, financé par les pires multinationales dont Mac Donalds, partenaire privilégié de Monsanto, nous explique comment ne pas nous passer de la chimie....

                Virez nous cet article de la une !

                Terrethique sous-marin de l’industrie agrochimique !


                • 3 votes
                  jime07 5 janvier 2013 13:58

                  Pas mieux, quelle déconvenue je me suis fait piégé en regardant la vidéo hier. Le chateau m’avait mis la puce à l’oreille mais j’ai pas vu plus loin.
                   
                  Surtout que les techniques décrites sont issues des techniques de l’agriculture biologique sans les nommer.
                   
                  En fait, comme l’agriculture conventionnelle est grillée, trop de chimie et de pollution qui en découle, et au lieu de passer en bio, il nous ont fait un greenwashing des techniques agricoles conventionnelles. Avec herbicides toujours d’actualité !!


                • 1 vote
                  TerrEthique TerrEthique 2 février 2013 15:02

                  Bonjour,


                  Nous sommes heureux que cette vidéo suscite le débat et la discussion.

                  La Compréhension Partagée étant notre préoccupation principale, il nous paraît fondé d’apporter quelques précisions aux internautes ;

                  Concernant les pratiques de Philippe Pastoureau, l’agriculteur interviewé ici.

                  Le labour est à la base du travail d’un agriculteur « conventionnel ». C’est le premier maillon d’une chaîne de production qui est pensée entièrement en fonction de la première étape. Y renoncer, c’est opérer une transformation à la fois très longue et radicale. Un tel changement représente un effort colossal et nécessite des phases d’apprentissage et d’expérimentation. Nul ne peut passer en claquant dans ses doigts d’un état à autre, d’une méthode à une autre ! Le labour avait pour principale fonction de désherber avant de semer. Là on ne laboure plus, l’herbe se développe beaucoup plus vite. Philippe a dû compenser dans un premier temps l’arrêt du labour par l’utilisation de plus de produits chimiques, afin de maintenir sa production à flots le temps de maitriser une agriculture sans labour (et avec beaucoup moins de produits chimiques !) efficace et durable. Ce n’est qu’au bout de quelques années qu’il a pu maitriser la concurrence entre les plantes qu’il souhaite cultiver et les plantes qui poussent naturellement en n’utilisant plus de désherbants mais en réalisant des associations végétales. Une plante protège une autre pendant que celle-ci se prépare à pousser…Le recours aux herbicides était une phase transitoire, aujourd’hui son système est extrêmement performant, il utilise très peu d’intrants et son sol a retrouvé toute sa santé et sa capacité à produire.



                  Par ailleurs cette vidéo n’a pas été tournée dans un « château » mais au Musée National du Moyen-Age, parce que nous voulions montrer que depuis la nuit des temps, l’humain est confronté à cette question majeure de notre rapport au vivant à travers l’agriculture et l’alimentation.


                  Enfin sur le financement de TerrEthique : TerrEthique est une association qui fonctionne grâce à des dons issus du domaine public et privé, comme beaucoup d’autres associations et Fondations. Ces dons donnent lieu à une convention de mécénat régie par des règles claires et strictes. Un mécène est un organisme qui apporte son soutien financier à une structure sans aucune contrepartie : nos mécènes n’interviennent jamais ni sur les contenus que nous produisons ni sur la forme que nous leur donnons, pas davantage que sur nos choix pratiques et éditoriaux ou sur le déroulement des évènements que nous organisons. Nous sommes libres et indépendants et comptons bien le demeurer.

                  Et par ailleurs nous ne considérons pas les entreprises de façon manichéenne. Les entreprises sont avant tout des organisations humaines traversées par des courants différents, des influences internes et externes, elles sont en mouvement, parfois paradoxaux, à l’image de l’existence humaine. Il nous parait indispensable d’associer et de dialoguer avec les entreprises qui sont des acteurs majeurs de la grande équation qu’est le défi agricole et alimentaire.


                • 1 vote
                  agri effaré 5 janvier 2013 18:44

                  quant on est paysan et que l’on lit les commentaires ,philippe pastoureau (que j’ai vu sur sa ferme) a raison il faudra une génération pour changer .

                  d’ une part les agri ,car changer ses techniques de production est difficile

                  et d’autre part certains citadins, car leur inculture sur notre métier est considérable


                  • 3 votes
                    Philippr 5 janvier 2013 19:08

                    Bonjour à tous, excusez moi pour manque de clarté sur ma façon de travailler dans mes champs. Je vous propose 2 petites vidéos pour mieux comprendre l’Agriculture de Conservation que je pratique :

                    Fatou et Yeta

                    Vidéo de présentation de l’association BASE

                    Philippe Pastoureau


                    • 1 vote
                      TerrEthique TerrEthique 2 février 2013 15:01

                      Bonjour,


                      Nous sommes heureux que cette vidéo suscite le débat et la discussion.

                      La Compréhension Partagée étant notre préoccupation principale, il nous paraît fondé d’apporter quelques précisions aux internautes ;

                      Concernant les pratiques de Philippe Pastoureau, l’agriculteur interviewé ici.

                      Le labour est à la base du travail d’un agriculteur « conventionnel ». C’est le premier maillon d’une chaîne de production qui est pensée entièrement en fonction de la première étape. Y renoncer, c’est opérer une transformation à la fois très longue et radicale. Un tel changement représente un effort colossal et nécessite des phases d’apprentissage et d’expérimentation. Nul ne peut passer en claquant dans ses doigts d’un état à autre, d’une méthode à une autre ! Le labour avait pour principale fonction de désherber avant de semer. Là on ne laboure plus, l’herbe se développe beaucoup plus vite. Philippe a dû compenser dans un premier temps l’arrêt du labour par l’utilisation de plus de produits chimiques, afin de maintenir sa production à flots le temps de maitriser une agriculture sans labour (et avec beaucoup moins de produits chimiques !) efficace et durable. Ce n’est qu’au bout de quelques années qu’il a pu maitriser la concurrence entre les plantes qu’il souhaite cultiver et les plantes qui poussent naturellement en n’utilisant plus de désherbants mais en réalisant des associations végétales. Une plante protège une autre pendant que celle-ci se prépare à pousser…Le recours aux herbicides était une phase transitoire, aujourd’hui son système est extrêmement performant, il utilise très peu d’intrants et son sol a retrouvé toute sa santé et sa capacité à produire.



                      Par ailleurs cette vidéo n’a pas été tournée dans un « château » mais au Musée National du Moyen-Age, parce que nous voulions montrer que depuis la nuit des temps, l’humain est confronté à cette question majeure de notre rapport au vivant à travers l’agriculture et l’alimentation.


                      Enfin sur le financement de TerrEthique : TerrEthique est une association qui fonctionne grâce à des dons issus du domaine public et privé, comme beaucoup d’autres associations et Fondations. Ces dons donnent lieu à une convention de mécénat régie par des règles claires et strictes. Un mécène est un organisme qui apporte son soutien financier à une structure sans aucune contrepartie : nos mécènes n’interviennent jamais ni sur les contenus que nous produisons ni sur la forme que nous leur donnons, pas davantage que sur nos choix pratiques et éditoriaux ou sur le déroulement des évènements que nous organisons. Nous sommes libres et indépendants et comptons bien le demeurer.

                      Et par ailleurs nous ne considérons pas les entreprises de façon manichéenne. Les entreprises sont avant tout des organisations humaines traversées par des courants différents, des influences internes et externes, elles sont en mouvement, parfois paradoxaux, à l’image de l’existence humaine. Il nous parait indispensable d’associer et de dialoguer avec les entreprises qui sont des acteurs majeurs de la grande équation qu’est le défi agricole et alimentaire.



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