Séguéla et les pubards donnent du bonheur aux gens ?
« Mon métier c'est de donner du bonheur - un peu artificiel, je ne suis pas dupe - aux gens... » Jacques Séguéla
Du bonheur ? Faut pas pousser grand-mère dans les orties non plus...
Son métier, c'est de faire vendre, tout et n'importe quoi : des vêtements, jusqu'à la propagande politique de bas étage, tout passe au crible des pubards-communicants... pour le pire et rarement le meilleur.
Rarement, oui, mais parfois certaines pubs échappent aux pubards, élèvent un peu le niveau, allant même jusqu'à faire oublier leur but ultime, qui est de nous hameçonner, pour nous faire consommer, coûte que coûte, à crédit s'il le faut... Ah ! Quelle pauvre vie...
Oublions que c'est de la pub, juste quelques instants...
Un "court-métrage", The traveller, pour la société Obüs (Travel collection) basée à Melbourne.
Ecriture, réalisation et photographie par : Liam Gilmour, Peter Ryle and Tomas Friml
liamgilmour.com
peterryle.com
tomasfriml.com
Styliste : Nadja Mott
Coiffure et maquillage : Samantha Coles
Modèle : Erin Jolley w/ Giant Management
On est à mille lieues des saloperies de Séguéla...
Et pourtant c’est de la pub... qui n’a rien à voir avec le bonheur...
Hornbach and HEIMAT : The Infinite House
Tags : Publicité Etonnant
7 réactions à cet article
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Cela me rappelle une vidéo de M. Mondialisation, intitulée "publivresse", un montage remarquablement bien fait sur l’impact de la publicité.
A la fin de cette vidéo, il y a une déclaration de Séguéla aussi qui vaut son pesant de cacahuette. "La publicité, c’est le sponsor de la démocratie" - selon Séguéla !-
SEGUELA est un vieux con ...roi du lobbysme de la pub...offre aux politicards de tous bords UNE
ROLLEX...........plus jaconbin que lui....tu meurs a la rertraite...dégage...NANTI
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Les publicitaires exercent une activité puante .
De la pure intoxication .
Mais en plus ils veulent qu’on les admire et qu’on leur dise merci .
Incroyable leur culot .-
"Dans la tyrannie démocratique du spectacle marchand tout ce qui est présenté comme vrai est nécessairement faux. Une fois que vous avez compris que tout ce qui mis en scène est faux, vous avez tout compris." Francis cousin, auteur de critique de la société de l’ indistinction.
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Dans la démocratie tyrannique du marché spectaculaire, rien de ce qui est montré comme faux n’est nécessairement vrai. Une fois que vous avez compris que rien de ce qui est mis en scène n’est faux, vous avez encore tout à comprendre. Germain Frère auteur de la distinction par la critique antisociale.
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