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Accueil du site > Actualités > Economie > Espoir : L’autogestion, la liberté économique

Espoir : L’autogestion, la liberté économique

OCCUPER. RESISTER. PRODUIRE. À la suite de la crise économique argentine de 2001, trente ouvriers au chômage dans la banlieue de Buenos Aires occupent leur usine abandonnée par les patrons et refusent de la quitter. Ils demandent le droit de faire repartir les machines, de reprendre le travail.

L’autogestion, c’est possible !

L’autogestion d’une usine par ses ouvriers. La mise en coopérative de près de 200 entreprises en Argentine, de l’emploi pour 15 000 personnes avec de vrais salaires, une productivité croissante, c’est possible !

The take, c’est la prise du travail mais surtout la prise de conscience de la classe ouvrière. On pense aussi à Reprise de Hervé Le Roux, au visage de cette femme qui refuse de reprendre le travail aux usines Wonder en 1968, elle crie, elle pleure qu’elle "ne remettra plus les pieds dans cette taule !". À cette époque, la notion même de travail était remise en cause. 36 ans plus tard, une autre femme pleure dans The take, mais cette fois c’est parce que son mari a perdu son emploi et par là même "sa dignité d’homme" ! Aujourd’hui, le travail est bien la valeur suprême. À l’heure de l’altermondialisme, les années 70 et leur idéal de vie sont bel et bien enterrés.

Naomi Klein, jeune canadienne propulsée au devant de la scène militante suite au succès interplanétaire de son essai anti-libéral, No logo : la tyrannie des marques, véritable bible de l’altermondialisme, choisit cette fois-ci le cinéma pour apporter la preuve par l’image qu’une alternative au capitalisme est tout à fait réaliste. Comme ils l’expliquent très honnêtement dans leur making-of maison, Naomi Klein et Avi Lewis n’avaient pas de sujet avant de commencer leur film.

Juste une idée.

Montrer que le système libéral n’est pas une fatalité et que "le réseau peut remplacer la pyramide".

Le patronat peut disparaître au profit de l’autogestion.

Les deux réalisateurs accompagnent alors les ouvriers de La Forja, une usine de composantes automobiles, qui décident d’occuper leur usine suite à sa fermeture. Après la fuite des capitaux, des milliers d’entreprises argentines se sont retrouvés sur le carreau, abandonnées par leurs dirigeants. Certains salariés ont alors décidé de se fédérer pour relancer eux-mêmes ces entreprises, pilotées selon un principe de démocratie directe. Le film donne à voir les multiples oppositions (économiques, politiques, policières) que rencontrent les ouvriers dans un contexte politique agité puisqu’on est en 2003 , année des élections présidentielles, avec le retour en force de celui qui a ruiné le pays quelques années auparavant, Carlos Menem.

Annexe :

Sur Agoravox l’Autorégulation vs auto-organisation.

Le site officiel.

L’Auto-gestion

L’Autoorganisation

L’Autorégulation

Tags : Economie Chômage Démocratie Activisme Témoignage Précarité




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11 réactions à cet article    


  • 4 votes
    Marc Blanchard (---.---.140.58) 1er mars 2009 05:04

    Tout simplement Excellent !

    Très bon documentaire sur la manipulation de masse dont sont l’objet 95% de la population mondiale.

    La solution est là !


    • 2 votes
      Johnny (---.---.76.110) 1er mars 2009 14:02

      Juste un commentaire sur le texte accompagnant la vidéo, le libéralisme ne privilégie pas le patronat à l’autogestion, ou alors en quoi ? Si des patrons ont le soutien de l’Etat alors ce n’est de toute évidence pas un Etat libéral qui ne devrait privilégier personne. Enfin, je parle du libéralisme dans son sens originel, et je trouve dommage de détourner des mots de leur sens.


      • 1 vote
        kalki kalki 1er mars 2009 16:13

        Les mots ont plusieurs sens, et cela dépend de l’époque et de la zone géographique.

        Le sens de "libéralisme" n’a pas la meme valeur en france et dans les pays anglosaxon.

        Il est sur que le liberalisme veut toujours plus de pouvoir pour la mane financiere, et c’est de ca qu’il est question.

        Car OUI l’argent n’est qu’un moyen de concrétiser, un POUVOIR. Autrement dit, ceux qui ont l’argent on le pouvoir... et par exemple par l’intermédiaire d’entreprise qu’il placent ou il veulent de part le monde sans aucune morale ni attache avec le pays et les employées, il peuvent concrétiser, produire et fructifier dans le réél.

        Meme si, la mane financière adore toujours jouer des coup de poker en bourse, pour toujours être gagnant. On voit ce que cela donne.

        Un jeux ou "ils" sont toujours gagnant n’est pas un jeu équitable a prioris. Qui sont les perdants ?


      • 1 vote
        Johnny (---.---.76.110) 1er mars 2009 17:50

        Je ne peux qu’être d’accord avec le début de votre réponse, je trouve dommage que l’usage supplante l’origine mais soit. Pour être sûr d’être compris, je précise que j’entends libéralisme comme il est présenté par "l’école autrichienne" ou "l’Ecole de Chicago".

        Vous dites que "le liberalisme veut toujours plus de pouvoir pour la mane financiere", hors en premier lieu ce sont les libertés individuelles qui sont défendues par ce concept, la liberté économique mal appliquée est une vraie plaie, en France le libéralisme appliqué n’est pas représentatif, l’Etat soutient les "gros", en ça le libéralisme et les politiques d’extrême gauche se rejoignent, sauf que le libéralisme prône la non intervention qu’ils soient gros ou petits, ou sinon il faut intervenir de façon non sélective comme l’idée d’un revenu minimum d’existence pour tous, ce qui rejoint encore les idées d’extrême gauche.

        De la même façon que certains disent que le communisme n’a pas été appliqué en URSS, qu’il s’agissait d’un capitalisme d’Etat, le libéralisme n’est pas appliqué comme il le devrait. Le marché des dérivés en Bourse est une erreur monumentale qui a créé des produits financiers qui ne reposent sur rien et le marché à terme n’a pas mis en place les gardes fous nécessaires qui sans être une entrave à la liberté ne permettraient pas la spéculation. Il y a donc des réformes à faire et apparemment elles ne seront pas faites, les "gros" gagnent toujours, mais c’est seulement parce que les Etats les soutiennent, ce qu’ils ne pourraient pas faire dans un Etat libéral minarchiste par exemple.

        Vous dites "ceux qui ont l’argent on le pouvoir", c’est un peu le principe de la monnaie que de comptabiliser les échanges, alors soit vous voulez la disparition de la monnaie, soit le partage des bénéfices qui est fait lors d’un travail ne vous convient pas, l’autogestion sur ce point règle sûrement le problème et lorsque l’autogestion aura atteint une masse critique, le patronat ne pourra que s’aligner en termes de salaires ou de conditions de travail si les syndicats n’ont pas pu corriger la donne. Le libéralisme n’a rien à voir, les responsables d’un mauvais équilibre peuvent être trouvés dans les bureaux de l’Etat qui mettent des barrières :
         à la liberté d’association des gens, y’a t’il plus de difficultés à créer une SCOP ou autres qu’une SARL selon les pays par exemple.
         ou qui ne permettent pas aux syndicats de discuter d’égal à égal avec le patronat. Le libéralisme privilégie les pouvoirs et contre pouvoirs, des libéraux avec d’autres factions politiques ont participé à la création de la déclaration des droits de l’homme ou à la création des syndicats. Le manque de contre pouvoirs ainsi que les privilèges donnés aux "gros" ne peuvent être attribués au libéralisme, c’est ignorer la corruption des hommes politiques et la collusion qu’ils entretiennent avec les "gros". Il ne s’agit pas du même combat à mon avis.


      • 1 vote
        kalki kalki 1er mars 2009 21:48

        On est d’accord.

        Le libéralisme (comme le communisme d’ailleur) n’a pas été appliqué totalement.

        Peut etre qu’une idéologie ne peut être parfaite dans la réalité. Le passage des idées (du rêve, de l’idéologie, de l’utopie) aux réalités concrètes est surement impossible.

        Cependant d’ailleur aux USA comme en russie ( et ailleur surement) ce qu’on pose comme l’ IDEOLOGIE, peut etre contredite quand il y a question d’intéret. Non intervention ? Les usa soutiennnent financièrement leurs agricultures, leurs industries, c’est peut etre "NORMAL" si il veulent qu’elles subsistent mais ca contredit leur IDEOLOGIE (que d’autres MEMBRE des USA ont imposés aux reste du monde).

        Mais n’y t’il pas une sacro-sainte loi du libéralisme qui dit : ce qui n’est plus rentable, laissons le tomber (donc surtout ne pas laisser la situation faire de plus ample déficit, juste économique). AH oui, c’est à l’échelle d’un pays, ... donc il y un choix de politique ( de l’état pour le social, et le reseau économique)... Donc le libéralisme proné par certain est une mascarade comme une autre.

        C’est une doctrine, ou l’on peut s’arranger comme on le veut des "Lois" quand on a le pouvoir (et/ou l’argent).

        Cela revient toujours au même avec l’humanité ... Toujours la question des riches et des pauvres, des crédules , des croyants, des bergers, des moutons.

        Respect. Ne pas faire aux autres ce qu’on ne voudrait pas qu’on nous fasse. Ne pas être aveuglé et aveuglant. Organiser la vie pour que la vie de tous soit vivable. Penser l’économie pour qu’elle prenne en compte le social, la démographie, les ressources, les besoins réél ( et non instigué par les publicités), et les investissement de la société entiere pour le future (ce qu’aucune entreprise libéralement saine, ou mondialisé ne ferait sans chercher à enchainer les futures acheteurs pour assurer les bénéfices).

        Et si on regardait à l’échelle du monde ? Est ce que ce qui est impossible d’etre appliqué à l’échelle d’un pays, peut etre appliqué à plus grande échelle, par le mondialisme ?

        Oui si on le laisse pas se passer ainsi. Mais pour ca il faudrait prendre conscience que les forces à très grande échelle, ont la main mise sur nos vies, nos microcosmes.

        Et que pour lutter, ou tout juste avoir de quoi COMMUNIQUER, INTERAGIR, avec ses forces, il faut bien s’y prendre.

        Une des solutions, passe par l’individu en tout premier lieu, dans sa communauté.

        L’autogestion est une forme d’organisation alternative, et peut etre plus saine et pas forcément moin productive (si on prend que cette valeur pour juger).


      • 1 vote
        Johnny (---.---.76.110) 2 mars 2009 00:37

        On est presque d’accord sur tout alors. Les états-unis sont eux mêmes un mauvais exemple de libéralisme avec leurs interventions, nous sommes d’accord, certains Etats très libéraux par contre sont de bons exemples à ce que j’ai pu en lire comme le New Hampshire.

        Vous dites que le libéralisme a pour loi : "ce qui n’est plus rentable, laissons le tomber", et je n’ai jamais lu çà, certains vont laisser tomber, d’autres non car nous n’accordons pas la même valeur aux choses.

        La société civile n’a pas besoin de l’état pour choisir les actions même non rentables qu’elle voudrait financer, et en procédant ainsi, seuls ceux qui sont intéressés décident de financer ou non un service ou un autre. Nous sommes tous différents et chaque projet annoncé aurait ses supporters.

        J’ai beaucoup de mal à croire dans le cas de la France qu’une population qui vote pour environ 50 % à gauche ou extrême gauche ne prendrait pas part volontairement à des projets qu’elle sait non rentable si cela peut remplir un objectif social. La grande différence c’est qu’elle le fera volontairement et de la manière concertée, et non imposée à tous d’une manière décidée en haut lieu.

        La solidarité forcée accompagnée des reproches d’une partie de la société dans un sens comme dans l’autre ne mène pas à l’épanouissement.

        Je prends volontairement un exemple radical, dans une société libérale, des groupes communistes pourraient exister, les gens étant libres de s’y joindre ou non, mais dans une société communiste l’inverse n’est pas possible légalement.

        Toute doctrine a ses limites pratiques, je suis d’accord avec vous, mais ce qui importe c’est la direction dans laquelle on souhaite aller.

         Plus de coercition, de solidarité forcée, et de choix dits collectifs mais décidés par la majorité ou une élite ou autre dont la responsabilité est assumé par des gens étrangers à ces choix.
         ou plus de libertés individuelles, de solidarité choisie et sincère et des choix qui n’engagent que la responsabilité de ceux qui les ont fait ?

        Une fois ce choix fait, les règles de fonctionnement peuvent être établis, elles ne seront sans doute pas 100% communiste ou libérale (je prends ce qui me semble être les 2 extrêmes), mais elles correspondront à la façon dont les gens ont envie de vivre.

        Sur le sujet de l’autogestion je suis parfaitement d’accord avec vous, les coopératives avaient ma préférence lorsque je me sentais plus communiste et l’ont toujours maintenant que j’ai changé de "bord".


      • 1 vote
        kalki kalki 2 mars 2009 11:38

        La nuance : Le libéralisme économique a pris le dessus sur tous les autres liberalisme , dont le libéralisme politique en politique et en démocratie.

        Je n’ai rien contre le libéralisme politique, et la démocratie, je suis pour qu’on aille dans ce sens ...

        Mais pas dans celui ou l’on poursuit inconsciemment les intérets aveugles (et ne visant que le cour therme et rarerement les intéret de tous) d’une élite, d’une oligarchie INVISIBLE, NON-IDENTIFIABLE, et pourtant bien réélle, capable de tirer les ficelles de toute la société et de toute les vies...

        Comment lutter contre ces forces là ? IL N’y a pas de contre pouvoir possible... et pourtant c’est et cela à toujours était le POUVOIR SUPREME, c’est ce qui pourrait définir la "caste supérieur", elle veut une société de caste pour rester supérieur ( et avoir le pouvoir économique, politique). Elle ne vise pas les intérets de tous et sur le long terme. IL faut des pauvres pour qu’il y ait des riches.

        Du liberalisme politique ? De la fausse démocratie car représentative ? Du "partage des pouvoirs" ? Des contre pouvoir ?

        On ne devrait pas imposer son utopie aux autres. On ne devrait pas les priver de leur interets et leur revenues. On ne devrait pas les priver de leurs pouvoirs (politique économique), et de leurs vouloirs (idéologique, matérialiste, et immatériel par les propagandes).


      • 1 vote
        Johnny (---.---.76.110) 2 mars 2009 14:47

        Je suis d’accord avec vous sur "Le libéralisme économique a pris le dessus sur tous les autres liberalisme". Mais les problèmes que vous mettez en avant démontre la corruption et la collusion des politiques avec une certaine élite financière,le libéralisme quel qu’il soit ne soutient pas ce genre de pratique, et il est de son ressort d’agir dans ces cas. Maintenant la grande question est comment résoudre le problème.

        Je fais un écart sur "IL N’y a pas de contre pouvoir possible." Je ne comprend pas trop le sens, seule une révolution pourrait changer la donne selon vous ? Peut-être que c’est le cas. 1 à 2 millions de mécontents dans les rues lors de la dernière grande manifestation soit minimum plus de 2 % de la population, le nombre me semble bien plus que suffisant pour renverser n’importe quel gouvernement si la volonté était là, mais il ne s’est rien passé, Sarkozy a encore beaucoup de marge pour nous en faire voir. De plus les "puissants" sont doués pour récupérer à leur compte tout mouvement et pour en créer d’autres, un réseau de riches, de politiques et de médias qui verrouille la situation. Un plan d’action pour changer les choses ne peut attendre la parfaite synchronisation de l’ensemble de la population. Mais en effet, comment agir est vraiment une question difficile, est sa réponse doit faire intervenir le moins de facteurs possible pour réussir. Le changement, le petit détail, qui pourra avoir une grande influence sur le reste. Il reste à le trouver, je pensais la dernière fois à la possibilité de mettre 2 noms pour le second tour de l’élection présidentielle sans ordre de préférence. Les conséquences seraient visibles très rapidement, ca corrigerait avec un minimum de changement ce scrutin ridicule mais sa mise en place me laisse plutôt sceptique, autant que la prise en compte des bulletins blancs.

        Je ferme ma parenthèse. "On ne devrait pas imposer son utopie aux autres. On ne devrait pas les priver de leur interets et leur revenues. " On est d’accord, et personnellement je préfère un système qui me laisse vivre de la façon que je veux plutôt qu’un système qui me force à vivre comme l’Etat le souhaite. Etre libéral, c’est vouloir avoir le choix, de fait on peut être libéral et préférer vivre dans une communauté forte et solidaire. Pourquoi ne pas être communiste ? Parce que j’ai compris que c’était peine perdue que de vouloir imposer un choix de vie à tous, la seule alternative est laisser les gens libres de choisir.

        Qu’un Etat supprime le minimum vital parce qu’on ne trouve pas de travail ou qu’on souhaite vivre à l’écart de la société marchande et ne pas travailler dans le sens étatique du terme, c’est inacceptable. Qu’un Etat ne pose pas de règles en Justice laissant parfois plus de chances aux plus riches, c’est inacceptable. Qu’un Etat privilégie des intérêts privés qu’ils soient riches ou pauvres et dans les faits plus souvent riches, c’est inacceptable. Qu’un Etat rende obligatoire l’affichage des ingrédients contenus dans un produit (et c’est la moindre des choses qu’on sache ce qu’on achète, c’est une question de santé publique et je suis pour que l’Etat institue ce genre de règles, ce n’est pas une entrave à la liberté si ce n’est celle de tromper le consommateur) et qui ne rende pas obligatoire la mention que ces ingrédients pourraient être des OGM, c’est inacceptable.

        Un Etat puissant attire toujours les convoitises de ceux qui s’en sortent le mieux afin de protéger leurs intérêts, le pouvoir et l’argent corrompent, il n’y a pas moyen de garantir la pérennité du système "Etat puissant".

        Mais on dérive de plus en plus, c’est ma faute, je ne suis devenu libéral (libertarien pour préciser ma pensée) que récemment et l’envie de confronter mes nouvelles idées aux vôtres qui sont celles que j’aurais eues avant me fait écrire de vrais pâtés, mais je serais ravi de continuer.

        Mon intervention initiale était pour montrer que le libéralisme ne s’opposait en rien à l’autogestion, c’est même le contraire, le libéralisme est l’autogestion appliquée à d’autres domaines que le travail. Et qu’on ne peut voir les défauts d’un système qu’une fois avoir pris en compte la corruption qui le mine, ce qui ne veut pas dire que je soutiens le système actuel, bien au contraire, mais apparemment un contraire qui est contraire au vôtre ;)


      • 1 vote
        kalki kalki 2 mars 2009 18:31

        Le libéralisme qu’il soit politique ou économique est une forme d’anarchisme. (plus souvent de droite)

        Avec des avantages, le côté libertaire. Et ses inconvenients : la volonté de non existence de tout ce qui est sociétale.

        Dans l’absolue c’est a mettre en corrélation avec l’individualisme.

        Mais on remarque toujours une corruption par les hommes oui ... Et une déliquescence des fondements des sociétés avec le temps.

        Tout ce qui fait souvent une société, et qui fait qu’elle est d’abord acceptée par le peuple est soit trompeur soit fissuré et s’émiette avec le temps.

        Le liberalisme peut il faire naitre des pays totalitaire ? on dirait que oui.

        IL y a un dicton, trop beau pour etre vrai, je rajoute aussi, trop bon trop con. Une utopie libertaire, presque anarchiste soit disant parfaite ? (Ne disons pas démocratique, aucun "penseur" et "faiseur" des lumière n’a voulut la démocratie rééllement) Et qui ne prend pas les classes inférieurs (cad tout le monde) pour des sortes d’esclave qu’il faut utiliser... et ca ne se transformerait pas en quelque chose de pire ?

        Et cette envie de remettre à plat les fondements : De vouloir réformer au lieu d’aller vers le mieu, je ne sais pas si c’est la nature humaine ou si c’est d’ordre de psychopolitque (surement un peu des deux).

        En tout cas cette société n’est pas durable pour les divergences d’interet non-immédiat,et même si l’on peut y survivre sous une forme ou une autre, elle aura raison de nous.

        Le simple libéralisme politique tel qu’imaginé est insuffisant, il faut aller plus loin.

        Ma proposition c’est que chaque individus acceptant les règles de base de la société , la constitution ( qui ne saurait etre figé pour une génération) devienne citoyen. Et ce sont ces citoyens qui pourront décider à l’échelle de leur vie (et si ils le veulent, l’éducation pouvant y aider).

        Presque aucun autre niveau dans la société serait nécessaire. Le tissage sous formes de réseaux suffisant à rassembler les compétences (et c’est déja le cas mais de l’élite à l’élite, donc ca manque de transparence). Une armée. La justice. Les hopitaux. L’éducation.

        Que demande le peuple ? Etre libre.

        La politique , le législatif, l’exécutif au peuple.


      • vote
        Brettus (---.---.148.28) 2 avril 2009 14:23

        Question : comment contacter l’auteur de ce film ? Urgent, merci. Brettus



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