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Accueil du site > Actualités > Economie > Milton Friedman - Free to choose vostf

Milton Friedman - Free to choose vostf

Free to Choose ou La liberté du choix est à fois une série de dix émissions télévisées et un livre publié par Milton Friedman et sa femme Rose en 1980.

 

Dans ce documentaire pédagogique, Friedman critique l’interventionnisme du gouvernement dans l’économie américaine, et défend un ambitieux programme de libéralisation, concrètement, secteur par secteur : éducation, travail, santé, monnaie.

 

La version française du livre est disponible sur le site internet de l’Institut Coppet : http://www.institutcoppet.org/wp-content/uploads/2011/02/La-libert%C3%A9-du-c...

Tags : Economie




Réagissez à l'article

37 réactions à cet article    


  • 13 votes
    franck2012* 17 février 2012 18:43

    Depuis 1980, il a largement eu le temps de démontrer la validité de sa théorie :
    .

    L’occident est ruiné *
    .

    ..........  smiley ...........
    .

    ..MERCI MILTON


    • 4 votes
      Tread01 18 février 2012 13:29

      Milton Friedman n’a jamais dit à nos Etats de s’endetter sans mesure ! 


      .......... :) .........

      MERCI KEYNES

    • 14 votes
      Pyrathome Pyrathome 17 février 2012 19:02

      Même les asticots refusent de bouffer cette ordure.......


      • 4 votes
        franck2012* 17 février 2012 22:07

        .... je n’y avais pas pensé, mais maintenant que vous me le dites !!  smiley  smiley


      • 2 votes
        Talion 18 février 2012 02:35

         smiley  smiley  smiley 


      • 6 votes
        edwig 17 février 2012 22:20

        Nous voyons tous aujourd’hui à quel point les privatisations ont été un mieux à chaque fois !
        Chaque entreprise d’état privatisée à créer un monstre de monopole qui soit s’entend sur les prix avec ses concurrents, soit les rachètent...Dans tous les cas, les prix explosent et la qualité s’effondre...


        • 3 votes
          Tread01 18 février 2012 13:27

          Imagine si Renault était encore nationalisé ....
          Free est une entreprise publique ? 

          La SNCF tu trouves ça efficace ? 
          L’éducation nationale ne devient elle pas de plus en plus catastrophique ?

          Ensuite il y a une différence énorme entre privatiser et libéraliser. Milton Friedman l’a fait : promouvoir un marché libre et transférer un monople public à son copain pour qu’il obtienne le statut de monopole privé sont deux choses différentes. 
          Dans le rôle de la téléphonie mobile tu ne penses pas que L’autorité de régulation des télécoms ne joue pas un rôle en décidant qui rentre sur le marché ou pas ? tu trouveras que ce genre de contrôle publique se cache derrière les marchés peu concurrentiels. 

          Économiquement, et regarde simplement l’histoire, les seuls monopoles qui ont duré dans le temps sont les monopoles publics, un monopole privé ne dure pas, c’est la supériorité même du capitalisme. Et plus une entreprise grossit, plus ses coûts de gestion et d’administration augmentent, ce que tu dis n’a aucun fondement.

          Si tu penses que la qualité des voitures baissent, ou encore dans le secteur de la boulangerie, du hi-tech, du textile, c’est ton point de vue. Pas le mien.

          N’oublie simplement pas que le capitalisme n’a jamais promis la concurrence pure et parfaite.
           

        • 1 vote
          rastapopulo rastapopulo 17 février 2012 23:26

          Nos 30 glorieuses ? Bismarck ? Les pionniers du Massachusetts ? La Chine actuelle ? La Russie actuelle ?

          L’économie mix est supérieur en tout point, notamment dans la contradiction des idéologues libéraux et communistes.


          • 3 votes
            Tread01 18 février 2012 13:36

            La plupart des économistes (même Daniel Cohen, c’est pour dire !) sont d’accord pour dire que c’est les 30 glorieuses qui a permit l’Etat providence, et non l’inverse. 


            La chine se développe simplement par imitation de nos avancées, sans nous elle ne connaîtrait jamais cette croissance. Seulement, l’économie mixte ne te permettra pas de d’aller au delà de cette frontière technologique. Le marché lui seul permet à l’économie de croître, de se développer, de montrer la direction à suivre, ce qu’une économie mixte ne peut faire. La connaissance est dispersée entre tous les individus dans la société, et le marché permet la diffusion de ce savoir là où on en a besoin, ce que l’Etat ne peut qu’enfreindre, ou déformer. Même pendant les 30 glorieuses, nous n’avons fait qu’imiter. Ce n’est pas de l’idéologie, c’est du bon sens.

          • vote
            papone papone 20 février 2012 00:06
            Ça n’a aucun sens de dire que les trente glorieuses ont permis l’Etat providence et non l’inverse. Les deux allaient de paire. Vous voulez privatiser l’éducation, la santé, les retraites, la police, l’armée... ça s’arrête où votre délire ? 

            "Le marché pour montrer la direction à suivre", tu veux dire pour la prochaine nano seconde ?
            En fait le marché que tu décris c’est un peu Dieu. Plus besoin de citoyens, de réflexion, de politique... y a-t-il des rituels, des sacrifices à effectuer ?

          • 2 votes
            Tread01 20 février 2012 11:42

            Les taux de croissance énormes engendrées par la remobilisation des facteurs de production dans l’après guerre, de l’épargne nationale et les subventions américaines, ont permis de financer un Etat imposant. D’où cette période "exceptionnelle".


            Pas nécessairement la police et l’armée, le courant libéral regroupe de nombreuses sensibilités, Certains accordent à l’Etat ses fonctions régalienne : police, armée et justice. 
            Mais sinon santé, retraite, éducation oui.

            "En fait le marché que tu décris c’est un peu Dieu. Plus besoin de citoyens, de réflexion, de politique... "

            Le marché c’est simplement nous, nous en tant que consommateurs c’est à dire que nous sommes les plus à même que n’importe qui connaitre qui est bon pour nous. Le marché c’est nous en tant qu’entrepreneurs car nous sommes mieux à même d’offrir aux gens ce qu’ils demandent dans le but de faire un maximum de bénéfice (monétaire ou non). 
            L’idée que nous défendons est simplement que les hommes de l’Etat ne peuvent avoir l’information nécessaire pour répondre aux besoins des citoyens, qu’une dépens publique est une dépense privée de moins, et que les hommes de l’Etat sont mauvais gestionnaires (étant donné la rareté des ressources les gaspillages sont à éviter). 

          • 2 votes
            papone papone 20 février 2012 14:30

            On avait au lendemain de la guerre les moyens de financer l’assurance maladie et les retraites, comment ne les auraient-on plus aujourd’hui ?


            Vous êtes pour la privatisation de l’éducation de la santé et des retraites. Mais quel est l’intérêt ? Créer une éducation encore plus inégalitaire, faire des bénéfices sur les assurances, créer des caisses de retraites qui vont chercher à faire des petits sur les marchés spéculatifs et qui vont alimenter la terreur de l’inflation ? Où est-ce que ça marche ? Quel est le progrès ?
            Pour l’armée et la police vous n’êtes pas certains ! Mais vous êtes des malades !
            Le monde que vous défendez c’est un cauchemar : des quartiers pour les riches qui ont accès aux soins et à l’éducation, protégés par des murs et des milices privées tandis qu’à l’extérieur c’est la loi de la jungle.
            C’est la fin du contrat social, c’est l’état de guerre de tous contre tous !

            Il ne s’agit pas de remettre en question la libre entreprise ni le fait que la loi de l’offre et de la demande fixe les prix dans la plupart des cas.
            Mais par quel miracle la somme des avidités personnelles créerait-t-elle un monde meilleur ? Comment du vice pourrait sortir la vertu ?
            A part une croyance mystique dans les bienfaits du "dieu marché", la seule raison d’abandonner l’ensemble de la sphère publique aux lois du marchés, c’est pour certains de mettre la main sur des institutions très rentables.
            Si vous êtes sincères dans votre croyance dans les capacités du marché, sachez que ceux
            qui ont fait la promotion de Friedman et de ses idées le sont beaucoup moins. Friedman leur fournit simplement l’argumentaire à prétention scientifique qui leur permet d’accroître leur pouvoir et leur richesse.

            Le marché est dominé par des requins, il est souvent irrationnel, toujours court-termiste. Seul une émanation de la collectivité, représentant l’intérêt général, peut par exemple gérer un enjeux comme le choc énergétique à venir. Cette émanation, très imparfaite, très critiquable, pour le moment c’est l’Etat. Le supprimer c’est retourner à la barbarie !
            Qu’ont inventé les premières civilisations comme la Chine ou Sumer si ce n’est l’Etat ?

            S’il faut investir massivement dans la recherche de nouvelles voies pour l’instant non rentables afin d’anticiper des grandes transformations à venir, croyez vous que le marché va s’en charger ? Non, il jouera la catastrophe et l’effondrement pour gratter un peu, c’est plus rentable.

            Vous dites "le marché c’est nous". Ok, mais nous ne sommes pas le marché. Il n’y a pas réciprocité car nous sommes bien plus que le marché. L’Humanité est bien plus que la somme d’individus maximisateurs de profits des modèles économiques. 
            Vouloir appliquer ces modèles à la réalité c’est imposer un carcan insupportable aux hommes.
            D’ailleurs nulle part ils ne l’acceptent et il faut user de ruse ou de violence pour y parvenir.

          • vote
            rastapopulo rastapopulo 20 février 2012 19:33

            ¨Les idéologies rendent fou. Les 30 glorieuses étaient de la copie ????? Dingue comme la réalité doit se plier à sa petite école. Comme les gauchistes dans l’autre sens ! Tout ça parce trouver de la nuance serait reconnaitre ne pas avoir raison sur toute la ligne... Alors vos leçons de dogmatisme, vous les oubliez avec moi. Les 30 glorieuses vous donnent tord. Dédier du crédit publique au productif via l’infrastructure ou des unions industrielles de coopération (avec lois anti-finance folle en prime) n’est jamais un mauvais investissement et la base de notre richesse actuelle.
             
            Que des syndicats , comme en Wallonie, aient mit la priorité sur l’emploie et non sur le productif à cette époque ne permet pas de dénigrer les bases saines des 30 glorieuses qui permettent aujourd’hui à vos abstractions d’exister à crédit. Donnez moi un seul pays qui correspond à vos dires d’idéologues.


          • 2 votes
            Tread01 21 février 2012 11:38

            @papone : la part des dépenses sociales n’a cessé de coître dans le PIB. La sécurité sociale, tu le vois comme moi, nous amène à toujours dépenser plus pour de moins en moins. Mon objectif n’est pas que l’on vivre tous dans l’inégalité, la misère et la loi du plus fort, simplement que la concurrence et la faillite soient les mécanismes qui régulent les services de santé, retraite, éducation etc. La protection sociale n’a pas été crée ex-nihilo après la 2ème GM : elle existait avant, et elle fonctionnait bien, et elle était à l’initiative du privée. Si tu as le temps : 
            http://www.euro92.com/acrob/marques%20mutuelles.pdf 

            Pas besoin de liberté économique pour avoir de la ségrégation : Inde, Brésil, banlieues parisiennes, Afrique etc. 


            "Le marché est dominé par des requins, il est souvent irrationnel, toujours court-termiste."

            Requin oui, irrationnel absolument pas. Ensuite quel est l’horizon temporel d’un homme d’Etat ? 5ans, la prochaine élection. (D’où les fameux "cycles électoraux"). Nous ne sommes pas court-termistes pris dans notre majorité. 
            L’Etat, en pratiquant la contrainte n’est il pas une forme de barbarie ? On peut lire l’histoire comme l’aspiration des hommes civilisés à limiter toujours plus le despotisme, l’Etat. Si tu avais vu la vidéo en entier, tu verrais que Friedman ne veut pas le supprimer et qu’il joue un rôle très important !

            " la somme d’individus maximisateurs de profits des modèles économiques. 
            Vouloir appliquer ces modèles à la réalité c’est imposer un carcan insupportable aux hommes."

            Appartenant au courant de l’école autrichienne, les modèles dont vous parlez, nous les rejetons. Nous n’avons jamais postulé de telles hypothèses smiley

            @Rastapopulo : les trente glorieuses ont été une période de remobilisation des facteurs de production, d’où la croissance exceptionnelle. C’est exactement comme la Chine : plus on part de bas pour rattraper le niveau des plus riches, plus le taux de croissance sera grand. L’Etat n’était pas une nécessité. 
            " des unions industrielles de coopération" : financement de gros mastodontes incapables de s’adapter ?
            Dites moi, qu’est ce qui détermine, pour l’Etat, l’investissement productif ? C’est là la grande limite de vos vues, du décalage entre les planificateurs et l’économie réelle.

            Hélas, les territoires où les Etats sont prêts à rendre leur peuple libre sont bien rares. Tout dépend du degré de liberté que l’on retient. 

          • 8 votes
            iakin 18 février 2012 01:03

            Il faudra qu’il nous explique comment on peut privatiser les routes et l’éclairage public par exemple...
             
            Est-ce qu’on doit mettre des péages à chaque coin de rue que se seront acheté les multinationales ou est-ce qu’il y aurait des forfaits selon nos trajets journaliers avec des supplément pour les soirs et les week end ?
            Est-ce qu’il faudra faire des lampadaires qui marchent à pièces comme les cabines téléphoniques ou bien inventer une carte de paiement bluetooth ?
             
            J’ai réfléchi au problème et n’ai pas trouvé de solution...


            • 2 votes
              Thorms 18 février 2012 14:19

              Coopérative ?


            • 2 votes
              Edouardh17 Edouardh17 18 février 2012 14:25

              "Laissez faire la liberté, et la liberté fera"

              On ne peut savoir à l’avance quelle solution sera utilisée. Bien sûr qu’il n’y aura pas un péage tous les 20m, les gens n’utiliseraient pas ces voies, leurs propriétaires ne gagneraient pas d’argent.

              Mais on peut imaginer qu’avec les technologies actuelles un système de boitiers électroniques qui encaissent automatiquement soient mis en place.


            • 5 votes
              rototo 18 février 2012 01:41

              pas d’intérvention de l’état= démoralisation du marché avide d’argent.

              c’est comme faire confiance a un kléptomane récidiviste


              • 3 votes
                Edouardh17 Edouardh17 18 février 2012 14:27

                C’est qui "le marché" ? C’est une entité qui vit au dessus de nos têtes, qui flotte, qui a sa volonté propre ?

                Non, le marché c’est la rencontre d’une offre et d’une demande. C’est la signature de contrats volontaires et pacifiques. C’est toi, c’est moi, c’est nous, c’est tout le monde dès lors que échangeons avec les autres pacifiquement.


              • 2 votes
                Tread01 18 février 2012 17:59

                En quoi Nicolas Sarkozy, François Hollande, et ces centaines d’autres individus qui possèdent entre leurs mains la moitié de la richesse nationale, qui peuvent contraindre le peuple par la loi, en quoi ces individus, qui sont comme nous tous, (nous = participants au marché) ont la capacité de "purifier", "bénir" nos échanges pour qu’ils deviennent moraux ? Pour que, quand nous échangeons nous ne le faisons plus de manière "excessive" (ou "avide comme tu préfères) pour de la monnaie ? Ton commentaire n’a aucun sens.

                Les plus grands kleptomanes récidivistes ne sont pas ceux que l’on croit, qui peut prendre des richesses contre la volonté de leurs propriétaires légitimes ? l’État.


              • 6 votes
                Supafaya 18 février 2012 06:43

                Les Chiliens te remercient Milton, ils viendront surement sur ta tombe pine hocher  !


                • 2 votes
                  Edouardh17 Edouardh17 18 février 2012 14:30

                  Hééééé allez, ça faisait longtemps qu’on avait pas eu l’exemple de Pinochet. On l’attendait, on l’a eu.

                  Oui, Pinochet a libéralisé le pays, et sur le plan économique ça l’a sauvé. Il fallait voir la situation d’avant, c’était catastrophique. Et après ça, le Chili est devenu un des pays les plus prospères d’Amérique du Sud.

                  Mais concernant le plan politique c’était tout sauf du libéralisme. LE libéralisme refuse l’arbitraire étatique, promeut sans relâche les libertés civiles tout comme il promeut les libertés économiques, la liberté étant un tout. Les exactions politiques de Pinochet étaient la négation du libéralisme.


                • vote
                  papone papone 19 février 2012 23:45

                  Pinochet a sauvé le Chili c’est bien connu. Ce serait drôle si c’était pas triste.

                  Les chicagos boys ne l’ont pas laissé tomber il me semble. Il faut croire que la répression politique ne leur posait pas tant de problèmes.
                  Sans doute un mal nécessaire pour imposer les réformes qui allaient permettre l’épanouissement général. Bon l’épanouissement n’est pas venu... certainement par manque de libéralisation de l’économie...



                • 3 votes
                  lsga lsga 18 février 2012 12:52

                  Bonjour, je suis Troy Mac Kenzie, spécialiste en thèses néo-libérales de derrière les fagots.

                   
                  Vous m’avez sûrement déjà vu dans ’Comment anéantir l’économie d’Argentine’, ’Les Dictatures Fascistes : Sources des libertés libérales’ ou encore ’Comment transférer tout l’appareil industriel des USA vers la Chine’...


                  • 4 votes
                    Edouardh17 Edouardh17 18 février 2012 14:31

                    J’attends toujours qu’on me définisse ce qu’est un "néo-libéral". Qu’on me donne quelqu’un qui s’en revendique.


                  • 1 vote
                    rototo 18 février 2012 19:27

                    c’est toujours les memes a qui il faut toujours répeter la meme chose(faisant semblant de ne pas comprendre ) alors que l’évidence meme nous entoure en ce moment même. mais regardez ce qui se passe , ca vous suffit pas comme exemple ?
                     
                    oh oui parlez moi de la crise, les subprimes et co on sait tous que c’est justement a cause de la non régulation de l’état que cette crise a pu avoir lieu. c’est la liberté de piller , mentir, etc qui domine, ne vous en déplaise . le mot liberté n’a rien a faire la dedans par ailleurs, on doit parler de régulation ou de non régulation pour pas que ces spéculateurs empiète sur l’économie réelle et productive et c’est ce qui s’est passé.

                    bienvenue dans la réalité.


                    • 1 vote
                      Tread01 19 février 2012 15:33

                      je regarde autour de moi et ça me suffit. 


                      "on sait tous que c’est justement a cause de la non régulation de l’état que cette crise a pu avoir lieu "

                      L’Etat a juste court-circuité la régulation du marché qu’est la faillite, d’où l’aléa moral. Les marchés savent se réguler, si vous comptez sur les hommes politiques pour réguler nos interactions je vous concède être tenté de mettre un "LOL".

                      "c’est la liberté de piller , mentir, etc qui domine, ne vous en déplaise "

                      En effet, la liberté du gouvernement de piller les richesses crées par les individus, de mentir au monde en trompant ses comptes publiques pour rentrer dans la zone euro et s’endetter toujours plus. 

                      Et les spéculateurs responsables de tous les maux de notre société "LOL" encore. Juifs, immigrés, financiers, il est souvent plus commode de transférer la responsabilité vers quelqu’un d’autre, plutôt que d’ouvrir les yeux et regarder ce qui se passe, pour enfin admettre que l’Etat n’est pas un ange envoyé par Dieu. Vous être libre de croire ce que vous voulez, profitez en, c’est une dernière liberté qu’il vous reste.

                    • vote
                      papone papone 20 février 2012 00:15

                      "L’Etat a juste court-circuité la régulation du marché qu’est la faillite, d’où l’aléa moral".

                      Ah d’accord donc vous étiez favorables à ce qu’on laisse les banques faire faillite en 2007-2008 !

                      Il ne m’avait pas semblé que c’était la position des économistes friedmaniens mais si vous avez ce jusqu’au boutisme là, alors il me faudra concéder qu’à défaut d’être réalistes vous avez une certaine honnêteté intellectuelle.

                    • 1 vote
                      Tread01 20 février 2012 11:51

                      Personnellement oui, j’étais contre les plans de sauvetage, et cette opinion semble être partagée par beaucoup de libéraux.


                      Bien que Friedman ait beaucoup lutté en faveur de la liberté individuelle, son monétarisme est loin de trouver échos chez les libéraux, et notamment ceux du courant autrichien (dont l’institut Coppet en est un relais). 
                      En sauvant les banques, on leurs a à nouveau montré que la banque centrale était là, dernière eux, pour réparer leurs bêtises. Et on va ainsi retourner dans un nouveau cycle de boom économique avec tout l’argent injecter par les banques centrales, les banques vont se calmer un temps pour ensuite reprendre un comportement irresponsable. La banque centrale ne pouvant politiquement prendre la charge d’une faillite en chaîne du système bancaire, elle crée cette aléa moral. Alors que la faillite est la plus saine des régulations, qui rendrait à nos banquiers un comportement plus responsable.

                    • vote
                      papone papone 20 février 2012 14:52

                      Dans ce cas vous avez le mérite d’être cohérents.


                      Mais alors pourquoi ne pas focaliser vos attaques sur ce sujet ? Pourquoi s’en prendre aux plus faibles à travers les services publics plutôt qu’au secteur financier ?
                      Lorsque les taux d’intérêts des banques centrales sont maintenus artificiellement bas pendant des décennies, alimentant des bulles gigantesques dont l’éclatement menace l’équilibre du monde, les lois du marché sont totalement bafouées.
                      Et les dégâts sont infiniment supérieurs à ceux engendrés par une mauvaise gestion des budgets publics.

                      Votre discours devrait logiquement porter sur les distorsions dues à ce fonctionnement partisan des banques centrales. Voila le plus grand ennemi des lois de l’offre et de la demande et de la responsabilité !
                      Au lieu de ça vous plaidez pour la privatisation des services publics souhaitée par ceux là même qui se torchent avec les lois du marché quand ça les arrange.

                      C’est cette malhonnêteté des économistes libéraux actuels qui m’insupporte. Ils se revendiquent d’une science mais trouvent toujours des excuses pour en bafouer les théorèmes fondamentaux en faveur des puissants (qui sont bien souvent leurs employeurs).

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                      Tread01 21 février 2012 11:39

                      Les économistes sont bien souvent les employés des Etats smiley


                    • 1 vote
                      zeitgest zeitgest 18 février 2012 20:08

                      Hey Coppé(t), quand vous vous retrouverez dans la même merde noire que les grecs, remettez-nous cette vidéo pour voir !



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                        Tread01 19 février 2012 15:21

                        L’institut Coppet est il responsable de diffuser des idées ayant dans de le sens de l’endettement massif de la Grèce ? de la fraude comptable des autorités publiques grecques ?


                        De même, quand nous serons dans cette situation de "merde noire", je pense que l’institut Coppet pourra remettre cette vidéo avec comme petit message : "on n’a pas arrêté de vous prévenir, mais personne ne nous écoute...." Et même à ce moment vous ne voudrez même pas admettre que vous avez torts... You are so french !

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                        papone papone 20 février 2012 00:29

                        Que pense l’institut coppet des CDS et de la spéculation sur la dette des Etats ?

                        Que pense-t-il du financement des Etats directement par leurs banques centrales ?

                        Dans quelques années vous direz quoi ? "On vous avait bien dit qu’il fallait plus d’austérité, plus de coupes dans les dépenses publiques..." bref vous direz la même chose, encore et toujours, parce que vous avez trouvé une idole et que vous vous dispensez d’aller chercher plus loin.

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                        zeitgest zeitgest 20 février 2012 07:43

                        @ Tread00
                        allez vous faire voir chez les grecs, ils attendent un messie !


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                        Tread01 20 février 2012 12:17

                        @Zeitgest :  http://i.qkme.me/35bp94.jpg

                        @Papone : Sans les spéculateurs la Grèce aurait continuer de s’endetter à des taux bas, l’inévitable ne serait arrivé que plus tard, et avec une facture plus élevée. La grèce s’endettait trop, les spéculateurs ont vu que cela ne pourrait continuer longtemps. Malgré ce que vous pouvez penser, sans eux, la situation grecque aurait finis bien plus mal.


                        Que l’Etat s’endette auprès d’une banque nationale n’est pas la solution, au contraire, les hommes de l’Etat ne seront que plus incités à s’endetter plus. Et si les comptes publics étaient équilibrés, il n’y aurait jamais besoin de rigueur, la rigueur ne nous fait plaisir non plus, nous la subissons aussi. 

                        Lorsque l’on s’endette, il faut bien finir par rembourser nos créanciers, c’est valable pour moi, pour vous, pour l’Etat. Le problème qui se pose ici c’est que les poches publiques sont aussi les nôtres. Du coup, quand l’Etat s’endette et qu’il faut rembourser, c’est toujours le peuple qui le fait. Je ne comprendrais sans doute jamais votre vision angélique de l’Etat. 


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