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Éric Guéguen

Éric Guéguen

Le monde actuel en 20 penseurs :
 
Platon - Aristote - Lucrèce - Farabi - La Boétie - Montaigne - Spinoza - Rousseau - Hegel - Tocqueville - Nietzsche - Ortega y Gasset - Polanyi - Strauss - Arendt - Vœgelin - Villey - Dumont - MacIntyre - Lasch
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« Le citoyen typique, dès qu’il se mêle de politique, régresse à un niveau inférieur de rendement mental. Il discute et analyse les faits avec une naïveté qu’il qualifierait sans hésiter de puérile si une dialectique analogue lui était opposée dans la sphère de ses intérêts réels. Il redevient un primitif. Sa pensée devient associative et affective. »
(Joseph Schumpeter, Capitalisme, socialisme et démocratie, Quatrième partie, XXI, 3 (p.346)).
 
Contact : [email protected]
Le Miroir des Peuples, éditions Perspectives Libres, 2015

Tableau de bord

  • Premier article le 05/12/2012
  • Modérateur depuis le 28/02/2013
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Derniers commentaires




  • 4 votes
    Éric Guéguen Éric Guéguen 22 mai 2013 11:50

    Erratum : ... "certaines causes S’HONORENT ou S’ACCOMPLISSENT sans calcul" aurait été mieux indiqué.
    J’ai ce souci de la rigueur, de la perfection du propos, souci lui aussi "d’un autre ââââge"...



  • 9 votes
    Éric Guéguen Éric Guéguen 22 mai 2013 11:45

    Ben oui, franchement, être attaché à des valeurs d’un autre âge, quelle faute de goût !
    Mieux vaut s’inquiéter de la mamographie d’Angelina Jolie, avec ça au moins, on passe à la télé !
    Certaines causes se font sans calcul, ça ça vous passe loin au-dessus du cigare semble-t-il...



  • 6 votes
    Éric Guéguen Éric Guéguen 22 mai 2013 10:36

    TF1 et France 2 n’en ont pas parlé hier soir, pas plus que Le Monde ce matin. Pas de polémique, pas de polémique...



  • vote
    Éric Guéguen Éric Guéguen 22 mai 2013 10:09

    @ davideduardo :
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    Je réponds ici à l’ensemble de vos interventions...
    Il me semble que vous analysez les choses par un biais contemporain, et vous passez donc à côté de l’essentiel, si je puis me permettre. Vous raisonnez en individualiste démocrate convaincu, et il n’est pas certain que le schéma de pensée du Grec du Ve siècle corresponde à cela, tout "démocrate" qu’il ait pu être au moment de la condamnation de Socrate.
    De fait, votre exemple est très bien trouvé, mais je vais vous dire en quoi il renforce ce que j’ai dit plus haut.
    ----
    La démocratie a condamné Socrate qui ne reste pas dans l’histoire pour avoir été l’un de ses chantres. En revanche, Socrate reste l’incarnation de l’éthique, qu’il a d’ailleurs "fondée", si je puis dire. Et les Socrate sont rares, très rares ; lui-même le savait et c’est la raison pour laquelle il a accepté sa condamnation à mort sans broncher, "stoïquement". Il s’est sacrifié pour ne pas provoquer la stasis, mal absolu, dans la cité. C’est la morale nivelante qui a condamné l’éthique par un impératif d’uniformité et de conformisme. Socrate était une tête qui dépassait, comme Protagoras ou Anaxagore à la même époque (environ).
    ---
    Pour ma part - et j’aurais bien du mal à vous prouver scientifiquement que j’ai raison sur ce point - je crois en la vertu de l’homme générique, je crois qu’il est possible de se conformer au bien sans devoir se référer à ce que ferait une majorité d’individus dans le même cas. C’est alors un échange entre soi et la droite raison, l’orthos logos, que l’on décide ou non de respecter. Je pense que Socrate était de ceux-là, lui qui reste un modèle de sagesse, c’est-à-dire un esprit aristocratique sans pour autant tomber dans les travers du dogmatisme.
    Tout en étant désabusé (au premier sens du terme, attention) quant à l’esprit grégaire de notre espèce, je demeure donc résolument confiant dans l’être générique, l’être humain édifiant dont Socrate demeure, à mes yeux, le meilleur exemple.
    Un philosophe, un vrai, est un être qui vit la philosophie, qui ne s’en tient pas à des paroles, qui met celles-ci en conformité avec des actes. Socrate était de ce genre d’êtres, et j’ai rarement entendu quelqu’un dire le contraire. Seulement des Socrate, l’humanité en produit bien peu, et ça, notre époque doit l’assumer, ça lui permettra de comprendre pourquoi, en l’état actuel des choses, elle s’aliène l’éthique et se condamne aux cours de morale à l’école...
    Notre époque n’a aucune chance de donner la parole à des Socrate, aucune. Les Socrate sont inaudibles à notre époque. Et je vous garantis bien qu’en l’espèce, je n’idéalise rien.
    Nous, on a BHL et Onfray. smiley



  • vote
    Éric Guéguen Éric Guéguen 22 mai 2013 09:45

    Je réponds plus bas...

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