• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV Mobile

Henrique Diaz

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 0 15 0
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0


Derniers commentaires




  • vote
    Henrique Diaz 27 mai 2012 12:40

    J’aimerais bien savoir tout de même combien de degré il fait dans cette maison y compris les chambres en hiver et quel est le taux d’humidité.



  • 3 votes
    Henrique Diaz 16 mai 2012 15:02

    Au contraire, c’est bien avec le gouvernement Reagan et la libéralisation de l’éducation qu’on a pu assister à un recul de la conscience politique des populations par rapport aux années 60, à une acceptation de plus en plus passive de la désinformation et de la fabrication du consentement, à l’apathie intellectuelle dans tous les domaines.

    On commence par instaurer l’enfant roi dans les années 60 qui en n’ayant plus à s’adapter à un monde complexe n’apprend plus à se gouverner lui-même, de sorte qu’entre les satisfactions immédiates et faciles et les satisfactions difficiles, il n’y a plus de place pour les plus difficiles, c’est-à-dire pour ce qui est seul de nature à rendre possible le progrès humain, le passage de l’état de servitude à celui de la liberté, ce qui au final arrange bien le capitalisme qui a besoin de consommateurs passifs plutôt que de citoyens critiques.

    L’école dans les années 80 s’est adaptée à ce processus : l’élève n’y vient plus pour apprendre à se dépasser lui-même, ce qui supposait qu’il accepte de reconnaître son ignorance, mais pour qu’on s’adapte à ses compétences intellectuelles en le caressant dans le sens du poil. Résultat : les élèves sont de plus en plus souvent incapables de s’élever à tout ce qui peut être un peu plus grand que leurs petites satisfactions immédiates et personnelles.

    La classe possédante mondialisée qui elle n’a pas oublié que savoir, c’est pouvoir n’a pas suivi ce mouvement mondial de libéralisation de l’éducation en maintenant une éducation "sévère mais juste" pour sa progéniture.



  • 1 vote
    Henrique Diaz 17 avril 2012 09:48

    Ma réponse à ce slogan : abstention, piège à cons !



  • 1 vote
    Henrique Diaz 19 mars 2012 02:54

    Très bonne analyse de Samagora, J’ajouterai que la voiture balais de Hollande, qui pour l’essentiel partage la même orientation politique que Sarkozy, le néo-libéralisme, c’est évidemment Marine Le Pen qui sert de repoussoir pour justifier le vote utile des classes moyennes. Hollande ne suscite guère un vote d’adhésion, que ce soit par son charisme personnel ou par la teneur de ses propositions pour permettre aux français de voir le bout du tunnel.

    La seule raison de son score actuel dans les sondages, c’est l’envie de se débarrasser de Sarkozy et la peur du FN. L’envie de se débarrasser de Sarkozy ne suffit pas à expliquer qu’il soit en tête au premier tour. Car pour cela, il pourrait y en avoir d’autres à gauche, comme Mélenchon, qui avec le Front de Gauche tient un discours de gauche classique, qui a l’avantage d’être cohérent, socialement ambitieux et porté par un homme qui sait parler sans manger deux mots sur cinq. C’est donc bien la peur d’un nouveau 21 avril qui est la principale motivation pour se préparer à voter Hollande, même si ce qui reste de gauche dans son discours relève plus du symbole qu’autre chose. Ainsi, plus Le Pen monte haut dans les sondages, plus Hollande monte aussi.

    Si Hollande doit remercier quelqu’un d’être confortablement en tête en vue du premier tour, c’est bien Marine Le Pen. Si elle n’était pas là, à plus de 15 %, il devrait l’inventer. Quant à Sarkozy, elle lui est aussi bien utile pour rassembler les voix de droite et éviter qu’elles aillent trop chez Bayrou ou d’autres candidats de droite, de peur aussi d’un "21 avril à l’envers".



  • 3 votes
    Henrique Diaz 6 décembre 2010 01:41

    Un mouvement sans stratégie à long terme et sans organisation comme l’est celui du bankrun2010 est voué à être exploité par ceux qui eux, sont organisés à l’échelle européenne : aubaine pour renforcer une économie financiarisée avec le consentement d’une majorité d’une population dépolitisée qui verra dans une crise de liquidité des banques une catastrophe plutôt qu’une chance.

    Ensuite une crise de liquidités est facile à gérer par les banques : il suffit qu’elles ferment quelques temps et il ne leur reste plus qu’à demander un prêt à la BCE qu’elles auront parce qu’elles restent solvables, tant qu’il n’y a pas 1) un retrait massif des comptes de banques qui spéculent (et là, il faudrait faire la différence entre celles qui sont effectivement dans la spéculation et celles qui ne sont pas de cet ordre) ; 2) rejoindre des banques organisées en coopératives et y devenir sociétaire actif et autant que possible le faire de façon coordonnée en collectifs (là c’est autre chose que de croire qu’il suffit d’aller retirer 200 euros par ci, 300 euros par là pour faire trembler le système).

Les thèmes de l'auteur


Publicité


Publicité


Palmarès

Publicité