Si je comprends bien, je ne devrais pas lire ou pas trop lire sinon je deviendrais vite mondain et confondrais être et paraître, ce dont vous, êtes immunisé (du paraître), à travers votre naturalisme rousseauiste enchanté. Vous êtes, tout simplement, c’est comme chez MacDo.
Mais, d’un autre côté, je devrais quand même lire certains livres de l’Ancien Testament, notamment Jonas et Job, afin de percevoir la "déformation du messianisme" à l’oeuvre dans le christianisme.
Question : lisez-vous l’AT chez MacDonald en attendant votre burger et si oui, ce faisant, vous lissez-vous la barbichette ?
Fascination (presque) secrète pour la violence mahométane, réprobation de la moindre peccadille à l’endroit du christianisme ou de l’histoire chrétienne ; que dire sinon que votre névrose d’ethnomaso sur la fin ressemble à cette pauvre civilisation qui n’en finit pas de succomber dans des râles masochistes...
Beeeeennn !! Il faudrait que vous lisiez des livres sur le sujet mais bon, comment passer du langage oral déconstruit à la lecture ? That is the question.
J’ai l’impression de lire le pire d’Onfray mais sans la qualité littéraire et syntaxique, bien sûr. A l’instar de Clémentine, vous avez un peu de mal à différencier un Nègre d’un Arabe. De plus, sur le saint Suaire, Jésus a typiquement un visage sémite. Peut-être en demandai-je trop à un kikoule éparpillé façon puzzle qui parle de "siècle 1"...
Soit dit en passant, il n’y avait aucun "leadership" (domination, autorité, progrès) de l’Afrique aux temps préhistoriques sur les autres continents (compléments qu’elle ne formule même pas) ; "J’ai vu aussi avec quelle délectation certains ont contesté l’idée d’un "leadership" africain, comme si c’était quelque chose d’aberrant". Non seulement c’est une idée (une lubie même) mais elle ne lui donne aucun aspect empirique ou comparatif. En gros : pas de dates, pas de lieux, pas de comparaisons et finalement, pas de démonstration, pas d’explication. On reste dans le pur performatif comme le dit Onfray, la pensée magique. "C’est parce que c’est, parce qu’on le dit".