Têtedepioche

Quant à votre amour pour le libéralisme destructeur, cela vous regarde.

Par Jean Robin, je cite :
"Les paroles échangées lors de cette conférences tournent autour de l’ennemi commun (juif / sioniste), du libéralisme destructeur (finance de Wall Street), du grand satan américain, et autres joyeusetés."
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Totalement faux.
Et c’est bien ce que Laurent Ozon reproche aux journalistes d’une manière générale ; de mentir de manière éhontée, de salir sans vergogne en déformant les propos et la réalité. De diffamer, d’avilir les personnes.
Et c’est justement ce que vous faites, vous en êtes la démonstration concrète.
Sauf qu’à proprement parler, vous (Jean Robin) n’êtes pas un journaliste, mais un petit péripatéticien du pouvoir d’occupation en place qui essait tant bien que mal de sortir la tête de l’eau.
Vous pouvez croire que ce métier est noble, et c’est vrai, il peut l’être.
Mais vous Jean Robin, en êtes justement le contre exemple.
Si il y a bien une chose qu’on ne peut pas reprocher (ou reprocher suivant le cas, beaucoup n’y manqueront pas) à Laurent Ozon, c’est d’être mesuré et nuancé sur la question juive.
Dans cette conférence, la question juive n’a été abordé que très brièvement (en outre par les invités), car justement ce n’était pas l’objet central du débat.
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A Stalouk
A quoi veux tu que Famine réponde, au juste ?
Je suppose que comme Robin, tu n’as pas visionné la conférence, n’est ce pas ?
Sinon tu te serais probablement dispensé d’un tel commentaire (en supposant que tu sois neutre).

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Rien de bien compliqué :
> clic droit sur la vidéo
> copier l’URL de la vidéo à partir de cette séquence
Le nombre placé à la fin de l’URL correspond à la séquence de démarrage de la vidéo.
Pour affiner le moment précis il suffit de le modifier.
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Ce qui est bien avec les bouddhistes, les Corses, ou que sais je encore, c’est que l’on sait toujours de qui il s’agit (c’est évident), même si dans l’absolu je préférerais qu’on appelle un chat un chat, un juif un juif.
C’est récurant, et à raison.

Syndrome de Stockholm des populations immigrés ou paradoxe du roman colonial.