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Commentaire de Schweizer.ch

sur Soirée Chávez à "l'Usine" du Front de Gauche


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Schweizer.ch 28 octobre 2012 10:44
"Schweizer, pourriez-vous nous donner l’intégralité de la citation de Chavez..."

Si vous voulez - j’ai voulu faire court, en ne retenant que... l’essentiel -, les propos sont assez décousus - c’est du Chavez smiley - et ils n’apportent rien sur le fond. Le fait important, en ces temps de tyrannie existentialiste, parler d’essence nationale, c’est quelque chose

« Winston Churchill, écoutez bien cette pensée terrifiante, qualifions-la ainsi. Churchill… voici ce que pense la bourgeoisie mondiale, c’est ce que pense l’empire et c’est également la pensée qu’ici, on a injecté à un groupe de Vénézuéliens qui, en réalité, ne sont pas vénézuéliens. Ils sont nés ici, ils sont vénézuéliens dans la forme, mais ils ne sont pas vénézuéliens dans leur essence, ils ne ressentent pas cette patrie ! Non seulement ils ne la ressentent pas, mais ils la méprisent ! Pour eux, les Vénézuéliens sont inférieurs. Eux, c’est Washington : « Yes sir, ok, very good, chabalavery good, hein ? », mais écoutez ce que disait Churchill, cette phrase qui reflète la pensée impériale, la pensée de ceux qui se croient supérieurs.

«  Un courrier est sorti dernièrement attribué au Cardinal. Je ne suis pas absolument sûr qu’il provienne du cardinal, car c’est un courrier électronique. Non ça… Jessy, du point de vue technique. Mais quel qu’en soit l’auteur, la pensée est là : de ceux qui se croient supérieurs…

« Ecoutez ce que disait Churchill. On sait qui était Winston Churchill, écoutez ce qu’il disait, je lis : « La gouvernance du monde devrait être confiée aux nations satisfaites, qui ne désireront pas plus que ce qu’elles ont. Si la gouvernance du monde était aux mains de nations affamées, il y aurait toujours un danger. Mais aucun d’entre nous n’aurait de raisons de prétendre à plus, la paix serait maintenue par des gens qui vivraient à leur manière et qui ne serait pas ambitieuse. Notre pouvoir nous placerait au-dessus des autres. Nous serions comme des hommes riches vivant en paix dans leur demeure ».


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