Etrange cette manière de polémiquer sans dialoguer sur le fond du problème :

1 - Quelle importance de savoir le nombre de viols au Moyen-Age, M. Caron ? A combien de viols par jour trouvez-vous le chiffre raisonnable (époque mise à part) ?

2 - M. El Atrassi, si les délinquants sont Français ça change quoi aux chiffres ? Aux conséquences des délits et de la violence ? En quoi êtes-vous vous-même utile à la société ? A votre famille (je me permets cette question suite à la publication du livre de votre soeur) ? 

3 - Mme Polony, M. Ruquier un fait est un fait. Les chiffres du livre sont ceux de l’observatoire de la délinquance pour la plupart. Les chiffres ce n’est pas "J’en prends, j’en laisse", ce sont des chiffres. 

4 - Facile les accusations de racisme mais l’auteur a tendu le bâton pour se faitre battre. La délinquance n’est pas le fait d’une origine mais simplement le plus souvent la conséquence d’un désespoir social entretenu par une société uniquement basée sur l’argent. Le jour où le gramme de haschich rapportera moins qu’une heure en usine la délinquance baissera drastiquement.

Globalement, le problème véritable qui ressort de tout ça c’est que le bourreau existe mais la victime pas. Il n’y a qu’à voir n’importe quel émission de faits divers : le reportage finit toujours par s’intéresser au profil du coupable, la victime la plupart du temps on s’en fiche.
 
Et il devient clairement indécent de parler de coupables dont le rédemption ne serait pas possible. Etre humain dans notre société c’est permettre à un ancien bourreau de se réinsérer. Il faut pardonner

Noble chose que le pardon mais en ce qui me concerne ce n’est pas à la société de pardonner, c’est à l’agressé. Donc un tiers ne peut pardonner. Et donc lorsqu’on a tué on ne peut être pardonné. C’est simple.