En tenant compte que Jean-Yves Leloup est un écrivain et conférencier de niveau international
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Qui a décrété cela, à part lui-même et ses "séductions" auprès des organisateurs, du genre femelle de préférence ?
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Dans votre exemple, le logement n’est pas compris. Donc ça revient à la même chose que ce que je disais, le prix d’un trajet en Suisse en plus. Et si le prix de "l’enseignement" est moins élevé que pour les solos de Jean Yves Leloup, cherchez la femme...
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Je n’ai pas à comparer avec les autres prix que vous proposez, vous noyez le poisson comme on dit. Je regarde ce qu’un homme, qui s’estampille prêtre orthodoxe, demande comme prix pour son "enseignement", quand on voit en plus combien son enseignement devient du grand n’importe quoi :
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Pour moi qui fais un blog sur Marie-Madeleine, croyez-vous que ce soit génial de lire, sous la plume de cet homme, que les sept démons qui sont sortis d’elle étaient les sept péchés capitaux ? Alors qu’il s’agit des sept dieux planétaires de l’Hebdomade.
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Donc Leloup dans cette logique, et dans son roman "une femme innombrable", s’étale et se laisse aller à ses pulsions les plus misogynes et les plus (bouffées) délirantes : pour la "gourmandise", il invente de la boulimie et fait patauger Marie-Madeleine dans son vomi, il lui dégouline de la bouche. Pour la "luxure", il la fait forniquer avec des tas d’hommes, ou un bois de meuble (sic) et il n’est pas rare qu’elle se réveille avec autour d’elle des enfants, des animaux (resic). Pour la colère, elle tape sur sa servante parce que le dîner n’est pas prêt, etc.
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Et puis bien entendu, le bon Jésus, un "homme" quoi, va venir sauver cette pauvre femme de son stupre. Et elle va devenir toute gentille, toute soumise, toute aimante...
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Dans un autre livre, "Marie-Madeleine à la Sainte Baume", il la fait ramper, nue, en forêt de Sainte Baume (alors qu’elle n’y est jamais allée, cela a été prouvé). Elle n’a même plus l’humanité de son nez, c’est devenu "un mufle, un groin", elle ratisse le sol pour chercher des champignons avec ses amis les sangliers (resic), etc.
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Je n’invente rien, c’est ça le pire. Et je vous épargne ses livres où Jésus et Marie-Madeleine forniquent allègrement, comme si l’amour entre deux êtres ne pouvait pas se passer d’un machin qui coulisse dans un truc, si vous permettez l’expression. D’autant plus qu’ils étaient gnostiques. Et puisque cet homme est le roi de la projection, on peut sans peine imaginer que ces livres-là précisément sont apparus quand sa propre libido s’est réveillée. Alors où est passé le théologien, l’exégète, le prêtre ?
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Je disait donc que son enseignement "devient" ce grand n’importe quoi, car avant il était plus critique avec lui-même. Mais à force de trier, en parano qu’il est, entre ceux qui le vénèrent et ceux qui pourraient le mettre dans une situation embarassante, il a fini par se couper de tous ceux qui pouvaient encore l’aider à progresser ! Au final, il faudrait avoir de la compassion pour lui, en tant qu’être humain. Mais si, en tant que théologien, il fait du diable YHWH le Père de Jésus, alors Dieu sera sans pitié pour lui : "les premiers seront les derniers".