@popov
Comme je vous l’ai déjà dit vous citez des articles que vous mettez vous même en ligne sans vraiment les avoir lu.
Les chiffres de base sont des chiffres fantaisistes puisque la loi leur interdit et cette loi ne concerne pas uniquement les organismes publics ou l’état !!!!!!
Voilà ce qu’écrit l’article du Figaro : les autorités souhaitent garder la plus grande discrétion autour de
leurs modes d’investigation et de surveillance de l’islam radical dans
les prisons. Ces méthodes, nous vous les dévoilons ici.
Waw super et sympa notre journaleux !!!
Dis moi alors c’est qui les autorités ???? c’est le Macdo ou le resto grec d’à côté ?
C’est à la suite de cette phrase que les chiffres sont livrés : Il y aurait, dans les établissements pénitentiaires en France, près de
20.000 musulmans pratiquants (c’est-à-dire respectant le ramadan) sur
66.000 détenus. C’est un chiffre de base.
Puis plus loin il est écrit ceci Vingt mille, c’est presque un tiers du nombre total des détenus en France.
C’est ce chiffre là que vous reprenez vous même !!!
Cet article du figaro est vraiment nul et manipulateur !!!
Vous vous fourvoyez complètement en reprenant de tels chiffres qui sont pourtant interdits sans compter ces pseudos organismes qui recensent le nombre d’inscrits pour le supplément de repas dans le cadre du ramadan. Comment se fait-il que cet organisme chargé de distribué de tels repas puisse se permettre de livrer leurs chiffres voire comment et par qui est-il financé ??? Ces détenus sont-ils vraiment des jeûneurs ? des pratiquants ? des musulmans ? des gens qui cherchent à obtenir des repas en supplément ?
De plus, ces détenus ne s’inscrivent pas pour le ramadan mais pour un supplément de repas lié au ramadan. Ils ne demandent donc pas à faire le ramadan. Il existe tout simplement des cantines dans les prisons pour ceux qui veulent rompre le jeûne. Alors à quoi correspond ce supplément de repas ???
Où ai-je dit que ce chiffre donnait des renseignement sur l’origine des
détenus ? Il donne des renseignements sur le nombre de mahométans
incarcérés, c’est tout.
Ne vous foutez pas de ma gueule, reprenez depuis le début du dialogue et vous verrez très vite l’orientation de base de la discussion !!!
De plus vous n’avez pas répondu à mes questions :
Pourquoi ces études ne donnent pas les chiffres concernant les demandes
pour les repas de noël voire les cadeaux qui vont avec, le nombre de
gens qui font le carême, qui mangent du cochon ou qui participent aux
apéros de RL, etc... ?
Mais puisque vous y tenez autant et au lieu de vous vous arrêter sur le
chemin de votre pèlerinage vers la vérité : quelles sont les confessions
des autres détenus ???
Ce qui est flagrant dans votre démarche c’est que vous ne cherchez pas à creuser le sujet mais à connaître (pour mieux les désigner à la vindicte publique) la confession (et l’origine) des détenus pour tenter d’établir une nature ou une tendance "délinquante" ou "criminogène" du musulman !! C’est ce que font avec passion zémmour et Cie et les groupes d’extrême droite ! Demande toi ensuite pourquoi une grande partie de la presse leur accorde autant d’intérêt !!
Cela ne m’ennuie pas ça m’amuse plutôt de vous voir vous faire manipuler.
Ps : Je vous ai mis les articles de lois concernant l’interdiction du fichage !
http://www.net-iris.fr/veille-juridique/actualite/34550/fichage-ethnique-la-cnil-rappelle-le-cadre-legal-en-vigueur.php
http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do ;?cidTexte=JORFTEXT000000886460
Article 226-19
Le fait, hors les cas prévus par la loi, de mettre ou de conserver en
mémoire informatisée, sans le consentement exprès de l’intéressé, des
données à caractère personnel qui, directement ou indirectement, font
apparaître les origines raciales ou ethniques, les opinions politiques,
philosophiques ou religieuses, ou les appartenances syndicales des
personnes, ou qui sont relatives à la santé ou à l’orientation ou
identité sexuelle de celles-ci, est puni de cinq ans d’emprisonnement et
de 300 000 euros d’amende.
Est puni des mêmes peines le fait, hors les cas prévus par la loi, de
mettre ou de conserver en mémoire informatisée des données à caractère
personnel concernant des infractions, des condamnations ou des mesures
de sûreté.