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Anthony Michel

Anthony Michel

Auteur éditeur d'abord des aventures de Toni Truand (romans argotiques d'espionnage) puis d'essais décalés (Antoine Chimel) puis d'essais ésotériques, philosophiques et politiques :
Résigné et Révolté  ;
L'aNarque, l'Homme-anarchie ;
La Confiance en l'Esprit.

Auteur du projet nommé Les Cahiers d'un Anarchiste conservateur

Plus d'infos sur ses parutions : site de vente | Les livres d'Anthony Michel

« Pour toute info sur mes ouvrages, travaux d'écriture et actions,
n'hésitez pas à me contacter à l'adresse suivante : [email protected] »

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  • Premier article le 13/06/2015
  • Modérateur depuis le 27/08/2015
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Derniers commentaires




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    Anthony Michel Anthony Michel 25 juillet 2015 17:57

    @Rounga

    Merci pour ce passage qui complète, à sa façon, le message initial. :)



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    Anthony Michel Anthony Michel 24 juillet 2015 16:46

    @Mao-Tsé-Toung

    Karl Marx nous dit, il est vrai, que le point de vue est déterminé par l’origine de classe et je souscris à cela. Mais le point de vue n’est pas déterminé exclusivement par elle et il y a eu des exceptions individuelles historiques. D’où l’intérêt, selon moi, pour des éléments philosophiques anarchistes permettant notamment de ne pas condamner — au nom de la reconnaissance de l’individualité — un homme selon son appartenance de classe. Autrement dit, il n’y a pas seulement l’origine de classe qui influence le point de vue mais aussi les éléments particuliers de notre éducation (avec l’ambiance familiale) ainsi que nos capacités mentales et motrices fournies par la nature et qui façonnent notre rapport avec autrui.

    Par ailleurs, je tiens à préciser que mon choix de vidéo pour cet article ne doit pas être compris comme un soutien personnel et particulier à Michel Serres. Je trouve simplement que son propos va dans le sens des interrogations philosophiques suivantes et reprises dans mon article : qu’est-ce que la pauvreté ? devons-nous considérer que nous sommes trop riches arrivés à un certain stade d’accumulation économique et matérielle ? Des sujets évidemment cruciaux pour les gens pourvus d’une certaine conscience sociale. Or, nous savons bien qu’il existe aussi ceux qui se moquent bien d’un quelconque sens des limites en matière économique ou bien qui — phénomène d’endogénéité oblige compte tenu de l’anthropologie libérale actuelle — ne se posent même pas la question de savoir si, par exemple, un salaire maximal doit exister.

    Une dernière remarque concernant Michel Onfray. Je dis parfois que je suis d’accord « une fois sur deux » avec lui... Son post-anarchisme relève, pour moi, de l’imposture dès lors qu’entre autres il soutient l’économie de marché tout en condamnant la société de marché — en allusion à une célèbre citation du premier ministre social-traître de la dernière « cohabitation » française. Car nous pouvons aussi considérer, dans une posture plus radicale — à condition bien sûr qu’elle nous intéresse et que nous l’assumons —, qu’il est bien difficile d’avoir l’économie de marché sans la société de marché. Nous pouvons même considérer qu’au fond il n’y a pas d’économie de marché sans société de marché dès que la première a besoin d’être validée par la seconde, avec ses législations et ses justifications pseudo-éthiques, afin de subsister. Les règles socialement violentes de l’économie de marché – en bref, la Loi du Marché – dépendent de la société de marché – en bref, le Droit libéral – pour une mise en application plus efficace en étant vendues comme nécessaires et incontournables par l’opinion publique. 
    Analogiquement, nous pouvons dire qu’il n’y a pas de libéralisme économique sans libéralisme culturel... ou encore (pour reprendre des concepts de Jean-Claude Michéa), de droite économique correcte sans gauche politiquement correcte. 



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    Anthony Michel Anthony Michel 23 juillet 2015 00:21

    @Guit’z

    Merci ! A vrai dire, ce texte — bien que remis en page pour le constituer en article — est un extrait de mon prochain ouvrage dont vous aurez d’autres extraits sur cette page.



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    Anthony Michel Anthony Michel 23 juillet 2015 00:14

    @jeanpiètre

    Je suis d’accord. Et merci pour le lien.



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    Anthony Michel Anthony Michel 23 juillet 2015 00:12

    @ tous :

    La religion en tant que système social a eu, et a toujours, beaucoup à voir avec la politique. A mon avis, elle peut être dissociée de la « vie de la foi » donc de la spiritualité théiste au sens large.
    Par la spiritualité, il y a recherche de moralisation. Puis il y a volonté d’étendre la moralité résultante à la collectivité. D’où la religion.
    On ne peut contester, à mon sens, que dans toute religion il y a quand même une tentative de moralisation de la vie publique, malgré ensuite tous ses aspects pouvant sembler bien rigides pour telle ou telle personne. Ne pas ignorer les individualités religieuses — éventuellement haut placées — qui pensent surtout à leur gloire personnelle et se détournent du message originel, avec sa dimension morale positive. De là néanmoins à condamner les religions ou la religion... Quid de la première vague des Résistants français qui, en 1940, contient un certain nombre de religieux ? Leur bonne conduite peut-elle être séparable de leur foi, teinté de religiosité dans leur cas ?
    Je ne suis pas religieux. Je constate toutefois qu’historiquement l’homme a su difficilement se passer de religion.
    Enfin, ne pouvons-nous pas parler, à notre ère moderne — qui se serait tant émancipée du carcan religieux —, de « religion laïque » ou encore, autre exemple, de « religion du Capital » ?

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