Regardez moi ces deux vieux cons, Pénible l’enculé et Nono l’enculeur et vice-versa.
Ces deux séniles se racontent leurs petites historiettes bien enjolivées de leurs mémoires chancelantes, Nono cono, comme d’hab s’imagine en Donjuan, alors qu’avec sa tronche de demeuré atteint de cirrhose, toute sa vie merdique, il a du la passer à se taper des rassis, la gente féminine s’enfuyant dès qu’il devait ouvrir la bouche, à la limite la grosse Lulu devait consentir à lui faire une pipe vite fait dans les chiottes du bistrot de Dédé (celui qui planquait un "12" derrière le comptoir). Quand à l’autre Pénible, comme dit plus haut, c’est un vieux con, tout juste bon à faire un semblant de répartie à son pote poivrot.