Terne et laborieux, sans talent, spécialiste des procès en antisémitisme, très certainement recruté grâce à des appuis, ce journaliste communautarisé est manifestement venu sur le service public chercher un complément de salaire.
Cherchez donc un journaliste de Radio Notre Dame, de beur-FM ou Radio Orient officiant sur le service public ! Ne vous donnez pas cette peine : vous n’en trouverez pas.
Scandale des scandales (1)... qu’il soit permis ici de suggérer à LCP et au CSA qu’il demande à Monsieur Haziza de choisir : soit il sert le service public, soit il sert sa communauté et ses intérêts partisans bien compris… incompatibles avec l’exercice du métier de journalisme dans ce même service public, mais certainement pas les deux, et qui plus est... aux frais des contribuables.
Que l’on suggère donc à Monsieur Haziza, puisque manifestement son poste à Radio-J ne lui suffit pas, de déposer un CV chez BFMTV ou chez i-télé."
1 - On nous aura vraiment tout fait sur le service public : on a connu le journalisme de droite passeur de plats (Elkabbach), le journalisme de gauche ou PS (Levaï), le journalisme de cirque et de foire (Mourousi), le journalisme agent de sa propre cause (PPDA)... avec Haziza, voilà maintenant que l’on nous sert du journalisme communautaire : radio J défend une communauté et des intérêts forcément partisans ( intérêts économiques, politiques, religieux et culturels...) incompatibles avec l’exercice du métier de journalisme dans le service public.
@Buk100
Garrido n’aura pas à être censurée car elle n’en parlera pas de Boloré et de la Françafrique.... pour rester.... et continuer de (ou commencer de) payer sa nouvelle garde-robe, sa nouvelle voiture, son prêt immo ; d’ailleurs, elle n’aura même conscience de se l’interdire ; et pire encore : qu’elle se l’est déjà interdite... car elle ne soupçonnera même pas le fait qu’elle s’est déjà tout interdit .... tout ce qui ferait qu’elle serait débarquée ; l’être humain n’est pas machiavélique, il est tout simplement hyper-complaisant avec lui-même et d’une indifférence ou d’une intransigeance sans bornes avec tous les autres.. à quelques exceptions près ; et ces exceptions, quand elles sont de gauche ne prennent pas (par exemple) l’argent de Boloré....
Enfin... ça me paraît clair ce qui est arrivé à Garrido, ce qui lui arrive, et ce qui va lui arriver !
@Serge ULESKI
Chassez le naturel, il revient au galop...
Dure dure la dissidence !
@Serge ULESKI
Quand je vous dis que Garrido devra se taire pour continuer de toucher son chèque en fin de mois.
@Serge ULESKI
Garrido chez Ardisson ?
Boloré, même pas peur !
@Buk100
"..... bien plutôt partager le sort - un peu de la vie -, de ceux sur lesquels, à propos desquels on a fait du bruit, beaucoup de bruit. Quand à faire carrière sur leur dos à tous..."
Etre de Gauche, c’est fatalement un sacrifice.
@Buk100
"c est plutôt une stratégie habile"
La bonne blague !
Quelle naïveté !
L’habilité stratégique elle est du côté de Boloré qui accepte la présence de Garrido chez Ardisson !
Tenez, au passage : comment Garrido va-t-elle pouvoir aborder le sujet brûlant, lourd d’enseignement et de conséquences, à propos duquel il n’y a que des coups à prendre, j’ai nommé : la Françafrique ? La Françafrique et l’empire Boloré sur ce continent ? Une prospérité en milliards pour les multinationales françaises sur l’infantilisation et l’humiliation de centaines de millions d’Africains. Il y a de l’argent auquel on ne touche pas car on ne passe pas à la caisse d’un modèle économique abjecte quand on est de gauche.
Dans les commentaires "négatifs" au sujet de mon billet, le mot "amertume" est utilisé. On pouvait aussi attendre le terme de "ressentiment" ou "envie" ou jalousie. Comme quoi c’est pas difficile quand on est de gauche d’accepter une critique de gauche ; et puis, dur de savoir qui l’on est vraiment. Rien n’est plus difficile que d’être de gauche.
"... mourir dans la profonde amertume...".... que nenni .... bien plutôt mourir en sachant que l’on aura au moins partagé le sort - un peu de la vie -, de ceux sur lesquels, à propos desquels on a fait du bruit, beaucoup de bruit Quand à faire carrière sur leur dos à tous...
Si on ne renonce pas au fric (pour faire court et être synthétique) rien d’important ne peut être accompli à Gauche.
@Hieronymus
La force de la série c’est le scénario et l’implication de leurs acteurs-gladiateurs et marathoniens... acteurs stakhanovistes ; je pense à l’actrice dans Homeland et au prof de chimie dans Breaking bad.
Côté grammaire cinématographique, c’est assez pauvre, très pauvre : le cinéma c’est le loin et le près, la hauteur et la profondeur de champ avec une grande importance accordé au hors-champ... la série semble n’avoir intégré que "le près" en lien direct avec un recours abusif à l’émotionnel ; une caméra au ras des sentiments pour ainsi dire.
Critique à relativiser quand une série est réalisé, voire écrite, par un cinéaste.
Une analyse de la série homeland ici : http://litteratureetecriture.20minutes-blogs.fr/archive/2015/03/03/homeland-quand-la-cia-fait-son-cinema-914551.html
@Claire29
"on doit pouvoir demander à une députée si elle peut dire "Vive la France" "
Quel rapport - cette question injonction - avec la liberté d’expression ?
Si on peut avoir la liberté de poser une question, on doit pouvoir être libre de dénoncer cette question pour ce qu’elle est : une injonction à caractère raciste...
Lynchage médiatique de Danièle Obono, nouvelle députée FI " France insoumise" de la 17e circonscription de Paris sommée de dire "Vive la France" sur RMC au cours de l’émission "Les Grandes Gueules" dont le plateau sera composé - devinez ?! - d’hommes exclusivement, blancs de surcroît...
Comme quoi : chassez le naturel, il revient au galop, sans tarder, une semaine après la fin du scrutin législatif !
Toutefois, on pourra se demander ce que cette députée et son parti pouvaient bien attendre de son passage dans l’émission "Les grandes gueules " ainsi que la nécessité et l’utilité d’y participer.
Les députés FI feraient bien, dès maintenant, d’investir prioritairement l’Assemblée tout en gardant un contact très très étroit avec le terrain et ceux qui les ont fait élire d’autant plus qu’il est peu probable que cet électorat soit à l’écoute de ce type d’émission, au lieu de participer et d’entretenir un cirque médiatique aux dés pipés dont tous sortiront affaiblis car enfin, qu’attendre d’un passage dans des médias incapables d’offrir la garantie que l’on y recevra un traitement journalistique de qualité et non un traitement qui a tous les attributs d’un lynchage idéologique dont le soupçon de racisme - quand ce sont des minorités qui sont "convoquées" -, ne saurait être écarté jamais vraiment ?
Aussi, on sera fortement encouragés à penser que toutes ces prestations télévisuelles et radiophoniques sans discernement sont plus que contreproductives et plus encore si leurs victimes ne sont pas armées pour faire face à un véritable interrogatoire qui n’a rien à envier à un traitement policier de la question politique.
Le "Nique la France" du clip que Danièle Obono a défendu au nom de la liberté d’expression voilà cinq ans n’a pas besoin d’excuse ; la France incriminée dans le texte de ce "rap parodique" - parodique à dessein ou non - , concerne une France coloniale d’hier et cette autre France discriminatoire d’aujourd’hui ; or, on connaît trop bien le "pédigree" idéologique de ceux qui sont disposés à défendre cette France-là pour devoir se justifier d’un quelconque soutien à la dénonciation de ce derniers
Il est regrettable toutefois que Danièle Obono n’ait pas su, certes dans le contexte d’un stress fort compréhensible face au harcèlement de ces contradicteurs qui a pu en partie la privée de ses "moyens argumentatifs "- elle a même semblé sur le point de céder et de condamner le contenu de ce clip du groupe ZEP -, expliquer et défendre ce titre vieux de cinq ans mais toujours aussi prégnant. Ce semi-échec devrait alerter ces nouveaux arrivants de la scène politico-médiatique : face à ce type de procès-d’intention, une prestation médiatique devient un véritable exercice qui relève autant de la psychologie que de la rhétorique - force d’esprit et entrainement ; d’où la nécessité de choisir avec la plus grand soin les lieux dans lesquels les députés de FI sans expérience, devront accepter de se présenter : qu’ils se méfient des invitations empoisonnées tout comme les cadeaux du même nom ! car la véritable haine - haine de leurs employeurs partagée -, de ceux qui ne supportent plus les "Insoumis" encartés ou pas - haine de leurs employeurs-payeurs - , à l’Assemblée comme partout ailleurs - et sur Internet en particulier -, sera certes contenue mais aussi certaine que totale.
Lynchage médiatique de Danièle Obono, nouvelle députée FI " France insoumise" de la 17e circonscription de Paris sommée de dire "Vive la France" sur RMC au cours de l’émission "Les Grandes Gueules" dont le plateau sera composé - devinez ?! - d’hommes exclusivement, blancs de surcroît...
Comme quoi : chassez le naturel, il revient au galop, sans tarder, une semaine après la fin du scrutin législatif !
Toutefois, on pourra se demander ce que cette députée et son parti pouvaient bien attendre de son passage dans l’émission "Les grandes gueules " ainsi que la nécessité et l’utilité d’y participer.
Les députés FI feraient bien, dès maintenant, d’investir prioritairement l’Assemblée tout en gardant un contact très très étroit avec le terrain et ceux qui les ont fait élire d’autant plus qu’il est peu probable que cet électorat soit à l’écoute de ce type d’émission, au lieu de participer et d’entretenir un cirque médiatique aux dés pipés dont tous sortiront affaiblis car enfin, qu’attendre d’un passage dans des médias incapables d’offrir la garantie que l’on y recevra un traitement journalistique de qualité et non un traitement qui a tous les attributs d’un lynchage idéologique dont le soupçon de racisme - quand ce sont des minorités qui sont "convoquées" -, ne saurait être écarté jamais vraiment ?
Aussi, on sera fortement encouragés à penser que toutes ces prestations télévisuelles et radiophoniques sans discernement sont plus que contreproductives et plus encore si leurs victimes ne sont pas armées pour faire face à un véritable interrogatoire qui n’a rien à envier à un traitement policier de la question politique.
Le "Nique la France" du clip que Danièle Obono a défendu au nom de la liberté d’expression voilà cinq ans n’a pas besoin d’excuse ; la France incriminée dans le texte de ce "rap parodique" - parodique à dessein ou non - , concerne une France coloniale d’hier et cette autre France discriminatoire d’aujourd’hui ; or, on connaît trop bien le "pédigree" idéologique de ceux qui sont disposés à défendre cette France-là pour devoir se justifier d’un quelconque soutien à la dénonciation de ce derniers
Il est regrettable toutefois que Danièle Obono n’ait pas su, certes dans le contexte d’un stress fort compréhensible face au harcèlement de ces contradicteurs qui a pu en partie la privée de ses "moyens argumentatifs "- elle a même semblé sur le point de céder et de condamner le contenu de ce clip du groupe ZEP -, expliquer et défendre ce titre vieux de cinq ans mais toujours aussi prégnant. Ce semi-échec devrait alerter ces nouveaux arrivants de la scène politico-médiatique : face à ce type de procès-d’intention, une prestation médiatique devient un véritable exercice qui relève autant de la psychologie que de la rhétorique - force d’esprit et entrainement ; d’où la nécessité de choisir avec la plus grand soin les lieux dans lesquels les députés de FI sans expérience, devront accepter de se présenter : qu’ils se méfient des invitations empoisonnées tout comme les cadeaux du même nom ! car la véritable haine - haine de leurs employeurs partagée -, de ceux qui ne supportent plus les "Insoumis" encartés ou pas - haine de leurs employeurs-payeurs - , à l’Assemblée comme partout ailleurs - et sur Internet en particulier -, sera certes contenue mais aussi certaine que totale.
Après la publication du billet Les Présidentielles 2017 au "QG Décolonial" : paroles de militants des quartiers populaires sur Agoravox, un complément d’argumentation s’est très vite imposé : http://litteratureetecriture.20minutes-blogs.fr/archive/2017/05/20/paroles-d-honneur-qg-decolonial-rebonds-936708.html
Merci pour votre contribution.
Je connais bien les arguments développés dans le passage que vous nous proposez.
Parler négativement de multiculturalisme c’est déjà faire, et c’est encore faire, le procès de ceux qui, discriminés et relégués, souhaitent trouver des solutions pour eux-mêmes en l’absence d’un engagement ferme en leur faveur de la part de la communauté nationale : Etat, partis de gouvernement et électeurs.
Parlons de "repli et rejet" et traitons bien plutôt la tentation isolationniste dont on pourra distinguer deux sources :
- "Vous ne voulez pas de nous, eh bien, nous on ne veut pas de vous !" - notons qu’il a bien été question un temps de désir d’intégration - d’être acceptés et de se fondre dans la masse - de ceux qui optent en désespoir de cause, épuisés et désillusionnés, pour l’isolement et le repli qui ne peut être que communautaire puisqu’à l’origine de cette décision, on trouvera une communauté ethnique et historique facilement identifiable victime de cette discrimination, voire du racisme - c’est donc une lapalissade qui n’explique rien et ne rend compte de rien que de parler de repli communautaire.
- "Vos valeurs occidentales, pour ne rien dire de votre hypocrisie constante à notre égard, nous n’en voulons pas. Nous ne vous demandons rien d’autant plus que nous n’avons pas choisi de naitre en Europe. Simplement : ignorez-nous... nous on s’occupe de nous" - Il n’a jamais été question d’un désir d’intégration, d’un désir d’appartenance à notre communauté nationale majoritairement européenne de culture.
Quant à la discrimination positive : quiconque est vraiment sérieux, vraiment soucieux de combler le retard accumulé par des populations discriminées, ne peut pas s’y opposer d’autant plus que les bienfaits surpassent de loin les inconvénients pour les intéressés et la société dans son ensemble. Le procès fait à la "discrimination positive" cache le plus souvent une indifférence, voire une complaisance coupable, à propos du sort injuste et cruel des discriminés dans les sociétés occidentales.
"Pour ce faire, il est indispensable, par exemple, de présenter les inégalités comme la conséquence des préjugés qui traversent la société plutôt que et % système social lui-même, ce qui empêche toute critique sociale de se déployer correctement et, donc, toute remise en cause en profondeur de celui-ci."
Si on peut être en partie d’accord avec cette précaution prise par l’auteur, il n’en demeure pas moins que la dénonciation des préjugés reste une nécessité absolue car... ce sont majoritairement les classes ouvrières et les employés qui votent FN et la question de l’immigration post-coloniale et des Français qui en sont issus est au cœur de la rhétorique de ce parti : il est donc bien question aussi d’une responsabilité individuelle en tant que citoyen et électeur (accessoirement) et pas simplement "le système social" lui -même ; dénoncer ces préjugés et l’indifférence à leur sujet c’est aussi et c’est encore faire de la critique sociale ; celle du pouvoir des médias dans la propagation de ces préjugés par exemple.
S’il peut être encore question d’un "Classes populaires (travailleurs !) unissez-vous !", il serait bon pour commencer qu’on note le fait que le chômage touche parfois jusqu’à 30 à 50% de ces "populations...racées" telles qu’elles se définissent elles-mêmes (terme que j’ai découvert en visionnant les deux vidéos proposées en partage)...
Dans mon billet de blog, je fais part d’une découverte : comment au fil des ans le divorce s’est accentué pour devenir un véritable gouffre, notamment chez les plus jeunes - jeunes filles en particulier - qui font usage d’une rhétorique sans nuance, verdict sans appel (notez que les interventions des universitaires n’arrangeront rien !)... une virulence qui ferme toutes les portes et qui les condamne à plus de rejet et à plus d’isolement et discrimination.
Je garde à l’esprit qu’il s’agit làd’intervenants hyper-conscients (j’allais dire... hyper-politisés à tort) socialement des mécanismes de leur exclusion : éducation, emploi, considération, alors même qu’il existe encore, sur un plan individuel, des possibilités de rejoindre la communauté nationale... il est vrai qu’il ne peut s’agir pour l’heure que tenter individuellement sa chance ; il se pourrait donc bien que les sœurs refusent maintenant de s’en sortir sans les frères et les frères sans leurs parents ; ce qui complique singulièrement le problème à résoudre.
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