Les commentaires de TZ

Dieu, pas forcément.
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Morale et spiritualité, par contre, oui, à coup sûr. Notre avenir en dépend.

Merci Claire pour cette indication, car nulle mention de la Scientologie sur la home page du site que vous nous indiquez.
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Plus sérieusement, ces associations qui distribuent des tracts permettent à la scientologie d’avancer masquée, et de récupérer sous son manteau les personnes les plus fragiles.
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A éviter d’urgence pour ne pas tomber dans une spirale bien plus dangereuse, faite de manipulations psychologiques et d’extorsions.

Il n’y a pas de chakras dans la scientologie, seulement des gens "Clair" à différents niveaux, et tout cela à coup de mesures de l’électricité corporelle et inventée par un auteur de science-fiction.
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C’est donc le grand BHV scientifico/religieux.

Renseignez-vous, des sectes stupides, il y en a partout dans le monde, et pas seulement aux Etats-Unis.
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Doit-on vous rappeler le Mandarom ? Moon ? La soka gakkai ?

Comme d’habitude, peu de mots pour remercier Stupeur de ses trouvailles qui nous sortent des sempiternels combats de clochers habituels ici.
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L’humanité ne peut progresser qu’en gardant cette faculté d’émerveillement.

Sympa, mais je n’arrive toujours pas à comprendre que l’on fasse tout un morceau autour d’un seul et même sample, sans même y ajouter la moindre ligne mélodique
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Dans un autre genre, je préfère le trip-hop, genre Dummy de Portishead (http://www.youtube.com/watch?v=niIcxMuORco) ou Londinium d’Archive (http://www.youtube.com/watch?v=JnmOpzIBGSY).

Si cette vidéo était interdite de regard, pensez-vous qu’elle resterait sur Youtube ?
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J’aime bien les travaux contre la propagande, mais si c’est pour reprendre les mêmes déviances...

@stabiloboss : je reste pantois devant vos arguments. Merci encore de venir justifier tout ce qui se dit sur la haine animant la majorité des électeurs FN.

A l’extrême-droite comme à l’extrême-gauche, on n’aime pas le débat et encore moins la contradiction.
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Et c’est bien le problème de la démocratie, de laisser parfois se développer des mouvements à l’opposé de ses valeurs.

Pas besoin d’eux, pourtant, pour nous passer de vous.

@Hieronymus : on se rejoint sur le fléau télévisuel et son impact incroyable sur le niveau culturel des femmes et des hommes qui regardent le petit écran. Internet n’est d’ailleurs pas non plus étranger à ce déclin : combien l’utilisent réellement pour apprendre et se cultiver ? Combien se limitent uniquement à la lecture de blogs ou au visionnage de vidéos ?
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Pour les extra-terrestres, n’en connaissant pas personnellement, je n’ai pas envie de perdre mon temps à spéculer sur leur existence ou sur leur volonté à notre égard.

Le FN reprend en majorité des idées qu’il sait populaires.
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Pas étonnant, alors, qu’il lui arrive de viser juste.

@Hieronymus73 : si je crois à une visite d’êtres avancés il y a plusieurs siècles, je doute qu’ils soient désormais encore de la partie.
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Je pense également que s’en remettre continuellement à des entités extérieures à l’humanité (Dieu ou extra-terrestres) entraîne une fâcheuse tendance à l’irresponsabilité.
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En résumé, vivons notre vie, notre humanité du meiux que nous pouvons, le reste n’a pas d’importance tant qu’il ne s’impose pas à nous.

Le Front national

En 1972, deux mouvements d’extrême droite, Ordre Nouveau et le Parti des forces nouvelles constituent un parti politique, le Front national pour participer aux élections législatives de 1973. La présidence est confiée à Jean-Marie Le Pen. Le FN se construit sur le modèle du MSI de Giorgio Almirante, un parti néo fasciste ouvertement mussolinien. Le FN reste groupusculaire, en concurrence avec d’autres mouvements qui déclinent rapidement. En 1983, lors d’une municipale partielle à Dreux, le numéro deux du FN, Jean-Pierre Stirbois parvient à se faire élire grâce au soutien de la droite. Dès lors, sur fond de crise, la percée électorale du FN se précise au point qu’il peut atteindre plus d’une trentaine de députés aux élections de 1986. Le parti de Le Pen, par ses succès électoraux, le charisme de son chef et sa capacité à capter à la fois les votes protestataires, à donner un espace d’expression aux idées racistes devient durablement installé dans la vie politique française. En 1995, Le Pen recueille près de 15 % des suffrages à la présidentielle et quatre villes tombent aux mains du FN, dont Toulon. En 1998, l’extrême droite est si bien implantée localement que dans quatre régions (Rhône-Alpes, Picardie, Bourgogne et Languedoc-Roussillon), la droite n’hésite pas à faire alliance avec elle pour en garder ou en gagner la présidence. Au point que les autres formations politiques se déterminent parfois par rapport à lui notamment sur le fond. C’est ce qu’on va appeler la lepénisation des esprits.

La lepénisation des esprits

Le Pen parvient à fédérer durablement autour de lui toutes les traditions de l’extrême droite française. Et la porosité avec la droite est si forte que la base des partis traditionnels n’est pas si intransigeante avec le FN que leurs responsables politiques. Le Pen alterne entre "dérapages verbaux" et victimisation. Le socle idéologique du FN se structure avec la contribution de brillants théoriciens comme Mégret, Blot et Le Gallou. Ce dernier invente le concept de "préférence nationale" dans lequel il va justifier toute l’idéologie lepéniste basée sur la discrimination systématique des immigrés, l’inégalité des races, le corporatisme, l’inégalité entre les femmes et les hommes, la fermeture des frontières, etc…

Mais il y a un débat interne sur la stratégie. Si Le Pen, fidèle à la tradition de la droite révolutionnaire "attend son heure", voulant prendre seul le pouvoir, Mégret s’approprie une pensée gramscienne mal digérée. Il veut conquérir le pouvoir culturel (dominer les référents de la pensée) pour conquérir le pouvoir politique. Par ailleurs, si Le Pen surfe opportunément sur le "ni droite ni gauche", Mégret, lui, a choisi son camp et il est de droite. Il veut conquérir le pouvoir en s’alliant avec la droite. L’avènement du premier gouvernement d’Alliance nationale de Berlusconi en 1994 avec le soutien l’extrême droite. Ces deux stratégies s’opposent et provoquent une scission au début de l’année 1999 entraînant déclin relatif du FN. Mais si sa dynamique s’est brisée, le FN reste, dans les représentations, le parti de la peur, du repli sur soi et de la discrimination. C’est ainsi que, excités par les discours de la droite sur l’insécurité, perplexes quant à l’avenir, beaucoup de Français ont porté Le Pen en deuxième position lors de l’élection présidentielle le 21 avril.

Je cherche encore les immigrés aux commandes des banques et autres pouvoirs économiques qui, eux, font du mal à la France comme au reste du monde.
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Mais bon, on est dans l’argumentation FN habituelle.

Pourtant Blade Runner, Paycheck et Total Recall sont tout de même des monuments. Même Minority Report, pourtant peu fidèle à l’original, est une assez bonne adaptation.
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On peut par ailleurs reprocher à 2001 un psychédélisme démesuré dans la scène d’arrivée sur Jupiter.

Eh bien vous, Susanoo, vous feriez bieb de lire le Kojiki et nous ficher la paix le temps d’essayer de le comprendre !

Prometheus s’annonce comme un très bon film effectivement.
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Mais désolé de ne plus accorder la moindre crédibilité à Alex Jones, chez qui le moindre doute part vite en sucette.

Un "vrai scientifique" ?
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Il est pourtant désavoué par une grande partie d’autres "vrais scientifiques" qui, eux, ne cherchent pas forcément à être toujours dans la contradiction pour faire vendre leurs livres
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http://www.leparisien.fr/societe/les-scientifiques-repondent-a-claude-allegre-06-04-2010-876355.php

Il s’y connaît en soupe, Mr Allègre.
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Géophysicien de formation, que n’a-t-il pas fait pour défendre l’industrie du pétrole. Et désormais le nucléaire, soi-disant alternative aux énergies productrices de CO2.
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Au détriment, bien évidement de la sécurité du monde et de la pollution radioactive.