En effet la majorité du peuple ne veux pas le pouvoir, et c’est rassurant,"Les gens bon ne se souci pas du pouvoir, autant dire que les pire gouverneront"(Alain). Mais cette même majorité ne veux pas non plus subir des abus de pouvoir. Ils faut donc que cela s’intéresse au pouvoir pendant un temps, le moment du processus constituant, pour ensuite pouvoir s’en désintéresser, si il le souhaitent. Mais alors ils se seront armés contre toutes tentatives d’abus, référendum d’initiative populaire, respect du vote blanc, collège de contrôleurs et de juges des affaires publiques tirées au sort... et tout ce que l’imagination de personnes désintéressés se trouvant en situation de pouvoir temporaire, sommé au concoure de tout citoyens passionnés par ces questions, pourra permettre de faire émerger.
Oui j’en parle et confirme cela plus haut.
Avez-vous eu le temps, en quelle-que minutes, de jeter un coup d’œil aux liens que je vous ai proposé.. ?
Pensez-vous que le désir, la puissance disparaîtra en même temps que la monnaie ?
Je suis pour la gratuité des besoins vitaux, se nourrir, se vêtir, se loger, se soigner, se transporter, l’éducation... Gratuité financé par mutualisation de la valeur ajouté de notre travail. Mais je pense que rendre gratuit les désirs ne poser plus problèmes qu’apporte de solutions, car justement pour qu’un désir le reste il faut qu’il soit rare... Je vous invite sincèrement à aller voir cette interview de Frédéric Lordon, ainsi que celle de Bernard Friot.
Sans cela je pense que nous allons tourner en rond car je n’ai pas le bagage nécessaire pour vous expliquer le fond de leurs travaux.
J’espère sincèrement que vous pourrez entrevoir votre utopie dans le temps qu’il vous reste, et j’espère encore plus que vous ne serez pas dessus...
Je n’ai pas dit "simple outil" mais outil fonctionnel et pratique, car la monnaie est tout sauf simple et l’enjeu de rapport de pouvoir.
J’ai pensé, comme vous, pendant un temps, que le fond des choses se trouve dans l’existence de la monnaie, j’en suis revenu. Je considère la monnaie comme un outil bien pratique et fonctionnel. Vous pensez, en supprimant la monnaie, supprimer la violence des rapports sociaux, la corruption, la cupidité et bien d’autre maux... Je n’irais pas jusqu’à dire que vous vous trompez, par manque d’assurance, car d’un point de vue cela peut être l’utopie, et il faut s’axer vers l’utopie. Mais il faut également penser les phases de transition, transitions qui peuvent être longues et compliquées... J’ai peur que la solution proposé par, par exemple, le mouvement Zeitgeist ne soit trop parfaite pour être réaliste, je pense qu’un système parfait n’adviendra jamais, cela n’est plus utopie (en aucun lieu) mais atopie (sans lieu). L’utopie doit penser l’organisation de la violence des rapport sociaux et non les occulter. Pour exemple : Le don contre don, système qui se passe de monnaie, occasionne une forme de violence dans l’obligation de l’autre de rendre le don. Cet exemple peut être critiquable mais soulève tout de même le problème.
Je vous invite à écouter ce monsieur à la 45ème minute de l’interview suivante, voir de l’écouter en entier.
Je crois bien plus, et en ai la quasi certitude en ce qui concerne les phases de transitions, en une réappropriation citoyen de la monnaie, à cela, veuillez excuser ma paresse, je vous propose l’excellente conférence de Frédéric Bosqué sur les monnaie citoyenne local.
Les experts, politiques, économiques ou juridiques, doivent rester les serviteurs, les "outils" si je puis dire, du peuple souverain. Ils ont clairement un rôle à jouer à chaque phase de la prise de décision, car ils connaissent les tréfonds des rouages, mais ils les connaissent si bien que ceux-ci leurs imposent un carcan de pensé, le carcan du système actuel.
J’imagine un processus constituant, où, dans chaque département, s’organise une assemblé constituante tirée au sort au sein d’un groupe de citoyens désignés par leurs paire, c’est à dire une présélection par élection directe. Par exemple chaque citoyen vote pour 4 ou 5 personnes qu’il connait et en qui il à confiance de leurs capacité à dissocier leurs intérêt personnel de l’intérêt général (dans tout les cas ces personnes serait inéligible au poste clés, ce retrouvant donc ultérieurement simple citoyen, subissant le droit écrit par ceux dont il va écrire l’affaiblissement). Ce groupe de citoyens subirait un échantillonnage, de je ne sais trop quelle nature, par exemple par classe socio-professionnel, dans chaque classe s’opérerait un tirage au sort de 1 ou 2 personnes. Ces groupe de personnes serait assurément désintéressés et trop nombreux pour être corrompue, du moins je l’espère.
Bon il y aurait énormément de détails, non moins importants, à éclaircir : La synchronisation au niveau national, la redescente des informations contradictoires, la mise en scène des conflit entre assemblés constituantes départementales, l’établissement de l’ordre du jour et donc la distribution du/des "pouvoir(s)" au sein même de l’assemblé, le rôle des experts... Car oui les experts ont un rôle à jouer mais il faudra le délimité et qu’ils si tiennent, nous ne sortons pas d’une ploutocratie pour aller vers une technocratie qui, même plus vertueuse nous ramènerait vers l’oligarchie...
Je propose de réhabiliter les églises en lieux où se rassemble l’assemblés du peuple. Comme ça le dimanche, après la messe pour ceux qui y tiennent, on pourra aller voter nos lois, décider du budget, désigner (par tirage aux sort ou élection, ou les deux) nos représentants départementaux, régionaux, nationaux...
Nous manquons de visions pour l’avenir, c’est pour ça que notre passé ni a plus sa place...
Cessez les querelles de cloché, vous me passerez la boutade ^^, et "soyez le changement que vous voulez voir pour ce monde", pour nos enfants.
Si les experts pouvaient nous sortir de cette merde ça ferait longtemps qu’on ni serait plus... non ? Dans tous les cas ce n’est pas à eux d’écrire le contrat social. Mais c’est vrais que tout les gens qui ont fait du droit sont réfractaire à ce genre d’idées, je pense que c’est parce-qu’ils méprisent le peuple et qu’ils "pète plus haut que leur cul", ce n’est que mon avis... J’ai l’impression que les professionnels du droit sont en conflit d’intérêts, si ils tentent d’imposer ou non la réécriture du "droit du droit" et la forme du processus constituant.
Mince, ce message était à destination de celui de Caracole
Si les experts pouvaient nous sortir de cette merde ça ferait longtemps qu’on ni serait plus... non ? Dans tous les cas ce n’est pas à eux d’écrire le contrat social. Mais c’est vrais que tout les gens qui ont fait du droit sont réfractaire à ce genre d’idées, je pense que c’est parce-qu’ils méprisent le peuple et qu’ils "pète plus haut que leur cul", ce n’est que mon avis... J’ai l’impression que les professionnels du droit sont en conflit d’intérêts, si ils tentent d’imposer ou non la réécriture du "droit du droit" et la forme du processus constituant.
Ce documentaire est criant d’une vérité occultée insidieusement par nos maîtres politiques et économiques ; ces perfides traîtres !
De quoi soutenir une révolution des consciences et des peuples !
Aux armes 99% !! Cadres et petits patrons ne vous laissez pas tromper par vos désires de bourgeoisies, les 1% vous sacrifierons à la première occasion !! Vos vrais allier sont les smicard et les chômeurs ; Nous devons reprendre conscience de notre classe et de notre intérêt commun, afin de pouvoir lutter contre celle/ceux des puissants, des ultras riches !!
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