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VDJ

Consultant informatique.
Journaliste (engagé) indépendant à ses heures perdues.
Co-auteur de deux livres : "Cuba est une île" (sept 2004) et "Les Etats-Unis, de mal empire" (sept. 2005).

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  • Premier article le 02/02/2015
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Derniers commentaires




  • 1 vote
    VDJ 2 octobre 2020 16:23
    Les 8 révélations du site http://www.dailymaverick.co.za/
    1. La juge de Julian Assange et les liens de son mari avec l’establishment militaire britannique révélés par WikiLeaks
    2. Le fils de la juge de Julian Assange est lié à une société anti-fuite de données créée par les services de renseignement britanniques
    3. La magistrate en chef dans l’affaire Assange a reçu des avantages financiers d’organisations partenaires secrètes du ministère britannique des affaires étrangères
    4. Le ministre britannique qui a approuvé la demande de Trump d’extrader Assange s’est exprimé lors de conférences américaines secrètes avec des personnes demandant qu’il soit "neutralisé".
    5. Julian Assange est l’un des deux seuls détenus pour violation de sa liberté surveillée dans la prison de haute sécurité de Belmarsh
    6. Le gouvernement britannique refuse de communiquer des informations sur la juge d’Assange, qui a 96% d’antécédents en matière d’extradition
    7. Alors que la juge britannique rendait des décisions contre Julian Assange, son mari a participé à une réunion d’information d’un groupe de pression de droite contre le fondateur de WikiLeaks.
    8. L’un des principaux témoins médicaux de l’accusation américaine qui a affirmé que le risque de suicide d’Assange est "gérable" travaille pour un institut universitaire financé par le ministère britannique de la défense et lié au ministère américain de la défense.


  • vote
    VDJ 2 octobre 2020 16:22

    Claire Dobbin, avocate des Etats-Unis contre Julian Assange, a parlé d’un détenu, Abu Hamza, enfermé dans une prison de haute sécurité aux Etats-Unis sous des "Mesures Administratives Spéciales". Pour tenter de donner une image "idyllique" des conditions de détention, elle a dit que Abu Hamza avait "insisté" qu’on lui coupe les ongles des orteils avant une audience au tribunal.
    C’est pas mignon, ça ?
    Précision : Abu Hamza n’a pas de bras.


  • 2 votes
    VDJ 2 octobre 2020 14:00
    Bilan des audiences : le "dossier" des Etats-Unis est vide, archi-vide. Ils ont changé TROIS fois les chefs d’inculpation pour finir par ne plaider devant la cour que "la mise en danger des informateurs" (oubliés les "actes d’espionnage" et autres "complot pour pénétrer par effraction des systèmes informatiques") sans toutefois être capables de citer un seul exemple. Cette dernière accusation, comme toutes les autres, a fait l’objet d’une démolition en règle par tous les témoins.


    En toute logique, une telle parodie de justice devait se tenir à huis-clos. Chose assurée par la juge Vanessa Baraitser - qui n’a cessé d’invoquer une justice "ouverte" et "transparente" - qui a nommément exclu une quarantaine d’ONG d’assister, ne serait-ce que par liaison vidéo, au cirque judiciaire.


    Conclusion : nous - la solidarité avec Assange - avions tout juste, et depuis le début. Problème : ce n’est pas gagné pour autant, car le silence des médias est encore leur meilleur atout. Combien de gens réalisent ce qui se passe, et ce qui en jeu ? Nos atouts : un dossier d’accusation vide, l’aveu par les avocats américains que tout journaliste, où qu’il se trouve, sera désormais en ligne de mire et l’aveu, implicite, qu’il s’agit bien d’un procès politique. Et la vérité (ce qui n’est pas rien). D’où la nécessité de réduire nos voix au silence.


    Mais bon. Quand on te coupe le micro, tu ne quittes pas la scène. Tu gueules juste plus fort.


  • 1 vote
    VDJ 16 novembre 2018 02:29

    @Christophe Hamelin Il n’y a jamais eu de plainte pour viol. Une des femmes a voulu obliger Assange a faire un test de dépistage du sida, ce qu’il a fait. Il est resté deux mois de plus en Suède en attendant que la justice suédoise l’autorise à quitter le pays. Fin de l’histoire. Une fois en GB, et après la publication par Wikileaks de la vidéo "Collateral Murder", un autre procureur suédois a rouvert le dossier et a demandé à Assange de se rendre en Suède pour être "questionné" (simple témoin donc). Or c’est là que Wikileaks découvre qu’un accord d’extradition entre la Suède et les US permet d’extrader de simples "témoins" (personnes non inculpées) vers les Etats-Unis. JA demande la garantie de ne PAS etre extradé. La procureure (une femme) refuse et lance un mandat d’arret international. Et tout part en vrille avec la complicité de la GB.

    Au fait : source de la traduction https://www.legrandsoir.info/unity4j-christine-assange-lance-un-appel-d-urgence.html



  • 1 vote
    VDJ 6 juin 2013 15:34

    Rappel : "Le gauchisme, la maladie infantile du communisme" - titre d’un livre de Lénine. 

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