• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV Mobile

BA

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 0 576 0
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0


Derniers commentaires




  • 1 vote
    BA 9 décembre 2021 20:01

    La primaire à droite a été une gigantesque magouille. Valérie Pécresse a fait voter des étrangers en sa faveur : un de ses partisans, membre de la communauté franco-asiatique, a fait adhérer à LR des centaines d’Asiatiques, juste avant la primaire ! 


    Ce sont ces centaines d’Asiatiques qui ont adhéré à LR au tout dernier moment … et qui ont permis la victoire de Valérie Pécresse dans la dernière ligne droite !


    Des électeurs étrangers derrière la victoire de Valérie Pécresse.


    Pour se qualifier au second tour du congrès LR, Valérie Pécresse avait devancé Michel Barnier, troisième, de 1 209 voix seulement. Plusieurs centaines de ses électeurs ont été amenés par un rabatteur de la communauté franco-asiatique, qui a aussi mobilisé des étrangers. La candidate de droite s’oppose pourtant au droit de vote des étrangers.


    La candidate Valérie Pécresse a pu compter sur le soutien d’électeurs étrangers pour remporter le scrutin interne organisé lors du congrès des Républicains (LR), du 1er au 4 décembre, selon des informations de Mediapart.


    Ces électeurs, rameutés par un élu francilien de la communauté franco-asiatique, ont pu adhérer au parti dans la dernière ligne droite de la campagne interne, les statuts de LR n’interdisant pas aux étrangers de participer au vote.


    https://www.mediapart.fr/journal/france/091221/des-electeurs-etrangers-derriere-la-victoire-de-valerie-pecresse?at_medium=custom7&at_campaign=1046



  • 2 votes
    BA 28 novembre 2021 13:31

    Covid-19 : il y aura une injection tous les cinq mois. Le planning est le suivant :


    27 novembre 2021 : pour protéger du variant Delta, injection de la troisième dose pour les Français âgés de 18 ans et plus.


    27 avril 2021 : pour protéger du variant Omicron, injection de la quatrième dose pour les Français âgés de 18 ans et plus.


    27 septembre 2021 : pour protéger du variant Pi, injection de la cinquième dose pour les Français âgés de 18 ans et plus.


    27 février 2022 : pour protéger du variant Rho, injection de la sixième dose pour les Français âgés de 18 ans et plus.


    27 juillet 2022 : pour protéger du variant Sigma, injection de la septième dose pour les Français âgés de 18 ans et plus.


    27 décembre 2022 : pour protéger du variant Tau, injection de la huitième dose pour les Français âgés de 18 ans et plus.


    27 mai 2023 : pour protéger du variant Upsilon, injection de la neuvième dose pour les Français âgés de 18 ans et plus.


    27 octobre 2023 : pour protéger du variant Phi, injection de la dixième dose pour les Français âgés de 18 ans et plus.


    27 mars 2024 : pour protéger du variant Chi, injection de la onzième dose pour les Français âgés de 18 ans et plus.


    27 août 2024 : pour protéger du variant Psi, injection de la douzième dose pour les Français âgés de 18 ans et plus.


    27 janvier 2025 : pour protéger du variant Omega, injection de la treizième dose pour les Français âgés de 18 ans et plus.


    Fin de l’alphabet grec. Passage à un autre alphabet.


    https://fr.wikipedia.org/wiki/Alphabet_grec



  • 1 vote
    BA 27 novembre 2021 15:33

    Covid : les industriels des vaccins déstabilisés par le nouveau variant Omicron.


    Le nouveau variant Omicron, qualifié de « préoccupant » par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), apparu en Afrique du Sud, pourrait tenir en échec les vaccins actuels en raison d’un nombre de mutations record. Pfizer / BioNTech et Moderna s’attaquent au problème.


    « On considère que le variant Omicron est un vrai problème. Il est possible que les vaccins soient bien moins efficaces » : le diagnostic de Stéphane Bancel, patron de Moderna est clair, après l’apparition d’un nouveau variant sud-africain du Sars-Cov2 baptisé Omicron, et labellisé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) « variant préoccupant ».


    Les vaccins actuels seront insuffisants face à un virus qui n’a plus grand-chose à voir avec celui de Wuhan ayant servi de base à la conception de tous les vaccins actuels.


    Ce nouveau variant a, en effet, surpris tous les virologues par l’abondance de ses mutations, huit à dix fois plus nombreuses que celles de ses prédécesseurs, et pour deux tiers, nouvelles ou très rares.


    Sur les 50 changements de séquences génétiques identifiés, la protéine Spike en concentre 30, auxquelles s’ajoutent 6 délétions (suppressions) et 3 insertions (ajouts). Rappelons que la protéine Spike est celle qui sert au virus à infecter les cellules. C’est donc elle qui a été choisie comme cible pour tous les vaccins avec comme corollaire une perte d’efficacité inévitable face au nouveau variant Omicron, quelle que soit la technologie utilisée.


    Mais s’agissant de mettre au point un vaccin adapté à ce nouveau variant, la technologie à base d’ARN dispose d’un net avantage , celui de la rapidité. Pfizer et Moderna ont d’ailleurs été les seuls à s’exprimer pour l’instant.


    « Pfizer et BioNTech se sont préparés il y a plusieurs mois à ajuster leur vaccin en moins de six semaines et à livrer les premières doses en 100 jours » si un variant s’avérait résistant, n’a pas hésité à affirmer un porte-parole du géant américain.


    Une affirmation contestée par un concurrent : « développer un nouveau vaccin efficace en cent jours, c’est juste impossible car il faut étudier la manière dont vont se comporter les nouveaux anticorps qu’on va susciter ».


    Chez Moderna, pourtant habituellement très optimiste, on est plus prudent. La société estime, dans un communiqué, qu’il lui faudra 60 à 90 jours pour mettre au point un prototype, spécifique du variant Omicron, susceptible d’entrer en test chez l’homme. « Nous avons commencé dès le 24 novembre », précise Stéphane Bancel.


    En attendant, il faut faire avec les moyens du bord. Un tiers des mutations d’Omicron étaient déjà présentes sur les variants Alpha, Beta, Gamma ou Delta. Moderna va donc tester les versions de son vaccin mRNA 1273 développées comme rappels, face à l’apparition de ces variants que la société avait finalement renoncé à pousser plus loin.


    Il s’agit de deux versions multivalentes mélangeant, pour le 1273.211 les ARNm du virus de Wuhan et du variant Beta et, pour le 1273.213, ceux des variants Beta et Delta. « Ce sera rapide car on a déjà les données cliniques à soumettre aux agences réglementaires » explique Stéphane Bancel.


    D’ici là, Moderna propose d’augmenter le dosage du vaccin actuel pour la troisième injection. Il avait été divisé par deux en raison de son fort dosage.


    En fait, toute la question est de savoir si le variant Omicron peut supplanter le Delta, actuellement hégémonique en Europe et, si c’est le cas, combien de temps cela prendra. C’est le délai au bout duquel on aura impérativement besoin d’un nouveau vaccin bien adapté.


    https://www.lesechos.fr/industrie-services/pharmacie-sante/covid-les-industriels-des-vaccins-destabilises-par-le-nouveau-variant-omicron-1367570




  • 1 vote
    BA 27 novembre 2021 15:32

    Covid : les industriels des vaccins déstabilisés par le nouveau variant Omicron.


    Le nouveau variant Omicron, qualifié de « préoccupant » par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), apparu en Afrique du Sud, pourrait tenir en échec les vaccins actuels en raison d’un nombre de mutations record. Pfizer / BioNTech et Moderna s’attaquent au problème.


    « On considère que le variant Omicron est un vrai problème. Il est possible que les vaccins soient bien moins efficaces » : le diagnostic de Stéphane Bancel, patron de Moderna est clair, après l’apparition d’un nouveau variant sud-africain du Sars-Cov2 baptisé Omicron, et labellisé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) « variant préoccupant ».


    Les vaccins actuels seront insuffisants face à un virus qui n’a plus grand-chose à voir avec celui de Wuhan ayant servi de base à la conception de tous les vaccins actuels.


    Ce nouveau variant a, en effet, surpris tous les virologues par l’abondance de ses mutations, huit à dix fois plus nombreuses que celles de ses prédécesseurs, et pour deux tiers, nouvelles ou très rares.


    Sur les 50 changements de séquences génétiques identifiés, la protéine Spike en concentre 30, auxquelles s’ajoutent 6 délétions (suppressions) et 3 insertions (ajouts). Rappelons que la protéine Spike est celle qui sert au virus à infecter les cellules. C’est donc elle qui a été choisie comme cible pour tous les vaccins avec comme corollaire une perte d’efficacité inévitable face au nouveau variant Omicron, quelle que soit la technologie utilisée.


    Mais s’agissant de mettre au point un vaccin adapté à ce nouveau variant, la technologie à base d’ARN dispose d’un net avantage , celui de la rapidité. Pfizer et Moderna ont d’ailleurs été les seuls à s’exprimer pour l’instant.


    « Pfizer et BioNTech se sont préparés il y a plusieurs mois à ajuster leur vaccin en moins de six semaines et à livrer les premières doses en 100 jours » si un variant s’avérait résistant, n’a pas hésité à affirmer un porte-parole du géant américain.


    Une affirmation contestée par un concurrent : « développer un nouveau vaccin efficace en cent jours, c’est juste impossible car il faut étudier la manière dont vont se comporter les nouveaux anticorps qu’on va susciter ».


    Chez Moderna, pourtant habituellement très optimiste, on est plus prudent. La société estime, dans un communiqué, qu’il lui faudra 60 à 90 jours pour mettre au point un prototype, spécifique du variant Omicron, susceptible d’entrer en test chez l’homme. « Nous avons commencé dès le 24 novembre », précise Stéphane Bancel.


    En attendant, il faut faire avec les moyens du bord. Un tiers des mutations d’Omicron étaient déjà présentes sur les variants Alpha, Beta, Gamma ou Delta. Moderna va donc tester les versions de son vaccin mRNA 1273 développées comme rappels, face à l’apparition de ces variants que la société avait finalement renoncé à pousser plus loin.


    Il s’agit de deux versions multivalentes mélangeant, pour le 1273.211 les ARNm du virus de Wuhan et du variant Beta et, pour le 1273.213, ceux des variants Beta et Delta. « Ce sera rapide car on a déjà les données cliniques à soumettre aux agences réglementaires » explique Stéphane Bancel.


    D’ici là, Moderna propose d’augmenter le dosage du vaccin actuel pour la troisième injection. Il avait été divisé par deux en raison de son fort dosage.


    En fait, toute la question est de savoir si le variant Omicron peut supplanter le Delta, actuellement hégémonique en Europe et, si c’est le cas, combien de temps cela prendra. C’est le délai au bout duquel on aura impérativement besoin d’un nouveau vaccin bien adapté.


    https://www.lesechos.fr/industrie-services/pharmacie-sante/covid-les-industriels-des-vaccins-destabilises-par-le-nouveau-variant-omicron-1367570




  • 1 vote
    BA 27 novembre 2021 15:31

    Covid : les industriels des vaccins déstabilisés par le nouveau variant Omicron.


    Le nouveau variant Omicron, qualifié de « préoccupant » par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), apparu en Afrique du Sud, pourrait tenir en échec les vaccins actuels en raison d’un nombre de mutations record. Pfizer / BioNTech et Moderna s’attaquent au problème.


    « On considère que le variant Omicron est un vrai problème. Il est possible que les vaccins soient bien moins efficaces » : le diagnostic de Stéphane Bancel, patron de Moderna est clair, après l’apparition d’un nouveau variant sud-africain du Sars-Cov2 baptisé Omicron, et labellisé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) « variant préoccupant ».


    Les vaccins actuels seront insuffisants face à un virus qui n’a plus grand-chose à voir avec celui de Wuhan ayant servi de base à la conception de tous les vaccins actuels.


    Ce nouveau variant a, en effet, surpris tous les virologues par l’abondance de ses mutations, huit à dix fois plus nombreuses que celles de ses prédécesseurs, et pour deux tiers, nouvelles ou très rares.


    Sur les 50 changements de séquences génétiques identifiés, la protéine Spike en concentre 30, auxquelles s’ajoutent 6 délétions (suppressions) et 3 insertions (ajouts). Rappelons que la protéine Spike est celle qui sert au virus à infecter les cellules. C’est donc elle qui a été choisie comme cible pour tous les vaccins avec comme corollaire une perte d’efficacité inévitable face au nouveau variant Omicron, quelle que soit la technologie utilisée.


    Mais s’agissant de mettre au point un vaccin adapté à ce nouveau variant, la technologie à base d’ARN dispose d’un net avantage , celui de la rapidité. Pfizer et Moderna ont d’ailleurs été les seuls à s’exprimer pour l’instant.


    « Pfizer et BioNTech se sont préparés il y a plusieurs mois à ajuster leur vaccin en moins de six semaines et à livrer les premières doses en 100 jours » si un variant s’avérait résistant, n’a pas hésité à affirmer un porte-parole du géant américain.


    Une affirmation contestée par un concurrent : « développer un nouveau vaccin efficace en cent jours, c’est juste impossible car il faut étudier la manière dont vont se comporter les nouveaux anticorps qu’on va susciter ».


    Chez Moderna, pourtant habituellement très optimiste, on est plus prudent. La société estime, dans un communiqué, qu’il lui faudra 60 à 90 jours pour mettre au point un prototype, spécifique du variant Omicron, susceptible d’entrer en test chez l’homme. « Nous avons commencé dès le 24 novembre », précise Stéphane Bancel.


    En attendant, il faut faire avec les moyens du bord. Un tiers des mutations d’Omicron étaient déjà présentes sur les variants Alpha, Beta, Gamma ou Delta. Moderna va donc tester les versions de son vaccin mRNA 1273 développées comme rappels, face à l’apparition de ces variants que la société avait finalement renoncé à pousser plus loin.


    Il s’agit de deux versions multivalentes mélangeant, pour le 1273.211 les ARNm du virus de Wuhan et du variant Beta et, pour le 1273.213, ceux des variants Beta et Delta. « Ce sera rapide car on a déjà les données cliniques à soumettre aux agences réglementaires » explique Stéphane Bancel.


    D’ici là, Moderna propose d’augmenter le dosage du vaccin actuel pour la troisième injection. Il avait été divisé par deux en raison de son fort dosage.


    En fait, toute la question est de savoir si le variant Omicron peut supplanter le Delta, actuellement hégémonique en Europe et, si c’est le cas, combien de temps cela prendra. C’est le délai au bout duquel on aura impérativement besoin d’un nouveau vaccin bien adapté.


    https://www.lesechos.fr/industrie-services/pharmacie-sante/covid-les-industriels-des-vaccins-destabilises-par-le-nouveau-variant-omicron-1367570


Voir tous ses commentaires (20 par page)

Les thèmes de l'auteur


Publicité


Publicité


Palmarès

Publicité