Covid-19 : l’Autriche impose la
vaccination de toute sa population à partir du 1er février 2022.
Cinq jours après l’entrée en vigueur
d’un confinement visant les personnes non-vaccinés, le chancelier
autrichien Alexander Schallenberg a annoncé un confinement de toute
la population, y compris des vaccinés. Par ailleurs, la vaccination
va être imposée à partir du 1er février.
"Ces restrictions devraient
s’appliquer pendant 20 jours, il devrait y avoir une évaluation
après dix jours. Après le 20e jour, un retour au confinement pour
les non-vaccinés devrait perdurer", peut-on lire sur Wiener
Zeitung.
L’Autriche ordonne le confinement des
personnes non vaccinées à partir de lundi.
Le chancelier autrichien, Alexander
Schallenberg, a annoncé dimanche l’entrée en vigueur d’un
confinement pour les personnes non vaccinées ou qui n’ont pas
guéri du Covid-19. Cette mesure inédite est censée
endiguer le nombre inégalé de nouveaux cas en
Autriche.
L’Autriche ordonne le confinement des
personnes non vaccinées à partir de lundi.
Le chancelier autrichien, Alexander
Schallenberg, a annoncé dimanche l’entrée en vigueur d’un
confinement pour les personnes non vaccinées ou qui n’ont pas
guéri du Covid-19. Cette mesure inédite est censée
endiguer le nombre inégalé de nouveaux cas en
Autriche.
L’Autriche ordonne le confinement des
personnes non vaccinées à partir de lundi.
Le chancelier autrichien, Alexander
Schallenberg, a annoncé dimanche l’entrée en vigueur d’un
confinement pour les personnes non vaccinées ou qui n’ont pas
guéri du Covid-19. Cette mesure inédite est censée
endiguer le nombre inégalé de nouveaux cas en
Autriche.
En 2015, les médias nous
répétaient que non, non, non, il n’y avait pas de terroristes
infiltrés parmi le flux de réfugiés qui arrivaient dans l’Union
Européenne. Lisez ces exemples :
- La chaîne de télévision
LCI : « Non, les terroristes de Daech ne s’infiltrent pas
parmi les migrants. »
-
Le journal L’Obs : « Des terroristes se cachent parmi les
migrants ». Faux.
Régulièrement agité par l’extrême droite, le chiffon rouge de
prétendus terroristes cachés parmi les migrants ne dispose d’aucun
véritable précédent.
Six ans plus tard, en novembre 2021,
l’ex-président de la République François Hollande vient témoigner
au procès des terroristes du 13 novembre. Il prononce cette phrase
ahurissante : « nous savions que dans les
flux de réfugiés, il y avait des terroristes. Mais nous ne savions
ni où, ni quand, ni comment ils allaient nous frapper ».