je suppose que vous voulez parler de Gérard Holtz, journaliste sportif français qui a passé presque toute sa carrière chez France Télévisions, groupe public français de radio et télévision ?
Ce midi, à la radio, un spécialiste en hélicos disait que ce plan de vol mélangeait deux types de missions : le transport et la prise de vue aérienne. Il n’a pas dit que c’était une erreur, mais je suppose que c’était le sens de son propos : les paramètres, les contraintes, les risques sont différents.
Ps. je suppose que les pilotes n’avaient pas les yeux bandés !
@Heptisika,
merci pour le compliment. Je suis sur Agoravox depuis 7 ans déjà, mais je viens rarement sur AgoravoxTV.
Je n’aime pas accuser sans savoir, mais au vu des images, il me semble que les deux hélicos volaient bien trop près l’un de l’autre. D’autant que, apparemment, il y avait des courants ascendants inopinées (des trous d’air inversés en quelques sorte).
Je suppose que les pilotes auront cédé à la pression des passager qui voulaient se filmer les uns es autres, et pour ne pas gâcher la fête.
Malgré le grand respect que j’éprouve pour la parole de Boris Cyrulnik, je voudrais y faire ici une objection.
Par définition, un pervers narcissique soufre de difformité : son narcissisme est démesuré par rapport à son intelligence. En outre, un pervers narcissique ne recherche pas le pouvoir : il n’y serait pas à sa place, lui dont la vocation est d’humilier les gens intelligents et humbles et qui ne sont pas de sa cour, le contraire de lui donc.
Mais peut-être que Sarkozy, Hollande & Cie ne sont pas intelligents ? Je pense à l’image qu’en donnent régulièrement les Guignols.
De fait, on pourrait dire que
la droite libérale est pour un État capitaliste qu’elle peut traire ad
libitum ; les libéraux de droite sont pour un État exsangue, qui leur
coûte le moins cher possible.
L’autre différence entre droite
libérale, et libéralisme de droite ? Le libéralisme économique est
toujours de droite mais la droite libérale est nationale : ce sont les
copains des élus lesquels arborent par nécessite démagogique, un maillot
bleu blanc rouge. Les autres ne briguent pas de mandats électoraux.
Le peuple est ainsi trimballé de Charybde en Scylla : d’un coté, ceinture pour lui ; de l’autre, gabegie pour les oligarques. Mais au bout du compte, c’est du pareil au même : tout fout le camp.
C’est comme ça, par exemple, que Sarkozy a creusé la dette.