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  • 2 votes
    amest 3 avril 2012 01:36

    La gauche ou la droite ? Aucune différence.
    A part pendant cette période Sarko où on s’est vraiment fait "humiliés" (euphémisme) comme jamais. C’est la même politique qui est menée.
    C’est quand même Bérégovoy, un premier ministre d’origine modeste, qui a été à l’origine de la plus grande dérégulation en France. C’est Jospin qui a le plus privatisé. C’est Aubry qui a institué la flexibilité.
    Mais on continue à appeler ça : "la gauche". Pourquoi ?
    .
    Parce que c’est la télévision (et la radio) qui modèle les têtes.
    La vraie dictature, elle est *médiatique*
    Pas de démocratie sans information libre.
    Et ça ne sert à rien d’étudier le vote des gens quand il y a une telle désinformation.
    Ce sont les journalistes qui encensent ou qui méprisent, qui orientent le vote des citoyens
    Rappelons-nous l’attitude d’Elkabach envers S. Royal en 2007.
    .
    Avant, les grandes entreprises rassemblaient un grand nombre d’ouvriers, d’employés, qui discutaient, qui s’opposaient ensemble.
    Maintenant, il n’y a que sur Internet que ça conteste, que ça bouge.
    Mais ça ne suffit pas. Trop peu nombreux pour lutter contre le "rouleau compresseur" des médias.
    .
    Je suis là de "remettre en ligne" des gens qui n’ont que la TV comme moyen d’information et qui répètent docilement tout ce qu’ils entendent... et qui voteront, le jour venu, comme on leur aura dit de faire.
    Je suis là d’entendre les "leçons de vie" donnés par les nantis, les seuls qu’on voit dans les médias.
    .
    La seule solution pour moi : une chaîne citoyenne sur la TNT. Un espace d’information partagé entre toutes les tendances *rejetées* des médias, et accessible à tous (contrairement à Internet).
    Ca ne changera pas les majorités. Mais ça permettrait à plus de gens d’être mieux informés... et de voter plus intelligemment.



  • 5 votes
    amest 28 mars 2012 04:43

    Ca n’a rien à voir.
    Les professions de boucher, boulanger, etc. sont suffisamment répandues et nécessaires pour que chacun trouve sa place.
    Et puis ce ne sont pas des professions qui procurent des avantages ou privilèges.
    .
    En matière d’art, de politique, de média, de showbiz, etc. il en est tout autrement.
    Il y a des tas d’acteurs, de chanteurs, de journalistes qui n’auront jamais la réussite correspondant à leurs talents. Parce que les places sont comptées, et que d’autres les auront prises avant eux, par relation et népotisme.
    D’autant plus que ce sont, pour la plupart, des occupations "privilégiées".
    .
    Par exemple, en matière de spectacle, aux States, il faut du travail et du talent pour y arriver. Dans la grande majorité des cas : ce sont des pros.
    En France, on a Yannick Noah ;(
    .
    J’écoutais récemment une interview de Michel Galabru. Il disait qu’il y avait des tas d’acteurs de talent en France qui n’avaient (et n’auraient) aucune reconnaissance.
    Evidemment, la chance joue dans ces métiers. C’est normal. Mais dans quelle proportion ?



  • 2 votes
    amest 26 mars 2012 22:59

    C’est une explication argumentée... mais bien trop "académique" pour moi.
    .
    D’après ce qu’on dit sur Internet, le problème de déséquilibre budgétaire est apparu suit à l’application de de la loi de 1973 (imposée grâce à l’épouvantail de l’inflation).
    C’est à partir de ce moment que la dette a explosé.
    (en passant, ça n’a pas empêché l’inflation de grimper à plus de 10% au début des années 80
    http://www.statistiques-mondiales.com/france_inflation.htm)
    .
    Cette loi est pain bénie pour les banques, les institutions financières et les puissants
    Car si avant, celui qui possédait le capital réalisait sa plus value en grande partie en exploitant la force de travail de l’employé.
    Maintenant, on peut prélever directement "à la source" de l’Etat.
    Car en définitive, c’est toujours celui qui créé les richesses qui pait la dette. L’Etat, c’est un simple intermédiaire.
    .
    Il suffit de s’arranger pour endetter l’Ettat... et de récolter les intérêts ensuite.
    Et puis inutile de compter sur "l’Etat protecteur" pour renverser la tendance, puisque c’est la même oligarchie qui décide, tantôt dans le public, tantôt dans le privé :
    Geoffrey Geuens « Les marchés financiers ont un visage, celui de l’oligarchie »
    http://www.humanite.fr/social-eco/geoffrey-geuens-%C2%AB-les-marches-financiers-%E2%80%A8ont-un-visage-celui-de-l%E2%80%99oligarchie-%C2%BB-491345
    http://www.la-bas.org/article.php3?id_article=2413
    .
    La charge de la dette, c’est donc bien un "hold-up" des banques et des puissants sur les travailleurs par le biais de l’Etat.
    .
    Désolé. C’est très mal dit :(



  • 13 votes
    amest 24 mars 2012 09:37

    Et Sarko ? Est-ce légitime et acceptable qu’il ait mposé à l’ensemble des écoliers, CP compris, une minute de silence. Pour un fait divers atroce... qui touche la "communauté dominante".
    C’est pas lui l’indécent ? "L’autocrate" qui bafoue les lois de la République (cf. référendum du TCE), qui nous méprise depuis 5 ans en confondant la fonction présidentielle avec des prérogatives régaliennes ?
    .
    Cette femme a eu le courage de s’opposer à ça. A sa manière.
    Elle a pris ses risques. Et elle en subira les conséquences.
    Mais je pense qu’on n’a pas le droit de lui retirer son courage et son sentiment de révolte.
    (ça semble manquer à certains commentateurs de cet article. qui, même protégés derrière leurs écrans, ne voient que le "sacrilège" commis à l’égard de leur "maître".
    .
    Il y a encore du chemin à faire...



  • 3 votes
    amest 22 mars 2012 23:44

    Stiegler analyse, s’interroge, se révolte avec raison et intelligence... pendant que Sorman se moque et méprise son interlocuteur éludant toute argumentation. Un schéma malheureusement trop classique.
    .
    Une chose qui m’a surpris :
    Lorsque la psychanalyste parle de "crime de masse", Taddéi la reprend aussitôt en sortant cet anglicisme pas du tout adéquat à mon avis : "serial killer".
    Il fait de bonnes émissions par rapport au consensualisme ambiant ce Taddei, mais ça m’a l’air d’être un intellectuel à la Bernard Pivot ;)

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