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christian

Professionnel de la communication et de la publicité pendant des années, j’ai bien sur été un des tous premiers à utiliser le "Macintosh" dans les années 84, à créer un site web en 1996-97, alors qu’il n’y avait pas 500 000 personnes connectées en France (avec des modems 58k !), et rassurez-vous je n’en ai pas tiré fortune, car ce n’est pas dans mes gènes !
Par contre les années passant, j’ai un certain recul sur le "mirage de liberté de communication" que ces nouveaux outils ont permis des distiller dans la société.
Chacun, ici, à Agoravox, Fondateurs inclus, Rédacteurs et lecteurs participent à ce mirage.
J’essaierai donc, modestement, de contribuer à dissiper le ou les "mirage(s)" qui se créent ou que l’on nous créent, ici sur Agoravox ou ailleurs sur le web ou dans d’autres médias, mais surtout sur le web devenu le "Roi de tous les médias"

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  • Premier article le 21/02/2009
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Derniers commentaires




  • 3 votes
    christian 25 février 2009 01:02

    Monsieur PLOUC je ne peux que vous citer ce qui est indiqué en rouge dans la fenêtre commentaire d’agoravox tv :

    "Ce forum est un espace de débat civique et civilisé qui a pour but d’enrichir cet article."

    Merci donc d’argumenter sérieusement au lieu de dénigrer Lordon (Définition de dénigrer : Chercher à noircir quelqu’un aux yeux des autres.Discréditer.)

    Le dénigrement n’est jamais un enrichissement, il est souvent la dernière arme de la jalousie !



  • 4 votes
    christian 23 février 2009 16:37

    Merci, aux lecteurs, à tous de vos commentaires.

    je citerai aussi à l’adresse de ceux que cela intéresse, les solutions proposées par Fréderic Lordon signalées par (IP :xxx.x8.135.201) le 22 février 2009 à 03H46, http://www.dailymotion.com/video/x73dkm_conference-sur-la-crise-financiere_news  ?from=rss

    Vous y verrez que Lordon a suggéré,au début de la crise des subprimes, que les américains auraient du aider financièrement et directement les propriétaires qui ne pouvaient plus rembourser leur crédit.

    Cette démarche les rendait à nouveau solvables et surtout permettait aux banques de ne pas dévaloriser leurs actifs, donc de garder confiance.

    Hors, il se trouve que cette solution a été retenue, mais un peu tard, par l’équipe Obama, car le mal est déjà fait ( la perte de confiance dans les banques est belle et bien rompue ).

    Vous y verrez aussi que Lordon préconise la nationalisation massive du crédit donc des banques, c’est aussi ce vers quoi tendent aujourd’hui les USA ( City Groupe, Bank of América etc..) mais à reculons, car il est très difficile d’admettre, aux dirigeants de ce pays que ce systéme ultralibéral ( qui a, en partie, financé leur élection) est en train de provoquer la faillite même des Etats.

    Mais Lordon, pour nos élites économiques était, et est toujours, un "rouge", comme au temps du communisme, donc il ne pouvait, ne peut être entendu, même si il a raison.

    Il ne faut pas perdre de vue une chose primordiale (et très humaine de plus !), ceux qui ont provoqué, accompagné cette crise du crédit et de la confiance bancaire, n’ont comme objectif premier que de sauvegarder leurs intérêts, bien avant les intérêts de la collectivité ( donc ceux des chômeurs,de l’enseignement , de la santé, de l’environnement, etc..).

    D’autre part Fréderic Lordon ne fait que souligner que toutes ces décisions de soutien aux financiers, n’obéissent à aucune règle démocratique, sans que personne ne s’en émeuve plus que ça.(Journalistes, politiques !)

    Les finances publiques sont gagées, donc l’avenir du pays, de nos entreprises, de nos enfants, de notre santé, pour des années voir des dizaines d’années, sans que :

    d’une, l’on ne demande l’avis des concernés (les citoyens et les contribuables)

    de deux, ceux qui ont engagé ainsi finances publiques ne soient redevable de quoi que ce soit devant la nation.

    Nous avons déjà, pour nombre de citoyens laissé de tels abus se développer au niveau local -mairie-département-région, que nous en payons maintenant le prix au niveau national.

    L’avis du citoyen n’est plus demandé, ou si il est demandé, il n’est plus respecté, nos démocraties ont vraiment du plomb dans l’aile.



  • 1 vote
    christian 23 février 2009 16:00

    Merci, aux lecteurs, à tous de vos commentaires.

    je citerai aussi à l’adresse de ceux que cela intéresse, les solutions proposées par Fréderic Lordon signalées par (IP:xxx.x8.135.201) le 22 février 2009 à 03H46, http://www.dailymotion.com/video/x73dkm_conference-sur-la-crise-financiere_news?from=rss

    Vous y verrez que Lordon a suggéré,au début de la crise des subprimes, que les américains auraient du aider financièrement et directement les propriétaires qui ne pouvaient plus rembourser leur crédit.

    Cette démarche les rendait à nouveau solvables et surtout permettait aux banques de ne pas dévaloriser leurs actifs, donc de garder confiance.

    Hors, il se trouve que cette solution a été retenue, mais un peu tard, par l’équipe Obama, car le mal est déjà fait ( la perte de confiance dans les banques est belle et bien rompue ).

    Vous y verrez aussi que Lordon préconise la nationalisation massive du crédit donc des banques, c’est aussi ce vers quoi tendent aujourd’hui les USA ( City Groupe, Bank of América etc..) mais à reculons, car il est très difficile d’admettre, aux dirigeants de ce pays que ce systéme ultralibéral ( qui a, en partie, financé leur élection) est en train de provoquer la faillite même des Etats.

    Mais Lordon, pour nos élites économiques était, et est toujours, un "rouge", comme au temps du communisme, donc il ne pouvait, ne peut être entendu, même si il a raison.

    Il ne faut pas perdre de vue une chose primordiale (et très humaine de plus !), ceux qui ont provoqué, accompagné cette crise du crédit et de la confiance bancaire, n’ont comme objectif premier que de sauvegarder leurs intérêts, bien avant les intérêts de la collectivité ( donc ceux des chômeurs,de l’enseignement , de la santé, de l’environnement, etc..).

    D’autre part Fréderic Lordon ne fait que souligner que toutes ces décisions de soutien aux financiers, n’obéissent à aucune règle démocratique, sans que personne ne s’en émeuve plus que ça.(Journalistes, politiques !)

    Les finances publiques sont gagées, donc l’avenir du pays, de nos entreprises, de nos enfants, de notre santé, pour des années voir des dizaines d’années, sans que :

     d’une, l’on ne demande l’avis des concernés (les citoyens et les contribuables)
     de deux, ceux qui ont engagé ainsi finances publiques ne soient redevable de quoi que ce soit devant la nation.

    Nous avons déjà, pour nombre de citoyens laissé de tels abus se développer au niveau local -mairie-département-région, que nous en payons maintenant le prix au niveau national.

    L’avis du citoyen n’est plus demandé, ou si il est demandé, il n’est plus respecté, nos démocraties ont vraiment du plomb dans l’aile.


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