@Qirotatif Vu la même adressée à Christian Jacob (LR) et Laetitia Avia (EM) ça fait le beuz dans le contexte GJ mais la proposition remonte à avril 2018 suite aux frappes en Syrie
"La France a fait venir sa population pour empêcher toute indépendance"
D’une part, les métropolitains n’ont pas le droit de vote à Nouméa, d’autre part le gouvernement a marqué un profond désintérêt pour ce référendum. Deux âneries dans la même phrase.
" Pas plus qu’il n’en a dans le Brexit et son application par l’article 50, l’UPR n’a la responsabilité du naufrage FN ou du départ de Philippot, ni des contorsions pédagogiques de Mélenchon pour expliquer sa stratégie contre Bruxelles et des doutes que cela fait naître au sein de la France Insoumise. Militants et cadres de ces deux partis connaissent très bien l’UPR et savent qu’ils perdraient beaucoup à en faire une publicité. Pour preuve, revenez sur le mimétisme d’un Philippot ou les mises en garde d’un Lordon à l’adresse de la gauche eurosceptique. Pour l’explosion, peut-être est-ce seulement une question de longueur de mèche ? "La Hongrie n’est-elle pas dans l’UE ?" La Hongrie exerce en l’espèce un chantage sans remise en cause fondamentale de la construction européenne. Elle reçoit l’argent de Bruxelles, le chômage y est maîtrisé grâce à l’industrie allemande notamment, et elle a une balance commerciale excédentaire comme beaucoup de pays de l’est. De plus, l’OTAN n’est pas un problème pour eux. Hormis la crise migratoire les Hongrois vivent très bien leur appartenance à l’UE. Rien de comparable avec la France pour qui sa souveraineté est une question de survie. "L’UPR n’est pas un parti
@Qirotatif ce groupuscule a contribué à exploser certains épouvantails tels que DLF ou FN, et fournit la critique la mieux ajustée du gouvernement actuel. Il n’ y a pas de souveraineté possible dans le cadre de l’UE et l’Euro est voué à disparaître. Si ces invariants arrivent à passer la barrière médiatique et sont portés en évidence à l’esprit des Français, vous jugerez vous-même du ralliement qui s’ensuivra non à un parti mais à des analyses, les mêmes que Séguin exposaient en 1992 devant l’Assemblée.