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Jean Rigole

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J’adore déterrer les truffes sous les chênes.

Tableau de bord

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Derniers commentaires




  • 14 votes
    Jean Rigole Jean Rigole 2.0 5 octobre 2014 15:43

    « L’hétérosexualité doit devenir anormale. »

     

    Ils ont échoué à transmuter le plomb en or, mais le symbole alchimique du Grand Œuvre n’en reste pas moins l’hermaphrodite, la fusion du dieu Hermès et de la déesse Aphrodite. L’acte d’initiation suprême de la construction du Temple de l’homme véritable est l’accès à l’illumination spirituelle et l’art de la métamorphose du Grand Œuvre alchimique appliquée à la conscience pour perfectionner l’être humain doit aboutir à instaurer la bisexualité comme règle naturelle, la norme universelle remontant paraît-il à la nuit des temps. L’hétérosexualité a toujours été présentée comme une pratique normale alors qu’elle n’est qu’une pratique courante à leurs yeux. Il est temps pour eux de remettre les pendules à l’heure avec Freud dans un premier temps, suivi par les théories du genre depuis les années 70.
     
    Je ne me lasse pas de cette petite vidéo... « ...tu peux ajouter peut-être que le silence, le fameux silence maçonnique, c’est de la rétention anale... » smiley



  • 5 votes
    Jean Rigole Jean Rigole 2.0 5 octobre 2014 15:25

    Hijack,
     
    Je ne doute pas qu’il le soit. Il ne doit pas s’amuser avec son traitement, il me disait la dernière fois que l’utilisation d’un clavier lui était pénible. Il va revenir en pleine forme...
     
    L’avatar du clebs était trop sympa pour la faune d’Avox.
     
     ? Petit poney, petit poney ?



  • 6 votes
    Jean Rigole Jean Rigole 2.0 5 octobre 2014 11:09

    Salut Hijack, as-tu eu des nouvelles ? Nora m’avait demandé mon adresse mel il y a 3 semaines/1 mois, mais aucune niouze...



  • 8 votes
    Jean Rigole Jean Rigole 2.0 3 octobre 2014 21:45

    Il y en a pas mal qui veulent se tirer ou se posent seulement la question
    En effet, mais ne pas confondre avec ceux qui se créent l’opportunité de vivre une expérience dans la grande tradition française des voyages à la découverte du monde (restant en cela fidèle à mes ancêtres bretons).
     
    ça ferait grincer des dents quelques uns
    Je n’en doute pas, mais pas à ceux auxquels tu penses. L’ouvrage ne se limite pas à cet épisode. Il raconte en deux mots la saga (1950 à 2040) d’un personnage né dans la misère en Extrême-Orient, initié dans un ordre guerrier et traditionaliste millénaire dont la dernière grande bataille remonte aux Guerres de l’opium contre l’Empire britannique, la France et leurs francs-maçons. Il rencontre en Suisse lors de son voyage initiatique le possesseur d’un programme informatique révolutionnaire et un vieux renard de la finance qui crée la société dont ils deviennent les trois associés. La start-up se transforme en multinationale américaine du software et lui en P-DG, dévoyé par le néolibéralisme occidental en pratiquant les acquisitions-restructurations-délocalisations sur une échelle industrielle, établissant des pratiques commerciales pour rendre ses clients captifs, dont les plus importants sont bien entendu les banques et autres établissements financiers connus pour leur boulimie logicielle. Il est en réalité l’instrument d’un plan concocté par son associé, le descendant d’une lignée de hauts gradés dont la famille est devenue crypto-catholique pour infiltrer la confrérie de la truelle au lendemain de la révolution française... Après vingt années de pratique intensive de capitalisme états-unien et un scandale financier, il part rejoindre son camp en Extrême-Orient et bâtit un nouvel empire. Il devient le conseiller du Premier secrétaire du Parti pour les questions stratégiques relatives aux acquisitions de compagnies étrangères. Le pacte provisoire de non-agression élaboré avec les puissances d’argent durant la phase de globalisation touche bientôt à sa fin et le logiciel de pensée occidental pour instaurer un gouvernement mondial ne semble pas être du goût des deux Grands maîtres. Si les réseaux de pouvoir occidentaux ont sous-estimé ceux de leur partenaire commercial, chacun va à présent devoir défendre ses propres intérêts...
     
    Il s’agit de la trame globale, le synopsis est plus détaillé. Une version de la globalisation à travers le parcours de mon personnage inspiré de faits réels et là aussi une autre expérience vécue, sous une forme romancée avec beaucoup de dialogues (le format essai est beaucoup trop ennuyeux pour le quidam), centrée sur les US et la France, mais pas seulement. Le sous-titre est : « L’Amérique dans tous ses États... et la France dans de beaux draps !  ». Une critique acerbe qui aborde les dimensions historiques, politiques, économiques, sociétales, religieuses... avec des scènes érotiques parsemées pas ci par là pour maintenir intact l’attention des athées formatés à TF1. Les thèmes suivants sont abordés sous une forme ou sous une autre : la Chine de Mao, les coups d’État au Guatemala et en Iran, la création de la Réserve fédérale, les politiques d’endettement des ménages et des États, les cinq derniers présidents des États-Unis, le financement de la « Blitzkrieg » par Wall Street, le lancement de la globalisation des années 80, les OGM et Monsanto, l’Union européenne de Jean Monnet, la loi de 1973, le système financier de Wall Street et ses traders, les couvertures d’impayés (CDS), les guerres du Golfe, le néolibéralisme et Milton Friedman, le protectionnisme et le patriotisme économique, les agences de notation, le 11 septembre et la géopolitique, la Réserve fédérale et la crise des « subprimes », le messianisme juif, le fédéralisme européen et l’euro, le grand marché transatlantique, la « bulle » Internet, la culture française en perdition, la crise financière et l’asservissement par la dette, les sociétés secrètes et les cercles de pouvoir, les délocalisations industrielles et le CAC 40, le système politique français du bipartisme et de l’alternance programmée, le Traité anticonstitutionnel européen, le FMI et l’OMC, la stratégie de diversion médiatique...
     
    Ta mission si tu l’acceptes, pegase, est de me trouver un éditeur. Si tu travailles dans l’industrie du bois, tu as peut-être des ouvertures dans la pâte à papier ! smiley J’ai envoyé le premier tome à une quinzaine de multinationales de l’édition et comme prévu, la mouvance judéo-maçonnique n’aime pas les propos désobligeants à son encontre...



  • 20 votes
    Jean Rigole Jean Rigole 2.0 2 octobre 2014 19:09

    Tant mieux pour elle si cette jeune femme est heureuse ainsi, et longue vie aux sushis. Cependant..., elle aligne pas mal de clichés, la réalité n’est pas si rose qu’elle le prétend. Son cas particulier ne reflète pas le sentiment général des expatriés que j’ai rencontré sur place, moi le premier. Attention, je ne parle pas de salariés qui bossent pour des multinationales, pour ceux-là en gros ça roule sauf le mal du pays pour certains, je parle de ceux qui entreprennent. Pour faire court, je suis parti aux US avec un visa investisseur E2 pour créer ma boîte en 2006 et j’ai vécu 6 ans à... Miami (plus exactement Miami/Fort Lauderdale/Sunrise/Daytona). Ce n’était pas mon premier choix, mais l’endroit semblait adapté à mon business model. Elle est probablement passée par la même avocate de l’immigration, M.P., une canadienne qui a pignon sur rue dont je tairais le nom pour ne pas lui faire de publicité.
     
    Autrement dit, j’ai débarqué en plein bordel économique et en pleine crise des subprimes en Floride, deuxième région touchée après la Californie. La blonde dit un pays économiquement plus sûr, c’est une truffe. J’ai vécu la bérézina où à partir de 2008, un commerce sur deux affichait « à louer », « à vendre » sur des kilomètres de rues... La blonde dit qu’elle est agent immobilier, j’en ai connu un à Fort Lauderdale. Un Français qui est devenu un ami, marié à une américaine vivant là-bas depuis 25 ans. Le volume des transactions a baissé, mais lui se portait très bien, il me disait que le surnom des agents immobiliers était « les vautours ». Tout dépend d’où l’on se place pour évoquer sa réussite...
     
    Je travaillais pas mal avec le milieu de la restauration et je n’ai jamais vu la blonde (retour en France en 2012). Elle a raison quand elle dit qu’il fait beau et que les taxes sont moins importantes sur les salaires, la Floride est considérée comme le paradis des employeurs et beaucoup ne se gênent pas pour payer les employés avec un lance-pierre... Une main-d’œuvre bon marché majoritairement composée de latinos. Il faut certes parler anglais (quoique la plupart des Français le baragouine), mais plus sûrement espagnol à Miami. La blague en vogue à l’époque était : « L’Amérique, c’est pas loin ! ». Je n’ai pas non plus croisé la blonde aux soirées de l’Alliance française de Miami. Ce que j’ai vu, par contre, c’est des frenchies (et un Suisse sur Ocean boulevard) boire la tasse, mettre le clé sous la porte et pour certains tout perdre..., même la vie pour un pote installé sur Washington Avenue à South Beach acculé à l’échec. Pour résumer, les US sont un miroir aux alouettes. Il est trop facile de mettre en avant la réussite d’une personne pour 100 qui se cassent la gueule. Il y aurait tant à dire que j’intègre cette expérience dans une saga que j’écris depuis mon retour, dédiée aux enculés de Wall Street.

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